Traduction de "dolor y dolor" à française
Exemples de traduction
Mi ruta era dolor sobre dolor.
Pour moi c’était douleur sur douleur.
El dolor, el dolor inconcebible...
La douleur... Une douleur incroyable...
¡Ay, qué dolor, qué dolor!
Ah, quelle douleur, quelle douleur !
Dolor negro, dolor blanco, dolor amarillo, más. La habitación 27 intacta.
Douleur noire, douleur blanche, douleur jaune, encore et toujours. Chambre 27 intacte.
—Tuve un dolor, un dolor insoportable.
— J’ai ressenti une douleur, une douleur incroyable.
Y entonces la tabla que tengo debajo se mueve brevemente y qué dolor qué dolor qué dolor… Todo se vuelve negro.
Puis la planche sous moi se déplace, et l’espace d’un instant… la douleur la douleur la douleur ! Et tout devient noir.
¡Cómo había marchado ella de dolor en dolor!
Comme elle avait marché de douleur en douleur !
no más dinero, no más dolor, dolor, dolor.
Assez d’argent, assez de douleur, Douleur, douleur.
Y su dolor, el dolor soberano, era lo que lo mantenía con vida.
Et sa douleur, la douleur souveraine, était ce qui le maintenait vivant.
Oh, el dolor, el dolor de la fragilidad.
Plus rien que la douleur, la douleur et la faiblesse. Pleurez, oh !
¿Ahora hemos de decir que tenemos el mismo dolor o dolores diferentes?
Maintenant, allons-nous dire que nous avons la même douleur, ou des douleurs différentes ?
Una de las mujeres me toma por los brazos. La otra agarra mis piernas destrozadas. Dolor. Un dolor terrible.
L’une des femmes me saisit par les bras, l’autre par mes jambes abîmées. Douleur. Peur et douleur.
No volví a sentir miedo, solo dolor, mucho dolor, en las más de tres horas de camino.
Je n’ai plus éprouvé de peur, seulement de la douleur, une énorme douleur, pendant ces trois heures et plus.
Ya no me siento incómodo cuando estoy entre ellos, más bien todo lo contrario, pero recuerdo el dolor, el dolor de estar fuera de ese mundo sabiendo que no se vive en las mismas condiciones.
Je ne suis plus mal à l’aise vis-à-vis de cette classe de gens, c’est même l’inverse, mais je me souviens de la douleur, de la douleur de me sentir exclu de ce monde, de savoir que l’on ne vivait pas sur un pied d’égalité.
Escuchaba la descripción que hacía la gente de sus enfermedades y observaba lo que les daba Sannas, y luego seguía su progreso en pos de la recuperación o la muerte. Muchos llegaban quejándose de dolores, simplemente dolores, y a menudo se frotaban el vientre y Sannas les daba a mascar tiras de hongo, o les hacía beber una densa mezcla de hierbas, hongos y sangre fresca.
Il écoutait les gens décrire leurs maux et observait ce que Sannas leur administrait, puis notait les progrès de la guérison ou de la mort. Beaucoup se plaignaient de douleurs, uniquement de douleurs. Une fois sur deux, ils se frottaient le ventre et Sannas leur donnait des tranches de champignon à mâcher ou bien concoctait d’épaisses mixtures à base de plantes, de champignons et de sang frais.
Le brotaba la sangre a borbotones de la mano herida, cuando Scylla se dio cuenta de que la muchacha sentada en el banco de enfrente se había levantado y empuñaba una pistola, una cosa estúpida, porque las pistolas eran, en la oscuridad, armas estúpidas, que solo hacían ruido, y si se acertaba con ellas, era por puro azar, pero aun estando equivocada en cuanto al empleo de este arma, habría podido matarle con ella si se hubiera movido con la suficiente rapidez, porque en ese momento estaba dominado por el dolor, el dolor cambia el mundo.
Alors que le sang jaillissait abondamment de sa paume droite blessée, Scylla comprit que la fille sur le banc de l’autre côté avait un pistolet à la main, ce qui était stupide, les armes à feu étaient stupides dans l’obscurité, simples faiseuses de bruit, tout coup étant un coup de veine, mais même si elle avait eu tort de tirer son pistolet, elle aurait pu avoir Scylla si elle avait été assez rapide, parce que exactement à ce moment-là, il était dominé par la douleur, et la douleur change le monde.
