Traduction de "fils dieu" à espagnol
Exemples de traduction
 — Mon fils, Dieu a des réserves infinies de pardon, murmura-t-il.
Hijo, Dios es infinito en su capacidad de misericordia —me dijo—.
Tandis que jamais, à sa connaissance, personne d’autre que le fils-dieu de Boonta n’avait mangé la bougie-dieu.
Pero nunca, al menos por lo que sabía, nadie aparte el hijo-dios de Boonta había comido la vela-dios.
demain vous voudrez déterminer les conditions dans lesquelles doit venir cette lignée, et vous tourmenterez votre fils. — Dieu m’en garde ! — Eh !
mañana querréis determinar las condiciones en que ha de venir la misma y atormentaréis a vuestro hijo… —¡Dios me guarde!
au nom de Dieu, quittez cette maison: c’est votre présence ici qui tue mon fils. Dieu me punit, ajouta-t-elle à voix basse, il est juste;
¡Te conjuro por Dios vivo que salgas de esta casa! Tu presencia asesina a mi hijo... Dios me castiga... es muy justo...
« Un fils. Dieu lui donne une longue et belle vie, qu’il soit tout ce que je n’ai pas été, et que sa mère le voie chaque jour plus beau ;
Un hijo, Dios le dé larga y feliz vida, que sea todo lo que yo no fui, y que su madre lo vea cada vez más hermoso;
Il pouvait trouver quelque chose pour les recouvrir, mais s’il commençait à prendre soin des cadavres, quand cela se terminerait-il ? Lorsqu’il recouvrirait celui de Sharon ? celui de son fils ? « Dieu m’en garde », murmura-t-il, doutant cependant que Dieu l’en garderait simplement parce qu’il le lui demandait.
Podía buscar algo con qué cubrirlos, pero una vez empezara a cubrir cadáveres, ¿cuándo pararía? ¿Dónde? ¿Con Sharon? ¿Con su hijo? -Dios no lo quiera –musitó.
— Depuis un moment, reprit le cardinal, je regarde cette Italienne qui reste là dans une insensibilité profonde, elle guette la mort de son fils, Dieu lui pardonne ! je me demande si nous ne ferions pas bien de l’arrêter, ainsi que le roi de Navarre.
—Desde hace unos momentos —dijo el cardenal— contemplo a esa italiana que permanece en profunda inmovilidad, acechando la muerte de su hijo, ¡Dios la perdone!… Me pregunto si no habríamos hecho bien deteniéndola, así como al rey de Navarra.
Dans le droit-fil de l’exégèse biblique, elle suggère qu’Abraham a subi un test. Mais contrairement à la lecture traditionnelle, elle pense qu’Abraham a échoué sur toute la ligne, parce que en réalité il aurait dû se rebeller, refuser d’obéir à l’ordre divin et déclarer à Dieu : « Tu nous as interdit toi-même de faire des sacrifices humains, par conséquent, je refuse d’immoler mon fils. » Dieu a mis Abraham à l’épreuve et Abraham, l’illustre « chevalier de la foi », a échoué parce qu’il a répondu : « Oui, chef ! » au lieu de rétorquer : « C’est un ordre arbitraire surmonté d’un fanion noir. » (Un soutien inattendu de la position audacieuse de Hareven se trouve d’ailleurs dans TB, Taanit, 3,71 ; id., Jér., 19, 5.) La nation ne cesse de ferrailler contre les prophètes et ces derniers contre Dieu, tout en cherchant querelle au peuple et aux rois.
Que tendría que haberse opuesto al mandato y haberle respondido a Dios: «Tú mismo nos has prohibido realizar sacrificios humanos, por tanto me niego a sacrificar a mi hijo». Dios puso a prueba a Abraham, y Abraham, el aclamado «caballero de la fe», fracasó en la prueba porque dijo «Sí, mi comandante» cuando debería haber dicho: «Es una orden claramente ilegal sobre la que ondea una bandera negra». (Un apoyo sorprendente a la atrevida postura de Hareven acerca del sacrificio puede encontrarse en el Talmud de Babilonia, tratado Taanit 3a. Así como en Jeremías 19, 5). El pueblo discute sin cesar con los profetas, los profetas discuten con Dios, al tiempo que discuten con el pueblo y con los reyes.
