Traduction de "gardait" à espagnol
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
conservó
il ne gardait pour lui-même que la ville de Jérusalem.
Sólo conservó para sí la ciudad de Jerusalén.
Il me gardait là, comme une mauvaise conscience.
Me conservó a su lado, como una conciencia sucia.
Il prenait l’argent, mais ne gardait pas les souvenirs, ni le raffinement.
Se quedó con el dinero, pero no conservó ni los recuerdos ni el refinamiento.
Il était vraiment content d'avoir pris avec lui la coupe de fruits car il la gardait sur ses genoux.
Se alegró mucho de haberse traído el plato de la fruta, que conservó en su regazo.
Il gardait encore aujourd’hui une profonde et sincère nostalgie de cette époque.
Aun hoy, el artista conserva una nostalgia profunda y sincera de aquella época.
La police espagnole avait rendu le médaillon en forme de cœur à Gary qui le gardait « en souvenir ».
La policía española le devolvió el relicario en forma de corazón a Gary, que lo conservó «como recuerdo».
Le Dr Hunter y gardait le fromage, les œufs et le bacon ainsi que toutes ses conserves et son épicerie.
La doctora Hunter guardaba allí el queso, los huevos y el beicon, así como las latas de conserva.
— Tu descends ? Il descendait. Il attendait l’ascenseur, s’y glissait derrière son ami et gardait son air absent.
—¿Bajas? Bajó. Esperó al ascensor, entró en él detrás de su amigo y conservó su expresión ausente.
Brewster avait remis tous ses échantillons à son employeur sauf un : celui-là, il le gardait uniquement comme souvenir.
–Brewster entregó a sus empleadores todas las muestras, salvo una, que conservo puramente como recuerdo.
Ainsi gardait-il le teint frais et le pied solide et il cessa de branler du chef pendant ses discours au Sénat.
De este modo se conservó sano y fuerte y no balbucía ridículamente cuando pronunciaba un discurso en el Senado.
Cet homme gardait toujours le contrôle des opérations.
Aquel hombre siempre había mantenido el control.
Depuis le Réod, le Téod gardait ses distances.
Desde el Reod, Teod ha mantenido sus distancias respecto a Arelon.
Pendant de nombreuses années j’avais besoin qu’il vive, et de son côté il me gardait en vie.
Por muchos años, he necesitado que viviera, y él me ha mantenido vivo.
Fantômes sans esprit, ils vivaient pour servir celui qui les gardait en esclavage.
Eran espectros sin mente, mantenidos sólo para servirle como esclavos.
Lorsque Lucien Dravelle parlait, il gardait les yeux baissés.
Durante el discurso de Lucien Dravelle, había mantenido la cabeza gacha.
Le professeur gardait son travail secret, elle se devait d’en faire autant.
El profesor había mantenido en secreto su trabajo, así que ella haría lo propio.
Cela dit, il n’y avait pas grand-chose  même à l’époque, d’instinct, il gardait un profil bas.
No había gran cosa: incluso hasta ese momento, instintivamente, había mantenido la discreción.
On s'arrangeait pour que la mère, qu'on gardait à distance, sombre de plus en plus dans l'alcool.
Una madre mantenida en el alcoholismo, a distancia, pero paseada cuando fuese conveniente y fructífero hacerlo.
Cela faisait si longtemps qu’elle gardait ce secret pour elle qu’il lui arrivait de se demander si elle n’avait pas rêvé.
Había mantenido aquello en secreto durante tanto tiempo que a veces se preguntaba si lo había soñado.
Lyle gardait parfois des bordereaux jaunes de téléscripteur pendant plusieurs jours.
Lyle a veces llevaba encima, durante días seguidos, trozos amarillos de papel de teletipo.
En dormant, il gardait les poings serrés comme s’il avait peur de lâcher le dragon absent.
Mientras dormía, había seguido con las manos empuñadas como si no quisiera soltarse del dragón ausente.
D’ordinaire, elle gardait ses cartes pour elle, pour ainsi dire, mais les manières de cet homme la poussèrent à parler. — Le maire.
Normalmente, ella habría seguido sin enseñar sus cartas, pero algo en la manera de hablar de aquel hombre se lo impidió. —La Alcaldesa.
On a été tout de suite amis comme cochons, Pereyra et moi, mais Lamas gardait ses distances et il avait l’air tout triste.
En seguida estuvimos como chanchos con Pereyra, pero Lamas era más reservado y parecía medio tristón.
Sophie ouvrit la porte et s’élança dans la rue, suivie par l’homme-chien qui gardait un calme surprenant dans toute cette agitation.
Sophie abrió la puerta y salió a la calle, seguida por el perro—hombre, que, sorprendentemente, parecía muy tranquilo pese a todo.
Le capitaine Coloma gardait un œil sur Schmidt et Wilson, les brebis égarées du Clarke, par l’intermédiaire de l’assistant numérique de l’une et de l’AmiCerveau de l’autre.
