Traduction de "añorar" à française
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Empezó a añorar la liberación de la muerte, un fin a sus interminables días.
 Il commença à aspirer à la délivrance de la mort, un terme à ses jours sans fin.
A menudo sucedía en tiempos de guerra que la población civil era timorata y las imágenes de muerte y destrucción les hacían añorar la paz.
Il était fréquent, en période de guerre, que les civils restés chez eux se montrent timorés et que les images de mort et de destruction les fassent aspirer à la paix.
Vio a los niños neozelandeses comer perros crudos y añorar su hogar.
Il vit les jeunes Néo-Zélandais manger de la viande de chien crue et se languir de leur pays.
—Una esposa tiene derecho a añorar a su marido, y si una madre necesita tener cerca a sus hijas, ¿quién se lo puede negar?
— Une épouse a le droit de se languir de son époux, que je sache, et une mère de ses filles. Qui pourrait le lui dénier ?
¿Para volver a añorar desde allí un Eretz Israel que ya no existe y que posiblemente nunca existió salvo en nuestros sueños juveniles?
Pour me languir là-bas d’Israël qui n’existe plus et n’a peut-être jamais existé ailleurs que dans nos rêves de jeunesse ?
una bereber emigrada a Occidente para añorar su Rif, el típico remordimiento autojustificativo de quien se percata de que el castigo es doble cuando se es culpable de ser víctima.
une Berbère venue en Occident se languir de son Rif, pareille à un remords qui se cherche une culpabilité pour se justifier et qui s’aperçoit que la peine est double lorsque l’on est coupable d’être une victime.
Lo suficientemente mayor para ir a la guerra y lo suficientemente joven para yacer despierto en medio de la noche y del miedo, para añorar la cama de su cuarto y la seguridad que le infundía su padre en la rectoría, lo suficientemente joven para preguntarse si volvería a sentir en su cuerpo los brazos de su madre.
Assez vieux pour faire la guerre, assez jeune pour rester éveillé dans l’obscurité et avoir peur, se languir du lit dans sa chambre, de la présence rassurante de son père dans le presbytère, assez jeune pour se demander s’il retrouverait jamais les bras maternels.
Si el día había sido malo, la noche fue aún peor, pues era la primera que pasaba solo, y la ausencia de Willy era tan fuerte, tan palpable en el aire que le rodeaba, que Míster Bones apenas hizo otra cosa que yacer inmóvil en su sitio y añorar la cercanía del cuerpo de su amo.
Si la journée avait été mauvaise, la nuit fut pire encore, car c'était la première qu'il eût jamais passée seul et il ressentait si fort l'absence de Willy, elle était si palpable dans l'air qui l'entourait, que Mr. Bones ne fit guère que rester couché sur son lopin de terre en languissant après la proximité du corps de son maître.
El vernissage del cuadro de Andrea Negrete por Tízoc Am-briz fue, por fin, el pretexto para que Laura saliera de su viudez sin fiambre, como decía, con cierto dejo macabro, Elizabeth, y asistiese a una función «artística», ya bastaba de rumiar el pasado, imaginar amores imposibles, contar historias de Veracruz, añorar a los hijos, sentir vergüenza de ir a Xalapa porque se sentía culpable, porque era ella la que abandonó el hogar, como abandonó a los hijos, y no sabía de qué manera justificar sus abandonos, no quería rebajar la imagen de Juan Francisco ante los hijos, no quería admitirles a la Mutti y a las tías que se había equivocado, que mejor hubiera buscado un muchacho de su clase en los bailes de San Cayetano y el Casino Xalape-ño, pero sobre todo no quería hablar mal de Juan Francisco, quería que todos siguiesen creyendo que ella puso la fe en un hombre luchador y valiente por encima de todo, un líder que resumía cuanto había sucedido en México en este siglo, no quería decirle a su familia me equivoqué, mi marido es un corrupto o un mediocre, mi marido es un ambicioso indigno de su ambición, tu padre, Santiago, no puede vivir sin que le reconozcan sus méritos, tu padre, Dantón, es derrotado por el convencimiento de que los demás no le dan su lugar -mi marido, Elizabeth, no es capaz de reconocer que ya perdió sus méritos.
Le vernissage du portrait d’Andrea Negrete par Tizoc Ambriz fut finalement l’occasion pour Laura de sortir de son veuvage sans cadavre, comme disait Elizabeth avec quelque ironie macabre, et d’assister à une activité « artistique » ; cela suffisait de ressasser le passé, d’imaginer des amours impossibles, de raconter des histoires de Veracruz, de se languir de ses enfants, d’avoir honte d’aller à Xalapa parce qu’elle se sentait coupable, parce que c’était elle qui avait déserté le foyer, comme elle avait abandonné ses enfants sans savoir comment justifier ses abandons, elle ne voulait pas ternir l’image de Juan Francisco auprès de ses enfants, elle ne voulait pas reconnaître devant la Mutti et ses tantes qu’elle s’était trompée, qu’elle aurait mieux fait de se chercher un garçon de son milieu dans les bals de San Cayetano et du Casino de Xalapa, mais surtout elle ne voulait pas dire du mal de Juan Francisco, elle voulait que tout le monde continue à croire qu’elle avait placé sa confiance dans un homme courageux et combatif, un leader qui incarnait tout ce qui était arrivé au Mexique au cours du siècle, elle ne voulait pas avouer à sa famille je me suis trompée, mon mari est un corrompu et un médiocre, mon mari est un ambitieux indigne de son ambition, ton père, Santiago, ne peut pas vivre sans qu’on lui reconnaisse ses mérites, ton père, Dantón, est malheureux parce qu’il est convaincu que les autres ne l’estiment pas à sa juste valeur — Elizabeth, mon mari est incapable de reconnaître qu’il a perdu tous ses mérites.
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