Dieu dit, Ce sont là deux questions, nous devrons donc les examiner l’une après l’autre, par laquelle veux-tu commencer, Par la première, qui suis-je, demanda Jésus, Ne le sais-tu pas, demanda Dieu à son tour, Je croyais le savoir, je croyais être le fils de mon père, De quel père parles-tu, De mon père, le charpentier Joseph, fils de Héli, ou de Jacob, je ne sais plus très bien, Celui qui est mort crucifié, Je ne pensais pas qu’il y en eût un autre, Ce fut une tragique erreur des Romains, ce père-là est mort innocent et sans faute, Tu as dit ce père-là, cela signifie qu’il y en a un autre, Je t’admire, tu es vif, intelligent, Dans ce cas-ci ce n’est pas l’intelligence qui m’a servi, j’ai entendu cela de la bouche du Diable, Tu fréquentes le Diable, Je ne fréquente pas le Diable, c’est lui qui est venu à ma rencontre, Et qu’as-tu entendu de la bouche du Diable, Que je suis ton fils, Dieu fit lentement un geste affirmatif avec la tête et dit, Oui, tu es mon fils, Comment un homme peut-il être fils de Dieu, Si tu es fils de Dieu, tu n’es pas un homme, Je suis un homme, je vis, je mange, je dors, j’aime comme un homme, par conséquent je suis un homme et je mourrai comme un homme, À ta place je n’en serais pas aussi sûr, Que veux-tu dire, Ça c’est la deuxième question, mais nous avons le temps, qu’as-tu répondu au Diable qui a dit que tu étais mon fils, Rien, j’ai attendu le jour où je te rencontrerais, et lui je l’ai chassé du possédé qu’il tourmentait, le possédé s’appelait Légion et les diables étaient nombreux, Où sont-ils maintenant, Je ne sais pas, Tu as dit que tu les as chassés, Tu sais sûrement mieux que moi que quand on chasse des diables d’un corps on ne sait pas où ils vont, Et pourquoi devrais-je être au courant des affaires du Diable, Etant Dieu, tu dois être au courant de tout, Jusqu’à un certain point, seulement jusqu’à un certain point, Quel point, Le point où il devient intéressant de faire semblant d’ignorer, Tu sauras au moins comment et pourquoi je suis ton fils, et à quelle fin, Je constate que tu as l’esprit beaucoup plus dégourdi et même légèrement impertinent, vu la situation, que la première fois que je t’ai vu, J’étais un jeune garçon effarouché, maintenant je suis un homme, Tu n’as pas peur, Non, Tu auras peur, tranquillise-toi, la peur vient toujours, même à un fils de Dieu, Tu en as d’autres, D’autres quoi, Des fils, J’avais besoin d’un seul fils, Et moi, comment se fait-il que je sois ton fils, Ta mère ne te l’a-t-elle pas dit, Ma mère le sait-elle, J’ai envoyé un ange lui expliquer comment les choses s’étaient passées, j’ai pensé qu’elle t’en avait informé, Et quand cet ange est-il allé voir ma mère, Attends un peu, si je ne me trompe pas dans mes calculs ça s’est passé quand tu es parti de chez toi pour la deuxième fois et avant ton tour de passe-passe avec le vin à Cana, Ainsi donc ma mère était au courant et elle ne m’a rien dit, je lui ai raconté que je t’avais vu dans le désert et elle ne l’a pas cru, mais elle devait le croire après l’apparition de l’ange, et elle n’a pas voulu le reconnaître devant moi, Tu dois savoir comment sont les femmes, tu vis avec une femme, je le sais, elles ont toutes leurs délicatesses, leurs scrupules, Quelles délicatesses, quels scrupules, Eh bien, vois-tu, j’avais mêlé ma semence à celle de ton père avant que tu ne sois conçu, c’était la méthode la plus simple, celle qui sautait le moins aux yeux, Et puisque les semences étaient mêlées, comment peux-tu être certain que je suis ton fils, Il est vrai qu’en général dans ces affaires il n’est pas prudent de faire montre de certitude, encore moins de certitude absolue, mais moi cette certitude je l’ai, cela sert à quelque chose d’être Dieu, Et pourquoi as-tu voulu avoir un fils, Comme je n’en avais aucun au ciel, j’ai dû en fabriquer un sur terre, cela n’a rien d’original, même dans les religions avec des dieux et des déesses qui pourraient faire des enfants les uns avec les autres il n’est pas rare qu’un dieu descende sur terre, pour varier, je suppose, améliorant un peu en cours de route une fraction du genre humain en créant des héros et d’autres phénomènes, Et ce fils que je suis, pourquoi l’as-tu voulu, Pas par goût de la variété, inutile de le dire, Alors pourquoi, Parce que j’avais besoin de quelqu’un qui m’aide ici sur terre, Étant Dieu, tu ne devrais pas avoir besoin d’aide, Nous abordons là la deuxième question.