La capitana Coloma había seguido de cerca a Schmidt y a Wilson, las ovejas perdidas del rebaño de la Clarke, a través de la PDA y del CerebroAmigo respectivamente.
Pour finir, ce fut comme s’il avait trouvé ce dont il avait besoin, il rechercha les clés que maman gardait sous son oreiller, et, précipitamment, il se mit à chercher quelque chose dans la commode.
A la postre, pareció haber encontrado lo que buscaba. Tomó las llaves que había bajo la almohada de mamá, y en seguida se dedicó a buscar algo en la cómoda.
George tenait parole et gardait ses distances.
George había cumplido con su palabra y se mantenía a distancia.
Hutch observait la ligne de conduite qu’elle s’était fixée et gardait ses distances vis-à-vis de George.
Hutch había cumplido con su palabra y mantenía una conducta cautelosa con George.
Celle qui avait précédé Elena dans sa vie lui avait demandé d’effacer toute la connaissance qu’il avait d’elle, et il s’était plus ou moins exécuté : le seul souvenir qu’il gardait d’elle était précisément l’expression de ce souhait.
su amante antes de Elena le había pedido que borrase todo lo que sabía de ella, y más o menos había cumplido... lo único que todavía recordaba era el hecho de que él había realizado la petición.
L’expression signifiait en effet qu’il n’était pas libéré de sa mission, car elle n’avait pas été accomplie selon les termes du contrat, et qu’Arunika gardait ainsi le droit d’invoquer la petite créature quand bon lui semblerait.
—porque «sin menoscabo» significaba que no quedaba licenciado de su deber, que no había cumplido las condiciones de su contrato, y que Arunika se reservaba el derecho de volver a llamarlo a su lado cuando lo considerara oportuno.
Un jour, le 11 octobre 1970, environ quatre mois après son soixantième anniversaire, mon père se leva tôt, comme d’habitude, bien avant tout le monde, il se rasa, s’aspergea d’eau de toilette, il humecta ses cheveux pour les coiffer en brosse, il mangea un petit pain beurré et but deux tasses de thé, il parcourut le journal, soupira, consulta son carnet qu’il gardait toujours ouvert sur son bureau afin de cocher ce qui était fait au fur et à mesure, il noua sa cravate et enfila son veston, il prépara une petite liste de courses et se rendit en voiture place du Danemark, à l’angle de la rue de Beit Hakerem et de l’avenue Herzl, pour acheter quelques articles à la petite papeterie située au sous-sol, où il se fournissait habituellement. Il se gara, verrouilla la voiture, descendit la demi-douzaine de marches et fit la queue, cédant même gracieusement sa place à une dame âgée, il acheta tout ce qui figurait sur sa liste, plaisanta avec la propriétaire de la boutique sur le double sens du mot « trombone » qui signifiait un instrument à vent et une agrafe, il ajouta aussi quelque chose à propos de la négligence de la mairie, il paya, recompta soigneusement sa monnaie, il prit le sac que lui tendait la propriétaire, la remercia chaleureusement en la priant de ne pas oublier de transmettre le bonjour à son cher mari, il prit congé en lui souhaitant une bonne journée et en saluant les deux clients suivants, il tourna les talons, se dirigea vers la porte et s’effondra, terrassé par un infarctus. Il donna son corps à la science et j’héritai de son bureau.
Un día, el 11 de octubre de 1970, unas cuatro semanas después de haber cumplido sesenta años, mi padre se levantó temprano como de costumbre, mucho antes que el resto de la familia, se afeitó, se perfumó, se humedeció un poco el pelo antes de peinárselo hacia atrás, se comió un panecillo con mantequilla, se tomó dos vasos de té, leyó el periódico, suspiró varias veces, echó un vistazo a la agenda, que estaba siempre abierta en su escritorio para poder tachar con una raya todo lo que ya estaba hecho, se puso una corbata y una chaqueta, hizo una pequeña lista de la compra y se fue en coche hacia la plaza de Dinamarca, en el cruce de la avenida Herzl y la calle Bet Hakerem, para comprar material de escritorio en una pequeña tienda donde solía adquirir todo lo que necesitaba. Aparcó y cerró el coche, bajó cinco o seis escalones, esperó su turno, incluso le cedió amablemente el paso a una señora, compró todo lo que llevaba escrito en la nota, bromeó con la dueña de la tienda diciéndole que la palabra mehadeq era tanto un sustantivo, que significa «clip», como un verbo, que significa «sujetar»; también le comentó algo sobre la negligencia del ayuntamiento, pagó, esperó el cambio, lo contó bien, cogió la bolsa con las compras, le dio las gracias a la señora, le pidió que no olvidara saludar de su parte a su querido marido, se despidió, le deseó que pasara un buen día, les dijo adiós también a dos desconocidos que estaban esperando detrás de él, se dio la vuelta, caminó hasta la puerta, cayó y murió allí mismo de un ataque al corazón.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test