Traduction de "naces" à française
Exemples de traduction
Si naces hombre, ¡sé hombre!
T’es homme, fais l’homme !
Naces aquí y… las cosas son como son… —No nací aquí. Vine aquí.
C’est là que nous sommes nés et… les choses sont ce qu’elles sont. — Ce n’est pas ici que je suis .
Es como cuando naces en Riverside y le dices a todo el mundo que eres de Los Angeles.
C’est comme quand on vient au monde à Riverside et qu’on dit à tout le monde être à Los Angeles.
Hay muchos datos que apoyan la tesis de que, si naces negro en el Reino Unido, no disfrutarás de las mismas oportunidades que otros.
Les exemples sont légion, qui prouvent à quel point vos chances de réussite sont freinées voire entravées, lorsque vous êtes Noir en Grande-Bretagne.
A veces, preferiría que mi apellido fuese más normal, pero, por desgracia, no se puede elegir y, si naces Ushikawa, te guste o no te guste, serás Ushikawa toda la vida.
Il m’arrive de songer que j’aurais aimé avoir moi aussi un nom normal, comme le vôtre, malheureusement, on ne choisit pas, n’est-ce pas ? Je suis sous le nom d’Ushikawa et, que cela me plaise ou non, je le garderai toute ma vie.
Casi desde el 46, cuando nací, y mi jefe luego pensó: «Que aprenda el oficio y que ayude en la casa», y seguro lo pensó cuando yo todavía mamaba, y ni Carlos me decían cuando era el escuincle, porque así es por la Morelos, naces con destino.
Presque depuis 1946, quand je suis , et que mon père a pensé : « Il apprendra le métier et il aidera à la maison. » Il a sûrement pensé ça quand j’étais encore au sein et qu’on ne m’appelait même pas Carlos, quand j’étais gamin, parce qu’à Morelos tu nais avec un destin.
—Significa que todo el mundo sabe que no puedes mantenerte alejado de una pelea o una apuesta, te dan igual las posibilidades. Jesper levantó la mirada hasta las velas entrecerrando los ojos. —Cuando no naces con todas las ventajas, aprendes a correr riesgos.
— Ça veut dire que tu peux pas résister à une bagarre ou un pari, même si t’as aucune chance. — Celui qui est pas avec tous les privilèges apprend à saisir les opportunités, répliqua Jesper, le regard perdu vers le large.
No pude esperar. En el puerto del Caballo Coceador, ¿qué te parece? Si naces a lomos de un caballo coceador, sabes valerte por ti misma, y eso es un hecho». A continuación, tanto si sus interlocutores le siguen la corriente en su respuesta como si se encogen en un silencio de desconcierto, ella lanza una risa de desafío.
Je ne pouvais pas attendre. Kicking Horse Railway, qu’est-ce que tu dis de ça ? Quand on est sur un cheval qui rue, on sait se défendre, y a pas à dire. » Puis, que ses auditeurs lui répliquent dans la même veine ou se recroquevillent dans un silence déconcerté, elle part d’un éclat de rire de défi.
Si eres un chico judío del Lower East Side de Manhattan, naces con ojos, narices, boca, orejas, pies y manos, todo un cuerpo más algo sólo nuestro: un pedruzco en el hombro, a chip on the shoulder, desafiando al extraño (y quién no es un extraño si naces en un barrio como el nuestro) a que te quite de un manotazo brutal o de un delicado y desdeñoso dedazo, la piedreci-ta que todos traemos en el hombro, a sabiendas de que esa piedre-cita no está puesta allí, nacimos con ella, es una excrecencia de nuestra carne humillada, pobre, inmigrante, italiana, irlandesa o judía (polaca, rusa, húngara, pero judía siempre), se nota más cuando nos desnudamos para darnos una ducha o hacer el amor o dormir desvelados pero hasta cuando nos vestimos la astilla del hombro rompe la tela de la camisa, o de la chamarra, sale, se muestra, le dice al mundo atrévete a molestarme, atrévete a insultarme, a pegarme, a humillarme, atrévete nada más.
Quand on est un petit Juif du Lower East Side de Manhattan, cela veut dire qu’on est avec des yeux, un nez, une bouche, des oreilles, des mains et des pieds, tout un corps au grand complet, plus une particularité qui n’appartient qu’à nous : un truc sur l’épaule, a chip on the shoulder, défiant l’autre (et qui n’est pas l’autre pour quelqu’un qui est dans un quartier comme le nôtre) de te le faire sauter d’une tape brutale ou d’une chiquenaude délicate et dédaigneuse, ce petit caillou que nous portons tous sur l’épaule et dont nous savons que personne ne l’y a déposé, que nous sommes nés avec, qu’il s’agit d’une excroissance de notre chair humiliée, misérable, immigrée, italienne, irlandaise ou juive (polonaise, russe, hongroise, peu importe, toujours juive) ; elle se remarque davantage quand nous nous déshabillons pour prendre une douche ou faire l’amour ou passer une nuit d’insomnie, mais même quand nous sommes habillés, l’écharde transperce l’étoffe de la chemise ou du blouson, apparaît, se montre, l’air de dire au monde, viens donc m’embêter, m’insulter, me frapper, m’humilier, ne te gêne pas.
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