Traducción para "battre en" a español
Ejemplos de traducción
Tu voulais me battre, cette nuit.
Me querías golpear anoche.
Je ne vais pas vous battre pour le plaisir.
No te golpearé por el mero placer de hacerlo.
J’entendais la pluie battre les fenêtres.
Escuché la lluvia golpear en la ventana.
— Comment osez-vous battre cet homme ?
—¡Cómo se atreven a golpear a ese hombre!
Son cœur se met à battre violemment.
Su corazón empezó a golpear pesadamente.
Je suis un grand sentimental : je n’aime pas battre les femmes.
Cuando hay que golpear a una mujer, me pongo sentimental.
Kringström recommence à battre la cadence.
Kringström vuelve a golpear el suelo con el pie.
On entendait un marteau battre sur quelque chose de métallique.
Se oía un martillo golpear en algo metálico.
les vagues semblaient battre contre sa poitrine même.
Las olas parecían golpear contra su mismo pecho—.
Pour ce qui était de se battre, je ne savais par où commencer.
Cuando lo que estaba en juego era golpear a alguien, no sabía por dónde empezar.
Et ton émission va battre des records d’audience.
Y la audiencia de tu programa va a ser fantástica.
D’autres unités, découvrit-il, n’étaient pas encore en état de se battre et certaines même n’avaient d’unités que le nom, ou du moins n’existaient pas encore.
Otros grupos que encontró, no podían servirle para unas operaciones e incluso había unidades fantásticas que todavía habrían de formarse.
(Le vampire s’inclina légèrement dans sa direction.) Le professionnel dont la conscience lui interdit d’accepter de l’argent pour se battre contre des peurs chimériques.
—El vampiro se inclinó leve­mente en su dirección—. Un profesional al que su orgullo profesional no le permitiría aceptar dinero por luchar contra miedos fantásticos.
Avec un soupir dégoûté, il s’assit sur le lit et, aussitôt, un marteau se mit à lui battre les tempes. « Parfait, pensa-t-il, j’ai la gueule de bois.
Se incorporó con un murmullo de disgusto, sacando las piernas fuera de la cama. Le latían las sienes como si el cerebro quisiera salir del cráneo. Fantástico, pensó, esto es la borrachera de anoche.
Les poings serrés sur l’embout de cuivre, armé de ce python géant qui crachait son venin de pétrole sur le monde, il sentait le sang battre à ses tempes, et ses mains devenaient celles d’un prodigieux chef d’orchestre dirigeant toutes les symphonies en feu majeur pour abattre les guenilles et les ruines carbonisées de l’Histoire.
Con la punta de bronce del soplete en sus puños, con aquella gigantesca serpiente escupiendo su petróleo venenoso sobre el mundo, la sangre le latía en la cabeza y sus manos eran las de un fantástico director tocando todas las sinfonías del fuego y de las llamas para destruir los guiñapos y ruinas de la Historia.
Dans les moments de désespoir, il reprenait confiance auprès du petit Chilien. Ils passaient leur temps à faire des projets fantastiques en vue de s'émanciper : ils allaient monter un spectacle ambulant, parlaient d'acheter un ours, de l'entraîner à la boxe et d'aller de village en village pour lancer des défis aux courageux, afin de les inciter à se battre à coups de poing avec l'animal.
En los momentos desesperados confiaba en el Chilenito y los dos se entretenían haciendo planes fantásticos para emanciparse: iban a montar un espectáculo ambulante, hablaban de comprar un oso y entrenarlo en el boxeo para ir de pueblo en pueblo desafiando a los bravos a batirse a puñetes con el animal.
Lars Jakobson, l’auteur de l’extraordinaire Château de la dame rouge, passa un jour au Café Dello Sport pendant que nous y étions, quant à Stig Larsson, qui m’obsédait tant quand j’avais vingt ans et dont le livre Natta de mina m’avait fait l’effet d’un coup de poing, je le vis à la terrasse de Sturehof, plongé dans un livre, et mon cœur se mit à battre aussi fort que si j’avais vu un mort.
