Traduction de "frío y calor" à française
Exemples de traduction
Allí, fuese invierno o verano, no había frío ni calor: siempre la misma frescura constante, un poco húmeda, invariable.
Là, hiver comme été, il n’y avait ni froid ni chaleur : toujours la même fraîcheur constante, un peu humide, invariable.
Pero el contacto hizo que nuestras temperaturas se equilibrasen en un punto desconocido, un lugar donde ideas como frío y calor no significaban nada.
Mais, avec le contact, nos températures s’équilibrèrent en un point inconnu, un lieu dans lequel des idées comme froid et chaleur ne voulaient rien dire.
Allí estaba, rodeado de una llanura de vegetación incipiente, donde pacían rebaños de cabras, el añorado lugar cuyo nombre le había servido de acicate para emprender la travesía y la había ayudado a soportar la fatiga, el hambre, el frío, el calor y los estupros.
C’était là, entouré d’une plaine à la végétation naissante où broutaient des troupeaux de chèvres, le lieu désiré dont le nom lui avait servi d’aiguillon pour entreprendre sa traversée et l’avait aidée à supporter la fatigue, la faim, le froid, la chaleur et le stupre.
Los budistas también hacían distinciones entre los diferentes tipos de castigo a que el alma puede enfrentarse: ocho infiernos de fuego, ocho completamente helados y, además, un reino en donde el condenado no sentía frío ni calor, sólo un hambre y una sed infinitas.
Les bouddhistes, de leur côté, faisaient des distinctions parmi les différents types de punition que l’âme pouvait subir : huit enfers de feu et huit de glace, sans compter un royaume où le damné ne sentait ni froid ni chaleur, mais souffrait d’une faim et d’une soif sans fin.
Además de las contingencias habituales del camino: puentes arrastrados por la corriente, incendios en los bosques, lluvias torrenciales, frío gélido, calor abrasador. Y los peligros habituales: ladrones, trolls, ogros, hombres lagarto, lobos, serpientes y los gigantes que de vez en cuando vagaban sin destino.
Sans même parler des aléas ordinaires de tout trajet, ponts emportés, feux de forêt, orages torrentiels, froid mordant, chaleur étouffante, ni des dangers normaux : voleurs, trolls, ogres, hommes-lézards, loups, serpents, éventuellement un géant égaré.
Esa era nuestra vida y no había nada que hacer, no podíamos hacer nada excepto contarnos cuentos, y contárselos a los demás para hacer habitable aquel desierto devastado hasta el subsuelo, la pena negra en la que nos había tocado vivir y en la que no podíamos permitirnos el lujo de pensar que mejor habría sido morirse, mientras tuviéramos un cuerpo capaz de sentir hambre y sed, de acusar el frío, el calor, de reclamar el sueño.
C’était notre existence et il n’y avait rien à faire, nous n’y pouvions rien sauf nous raconter des histoires et en raconter aux autres pour rendre vivable ce désert dévasté jusqu’au sous-sol, cette misère noire dans laquelle nous étions obligés de vivre et au sein de laquelle nous ne pouvions nous payer le luxe de penser qu’il aurait été préférable de mourir, tant que notre corps était capable de ressentir la faim, la soif, d’accuser le froid, la chaleur, de réclamer le sommeil.
En los pasillos y patios afuera de mi puerta oigo el clamor: una oreja para mí, el dedo pulgar del pie derecho, no, tiene que ser del derecho y no del izquierdo, bueno, entonces tiene que esperar porque el pulgar del pie derecho está pedido… cuatro turnos, quién sabe cuánto tiempo, a veces los pulgares se demoran mucho en volver a crecer, un párpado, un trozo de piel, un dedo para la mano monstruosa que nació con cuatro, después me crecerá otro y me volverán a sacar dedos y a ponerme otros, y a sacarme la nariz y a ponerme otra… se va extendiendo el tiempo al que soy ajeno, nada cambia, nada se mueve en la calle que mi ventana enmarca, ni de día ni de noche, ni frío ni calor, esta sustitución eterna de órganos que me renuevan, sin derecho a la muerte, el tiempo estático y elástico, las cosas idénticas, ni agua ni no agua, todo blanco, todo en penumbra, voces apagadas, el reloj sin punteros, el corazón que no palpita, la falta de hambre a las horas del hambre y a cualquier hora porque no tengo estómago, me lo robaron, ochenta por ciento y a veces más, el tiempo no transcurre en esta penumbra que me niega el derecho al orgasmo del fin. Creen que duermo.