Habría podido gritar como los demás, pero el dedo anular de la intrusa mano —trabajando con rápida habilidad de cirujano, increíblemente decidido en sus sondeos y en penetración— se encargó de que no lo hiciera, consiguiendo que el simple pánico fuera sustituido en la mente de Sophie por la más horrorizada y ofendida incredulidad: la de que alguien estuviera abusando de ella digitalmente. No se trataba de un torpe manoseo al azar, sino de un rápido asalto a fondo, para decirlo llanamente, a su vagina, a la que el dedo, como si actuara por cuenta propia, buscó cual perverso y serpenteante roedor y en la que, después de salvar la sedosa entrada, se hundió en toda su longitud, causándole dolor; menos dolor, sin embargo, que hipnótico pasmo.
Mais la main au médius raidi – qui s’activait avec une hâte et une habileté toutes cliniques, sondait et fouillait avec une autorité stupéfiante – se chargea de veiller au grain, avec pour résultat que dans son esprit le sentiment de banale panique fut remplacé par l’incrédulité faite de surprise et d’horreur de quelqu’un qui, brusquement, se sent soumis à un viol digital. Car c’était cela, non point un tâtonnement gauche et aveugle, mais une agression brutale et résolue sur, disons la chose crûment, son vagin, que le doigt désincarné cherchait, pareil à un petit rongeur maléfique et frétillant qui, contournant vivement la soie, pénétrait de toute sa longueur, déclenchant en elle un spasme de douleur, moins de douleur pourtant que de stupéfaction, une sorte d’hypnose stupéfaite.
Dura un instante tan sólo, claro, en realidad no más que una abrir y cerrar de ojos, pero en ese instante, calcinado por sus ojos, depravado por su sangre, soy traspasado por un violento pinchazo de dolor, un dolor físico, en la barriga, en la cabeza, por todas partes, y al mismo tiempo veo cómo desciende sobre su rostro ensangrentado el triunfo del mal absoluto, que por otro lado, me doy cuenta de ello, es tan sólo otra de mis listas, fulminante y horrorosa, la lista de las cosas que en toda mi vida mis ojos y mi mente han visto como carentes del hálito del alma de una forma palmaria: el rictus de las calaveras, el ojo vidrioso de los tiburones, la piel gris de los zombis, las montañas de cadáveres en los campos de concentración, el vómito verde de El exorcista, la pirámide de sillas de Poltergeist, la idiotización de Frankenstein, la página de Eso que explica lo que es Eso, la descripción física del señor Hyde, Opale cuando se lía a patadas con el tullido, el toro que mata al torero, Pinocho al ser colgado del roble, Belfagor, Drácula, Moby Dick, los hombres lobo, ese Morgante que me acaricia el rostro con una espiga, la propietaria de la Brick de Lugano que se hunde en el agua como una piedra, mamá tendida en el ataúd con la rebeca beige que parece vacía, el cuerpo sin vida de Lara rodeado por las tajadas de melón… De pronto, un golpe de suerte: en la sala se va la luz y el hecho de no ver nada más me hace estar mejor enseguida.
Bien sûr, ça ne dure qu’un instant, à peine plus qu’un battement de paupières, mais pendant cet instant, réduit en cendres par ses yeux, corrompu par son sang, je suis traversé d’une douleur aiguë, une douleur physique au ventre, à la tête, partout, et en même temps je vois éclater sur son visage ensanglanté le triomphe du mal absolu – qui d’ailleurs, je m’en rends compte, n’est qu’une autre de mes listes, instantanée et effrayante, la liste de ce que, au cours de mon existence, mes yeux et mon esprit ont vu et où manquait à l’évidence le souffle de l’âme : le rictus des têtes de mort, l’œil vitreux des requins, la peau grise des zombies, les tas de cadavres des camps d’extermination, le vomi vert de L’Exorciste, la pyramide de chaises de Poltergeist, l’abrutissement de Frankenstein, la page de It qui explique ce qu’est It, la description physique de monsieur Hyde, Opale qui bourre l’estropié de coups de pied, le taureau qui tue le torero, Pinocchio pendu au grand chêne, Belphégor, Dracula, Moby Dick, les loups-garous, ce Morganti qui me caresse le visage avec un épi, la propriétaire de la Brick de Lugano qui coule comme une masse, maman allongée dans son cercueil et son gilet gris qui semble vide, le corps désarticulé de Lara entouré de tranches de melon… Soudain, le coup de bol : l’électricité est coupée et le fait de ne plus rien voir me requinque aussitôt.
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