Lars Jakobson, que había escrito la fantástica obra El castillo de la señora roja, entró una vez en el Café Dello Sport estando nosotros allí, y a Stieg Larsson, con el que estaba obsesionado cuando tenía alrededor de veinte años, y cuyo libro Natta de mina me había alcanzado como un puñetazo, lo vi una vez en la terraza de Sturehof, donde él estaba leyendo un libro. El corazón me latía con tanta fuerza que parecía que hubiera visto a un muerto.
et de brailler toutes les strophes de la chanson « Contre l’Angleterre », d’inventer des strophes nouvelles qui, à en croire leur texte littéral, ne perforaient pas dans leurs œuvres vives des pétroliers et des transports de troupe, mais des filles et des profs bien définies du lycée Gudrun ; et de corner dans les airs des communiqués spéciaux avec chiffre de torpillage moitié obscènes, moitié emphatiques ; de battre à poings et talons le pont de la passerelle : et la péniche grondait, cliquetait, sautait le guano sec, revenaient les mouettes, rentraient au port les vedettes ; au-dessus de nous faisaient route de beaux nuages ; à l’horizon, légère, comme une fumée ;
bramamos todas las estrofas de la canción "Vamos contra Inglaterra" e inventamos otras nuevas, conforme a cuya letra, sin embargo, no eran buques tanques ni transportes de tropas lo que en ellas resultaba perforado por el centro, sino determinadas muchachas y maestras de la Escuela Superior Gudrún; sirviéndonos del hueco de las manos como altavoz, gangueamos comunicados oficiales con cifras de hundimientos en parte fantásticas y en parte obscenas, y con los puños y los talones golpeábamos a manera de tambor la cubierta del puente. Y el bote retumbaba, traqueteaba, saltaban excrementos secos, volvían las gaviotas, botes ligeros entraban, deslizábanse en el cielo sobre nuestras cabezas bellas nubes blancas, ligeras como penachos de humo en el horizonte; un ir y venir, felicidad, centelleo;
Il tire quelques longues bouffées, puis se cale en arrière lui aussi, sourit – ses fossettes malicieuses – et voici que c’est à nouveau mon tour, alors j’aspire une, deux fois, avec, je dois reconnaître, une espèce d’acharnement, de gnaque, de volonté de compétition, lui encore, et puis moi, et puis lui, eh oui, la malédiction d’être frères, moitié chacun, une fois chacun, d’abord l’un et puis l’autre, comme quand nous étions petits, sur le poney au jardin public, ou sur les soucoupes volantes au parc d’attractions de l’EUR, à côté de papa, et jamais nous n’avons gagné, jamais, parfois il arrivait que nous restions en l’air jusqu’à la fin mais après, dans le duel final, nous étions toujours abattus, et j’ai gardé ce traumatisme de l’un-contre-un pendant des années, je ne plaisante pas, j’ai toujours eu peur des duels, j’ai toujours pensé que j’allais les perdre et par conséquent, je les ai toujours évités, pas seulement sur les manèges, je veux dire, dans la vie, j’ai toujours évité soigneusement, les duels, les tête-à-tête, autant que possible, jusqu’à trois ans en arrière, jusqu’à cette merveilleuse épiphanie à la fête foraine de La Pescaia, quand, Claudia insistant pour que je l’emmène sur les soucoupes volantes, je me suis fait violence et je suis monté avec elle, souffrant déjà de l’humiliation que j’allais bientôt éprouver quand un connard de papounet avec son gros lard de fiston nous abattrait sans pitié, et sans aucun mérite surtout, parce que vous n’allez pas me dire que ces soucoupes volantes tirent pour de bon – et quoi, d’abord ? –, c’est la bonne femme de la caisse qui décide de tout, c’est elle qui décide des vainqueurs et des perdants, même si j’ignore comment au juste, si elle a un bouton ou autre chose, je ne l’ai jamais compris, bref nous montons dans la soucoupe volante et je pense déjà à comment me justifier quand nous aurons perdu une, deux, trois, quatre fois, quand Claudia commencera à ne pas trouver drôle de toujours perdre, et au contraire, nous gagnons, oui, les autres tombent peu à peu, nous restons seuls avec une autre soucoupe, à nous tirer dessus très longtemps et à la fin, c’est nous qui gagnons, incroyable, nous gagnons le duel final aussi, ils descendent et nous restons en haut, et non seulement nous gagnons ce duel, mais ensuite nous continuons à gagner et nous n’arrêtons plus, nous restons les derniers en haut, toujours, nous gagnons toujours, contre n’importe quel adversaire, personne n’est épargné, et c’est franchement génial de gagner de cette façon, il n’y a rien de mieux, vaincre sans se battre, sans mérite, et sans fin, car on gagne un tour gratuit et la femme de la caisse ce soir nous a choisis, elle a décidé de nous faire entrer dans le cercle magique victoire-tour gratuit-nouvelle victoire-nouveau tour gratuit, et ces moments ont peut-être été les plus beaux de ma vie, oui, les moments où j’ai été le plus heureux, ce soir-là, à la fête foraine de Castiglion della Pescaia, quand le dernier adversaire qui a osé nous tenir tête sombre dans l’abîme et que nous restons seuls en haut, Claudia et moi, baignant dans les lumières de la côte qui constellent le noir de la mer et caressés par la brise nocturne qui joue dans nos cheveux, convaincus tous les deux désormais – sensation inégalable – que bientôt ça se reproduira, et puis encore et encore et encore, elle parce qu’elle est persuadée que son père est imbattable, moi parce que je sais qu’il s’agit d’une espèce de miracle, que nous avons été choisis.