Dans les couloirs et les cours derrière ma porte, j’entends leurs clameurs : une oreille pour moi, un pouce de pied droit, non, du droit, pas du gauche, alors il faut attendre car celui du pied droit est déjà demandé… quatre fois, qui sait combien de temps ça peut durer, parfois les pouces tardent longtemps à repousser, une paupière, un morceau de peau, un doigt pour la main monstrueuse qui n’en avait que quatre à la naissance, puis il m’en repoussera un, et on m’enlèvera encore des doigts pour m’en remettre d’autres, et le nez pour le changer… le temps s’allonge et je lui suis étranger, rien ne change, rien ne bouge dans la rue qu’encadre ma fenêtre, ni le jour ni la nuit, ni froid ni chaleur, éternelle substitution d’organes qui me rénovent, sans que j’aie droit à la mort, temps statique et élastique, les choses identiques, ni eau ni pas d’eau, tout blanc, tout dans la pénombre, des voix éteintes, l’horloge sans aiguille, le cœur qui ne palpite pas, pas faim aux heures où on a faim, ni à n’importe quelle heure, car je n’ai plus d’estomac, on me l’a volé, quatre-vingts pour cent et parfois plus, le temps ne s’écoule pas dans cette pénombre qui me refuse le droit à l’orgasme de la fin. ILS CROIENT QUE JE dors.
Pero yo prefería el frío al calor.
Mais je préférais le froid à la chaleur.
La espera era a la energía lo que el frío al calor: la minaba.
L’attente minait l’énergie comme le froid absorbe la chaleur.
Esta abertura era oscura, y recibía por ella más frío que calor, más niebla que luz.
Cette ouverture était sombre, et il lui venait par cette lucarne plus de froid que de chaleur, plus de nuit que de jour.
Presenta todas las características de la auténtica vida, y reacciona ante el frío, el calor y todos los compuestos químicos imaginables.
Il présente toutes les caractéristiques de la vraie vie, réagit au froid, à la chaleur et à toutes les combinaisons chimiques possibles.
Y entonces le llamó la atención el hecho de que no sentía nada, ni frío ni calor, ni siquiera rabia o resignación. No sentía nada.
Il ne sentait rien, ni le froid ni la chaleur. Il n'était ni résigné ni en colère, il ne sentait absolument rien.
Todas las veces en que se abría una puerta, se recibía, según se saliera de un cuarto o se entrara en él, una vaharada de frío o calor.
Chaque fois qu’on ouvrait une porte, on recevait, selon qu’on sortait d’une pièce ou qu’on y entrait, une bouffée de froid ou de chaleur.
Sintió el mordisco, la paralizadora punzada de frío o calor que desgarraba su cuerpo en dos, cercenando todas las conexiones.
Sentit la morsure, la piqûre de froid ou de chaleur paralysante qui déchira son corps en deux et coupa toutes les connexions.
Se iba desgastando, desmoronándose imperceptiblemente por los efectos de la atmósfera, el frío, el calor, las tormentas que lo atacaban, y si uno pudiera mirarlo a lo largo de los siglos, al final comprobaría que había desaparecido.
Elle s'usait, se délabrait imperceptiblement sous les effets de l'atmosphère, du froid, de la chaleur, des orages qui l'agressaient, et à la longue, si on pouvait l'observer au-delà des siècles, elle disparaîtrait.
Los Árboles rodeaban como un anillo el gran otero, tras vigilar durante toda la noche, del mismo modo que habían vigilado durante siglos, con frío y calor, lluvia y sequía, mediodía y medianoche, nubes y sol.
Les Arbres entouraient la grande colline. Ils avaient veillé toute la nuit, comme ils veillaient depuis des siècles, dans le froid et la chaleur, la pluie et la sécheresse, à midi comme à minuit, sous les nuages et au soleil.
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