Dijo Dios, Son dos cuestiones, vayamos por partes, por cuál quieres empezar, Por la primera, quién soy yo, preguntó Jesús, No lo sabes, preguntó Dios a su vez, Creía saberlo, creía que era hijo de mi padre, A qué padre te refieres, A mi padre, al carpintero José hijo de Heli, o de Jacob, no sé bien, El que murió crucificado, No pensaba que hubiera otro, Fue un trágico error de los romanos, ese padre murió inocente y sin culpa, Has dicho ese padre, eso significa que hay otro, Me asombras, eres un chico experto, inteligente, En este caso no me sirvió la inteligencia, lo oí de boca del Diablo, Andas con el Diablo, No ando con el Diablo, fue él quien vino a mi encuentro, Y qué fue lo que oíste de boca del Diablo, Que soy tu hijo. Dios hizo, acompasado, un gesto afirmativo con la cabeza, y dijo, Sí, eres mi hijo, Cómo puede ser un hombre hijo de Dios, Si eres hijo de Dios, no eres un hombre, Soy un hombre, vivo, como, duermo, amo como un hombre, luego soy un hombre y como hombre moriré, En tu lugar, yo no estaría tan seguro de eso, Qué quieres decir, Esa es la segunda cuestión, pero tenemos tiempo, qué le respondiste al Diablo que dijo que eras hijo mío, Nada, me quedé a la espera del día en que te encontrase, y a él lo expulsé del poseso al que andaba atormentando, se llamaba Legión y eran muchos, Dónde están ahora, No lo sé, Dijiste que los expulsaste, Seguro que sabes mejor que yo que, cuando se expulsan diablos de un cuerpo, no se sabe adónde van, Y por qué tengo que saber yo los asuntos del Diablo, Siendo Dios, tienes que saberto todo, Hasta cierto punto, sólo hasta cierto punto, Qué punto, El punto en que empieza a ser interesante hacer como que ignoro, Al menos sabrás cómo y por qué soy tu hijo y para qué, Observo que estás mucho más despabilado de espíritu, incluso te noto un poco impertinente, considerando la situación, que cuando te vi por primera vez, Era un muchacho asustado, ahora soy un hombre, No tienes miedo, No, Lo tendrás, tranquilo, el miedo llega siempre, hasta a un hijo de Dios, Tienes otros, Otros, qué, Hijos, Sólo necesitaba uno, Y yo, cómo pude llegar a ser tu hijo, No te lo ha dicho tu madre, Lo sabe acaso mi madre, Le envié un ángel para que le explicara cómo ocurrieron las cosas, creí que te lo habría contado, Y cuándo estuvo ese ángel con mi madre, déjame ver, si no me equivoco, fue después de que tú salieras de casa por segunda vez y antes de hacer lo del vino en Caná, Entonces mi madre lo sabía y no me lo dijo, le conté que te vi en el desierto y no lo creyó, pero después de aparecérsele un ángel, tendría que haberlo creído, y no lo quiso reconocer ante mí, Deberías saber cómo son las mujeres, vives con una, ya lo sé, tienen todas sus manías, sus escrúpulos, Qué manías y qué escrúpulos, Yo mezclé mi simiente con la de tu padre antes de que fueras concebido, era la manera más fácil, la que menos llamaba la atención, Y estando las simientes mezcladas, cómo sabes que soy tu hijo, Es verdad que en estos asuntos, en general, no es prudente mostrar seguridades y menos una seguridad absoluta, pero yo la tengo, de algo me sirve ser Dios, Y por qué has querido tener un hijo, Como no tenía ninguno en el cielo, tuve que buscármelo en la tierra, no es original, hasta en las religiones con dioses y diosas que podían hacer hijos entre sí, se ha visto a veces que uno bajaba a la tierra, para variar, supongo, y de camino mejorar un poco a una parte del género humano con la creación de héroes y otros fenómenos, Y este hijo que soy, para qué lo quisiste, Por gusto de variar no fue, excusado sería decirlo, Entonces por qué, Porque necesitaba a alguien que me ayudara aquí en la tierra, Como Dios que eres, no debías necesitar ayudas, Esa es la segunda cuestión.
— Ah, mon fils, Dieu te pardonne.
—Ay hijo, que Dios te perdone.
 Va, Hassan mon fils, Dieu nous aidera.
—Vete, Hasan, hijo mío. Dios nos ayudará.
Quand elle a signé Fils Dieu, je suis resté confondu.
Verla hacer los signos de Hijo de Dios ha sido demasiado para mí.
Ces derniers mots s’adressaient à Marie de Magdala, qui les prendrait en bonne part, mais Jésus ne songea pas qu’ils ne feraient qu’accroître la souffrance de Marthe et le désespoir de sa solitude, voilà la différence entre Dieu et son fils, Dieu les prononcerait exprès, ces mots, son fils l’a fait uniquement par une maladresse toute humaine.
Las últimas palabras iban destinadas a María de Magdala, que las tomaría por el lado bueno, pero no reparó Jesús en que estas palabras servirían para aumentar el sufrimiento de Marta y la desesperación de su soledad, ésta es la diferencia que hay entre Dios y un hijo suyo, Dios lo haría adrede, lo hizo el hijo sólo por humanísima torpeza.
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