Da un par de largas caladas, luego también se echa él hacia atrás, sonríe —los hoyuelos pícaros—, y ya me toca a mí otra vez, y entonces le doy yo una, dos veces, y hay ensañamiento en mis caladas, no quisiera decirlo, pero hay porfía, competición, y luego otra vez él, y luego yo, y luego él, ya, la maldición de ser hermanos, la mitad para cada uno, una vez cada uno, primero uno y luego el otro, como cuando éramos niños, en el pony de los parques, o en los platillos volantes del Parque de Atracciones de EUR, junto a papá, y nunca ganábamos, nunca, algunas veces podía pasar que nos mantuviéramos arriba hasta el final, pero luego, en el duelo final, siempre éramos derribados, y me quedé con este trauma del uno-contra-uno durante años, no es broma, siempre he tenido miedo a los duelos, siempre he pensado que perdería y por eso siempre los he evitado, no sólo en el parque de atracciones, quiero decir, sino en la vida misma, siempre los he evitado cuidadosamente, los duelos, los mano a mano, siempre que fuera posible, hasta hace tres años, hasta esa maravillosa epifanía en la feria de Castiglion della Pescaia, cuando Claudia insistía en que la llevara a los platillos volantes, precisamente, y yo me armé de valor y la llevé, sufriendo ya por la humillación que sentiría dentro de poco cuando ese jodido papaíto junto al hijo gordinflón nos derribaran sin piedad, y sin mérito alguno, por otra parte, porque no iréis a decirme que esos platillos volantes disparan de verdad —¿qué, además?—, es la mujer que vende los tickets abajo, en la garita, la que lo decide todo, es ella la que decide quién gana y quién pierde, aunque no sé exactamente cómo lo hace, si hay un botón o qué, nunca lo he entendido; en fin, que nos subimos al platillo volante y yo ya empiezo a pensar en cómo justificarme en cuanto hayamos perdido una, dos, tres, cuatro veces, cuando Claudia empiece a estar mal, a perder siempre; y, por el contrario, ganamos, sí, los demás caen uno tras otro, nos quedamos solos con otro platillo, disparándonos durante un larguísimo instante y al final ganamos nosotros, increíble, ganamos incluso el duelo final, ellos se bajan y nosotros nos quedamos arriba, y no sólo ganamos ese duelo, sino que en adelante seguimos ganando y ya no paramos, permanecemos arriba siempre nosotros, ganamos siempre nosotros, contra cualquier adversario, todo para nosotros, y es verdaderamente fantástico ganar de esta forma, no hay nada mejor, de verdad, ganar sin luchar, ganar sin méritos, y sin fin, porque se gana un viaje extra y la mujer de la taquilla esta noche nos ha elegido a nosotros, ha decidido hacernos entrar en el formidable círculo mágico victoria-viaje extra-otra victoria-otro viaje extra, y tal vez ésos fueron los momentos más hermosos de mi vida, sí, los momentos en que fui más feliz, esa tarde, en la feria de Castiglion della Pescaia, cuando el último adversario que se atreve a enfrentarse con nosotros se hunde en el abismo y nosotros nos quedamos solos, Claudia y yo, ahí arriba, rodeados por las luces de la costa que puntean el negro del mar y acariciados por la brisa nocturna que nos desordena el pelo, ambos convencidos, ahora ya sí —es esto lo que no tiene comparación—, de que dentro de poco sucederá otra vez, y luego otra, y otra, y otra, ella porque está convencida de que su padre es invencible, yo porque sé que se trata de una especie de milagro, que hemos sido elegidos.
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