Traducción para "llevarnos" a francés
Ejemplos de traducción
Nos largamos con la guita, lo que podría llevarnos un tiempo...
On prend le pognon, ce qui peut prendre un petit moment…
—preguntó. —¿Pregunta tu majestad cuánto tiempo va a llevarnos en realidad, o cuánto parecerá que nos lleva? —Las dos cosas.
demanda-t-elle. — Votre Majesté parle-t-elle du temps que ça va prendre ou du temps que nous aurons l’impression que ça prend ? — Les deux.
Con él como vehículo somos capaces de enlazar argumentos que parecen suficientes por separado y que sumados pueden llevarnos justo donde queremos, por muy loca que sea la conclusión.
Mais cet engin nous permet de nous fabriquer de sacrées séries de raisonnements, qui paraissent relativement solides quand on les prend isolément et qui, mis bout à bout, peuvent nous mener exactement là où nous voulons, aussi loin dans la folie que cela puisse être.
Así que tómalo con calma, mantén esa cara de buena que tienes, dile a todo el mundo sí señor y sí señora, no me toques a mí los cojones y vamos a llevarnos bien. Mejicana.
Donc prends tout calmement, garde ta frimousse de petite fille bien élevée, dis à tout le monde oui monsieur, oui madame, à moi ne me casse pas les couilles, et on s’en tirera bien, Mexicaine.
Algo que en la sombra parece tronco de árbol puede ser una pordiosera desdentada y tiritona que con su cantinela de miserias y enfermedades puede llevarlo a uno a un baldío y la bandada sangrienta se puede lanzar sobre uno… mejor no andar solo de noche por este barrio que no es lo que era antes, en los buenos tiempos, está maleado por estas viejas… pero cómo va a ser cierto… debe ser mentira… nadie cree… la pura verdad… cómo vamos a creer que un grupo de pordioseras ancianas salidas quién sabe de dónde haya invadido este barrio tan tranquilo, dicen que hay gente que quiere cambiarse a otros barrios, dicen que al cabro ese del negocio de compraventa de revistas entraron a pedirle limosna cuando estaba solo y que entre seis viejas le robaron la caja, mejor buscar en otra pensión lejos de aquí, es peligroso salir de noche porque un pedazo de noche de repente se encarna y cae sobre uno para robarle lo poco que lleva en los bolsillos, siguen a la gente, despacito, y de pronto eso que parecía sombra se rebela y se deforma y ataca, eso es lo que pasa, puede ser que esas viejas de que están hablando tanto aquí en el barrio no sean más que las sombras de los miedos, pero de haber muchas viejas… en fin, no sé si muchas pero parece que hubiera más viejas que antes… sale con su cabeza arrebozada en su chal, arrastrando chancletas, deslizándose junto a la pared, sola, pero cuando uno la ve avanzando sola, encorvada y renga, uno sabe que hay un grupo armado esperando detrás de la esquina, así es que uno inmediatamente cruza hacia el farol de la otra vereda, pero divisa a un par de viejas ocultas en el umbral de la casa de más allá, entonces uno sale al medio de la calle y se encuentra con un grupo de sombras que avanzan, y uno quiere volver atrás pero hay sólo un muro sin ventanas porque yo las tapié todas y con mi pincel simulé vejez para que nadie note ausencias, sólo rostros, sólo harapos, a veces atacan y a veces no, es cuestión de suerte porque no se puede tenerles miedo a viejecitas que se escabullen como lauchas y después llegan aquí a la capilla con su botín, a repartirlo, a comer cosas para llevarnos, este paltó de señora gorda se lo voy a llevar de regalo a la Mercedes Barroso, y esta cadena de reloj de oro a la Brígida que va a estar contenta la pobre. —Vi a la Iris. —¿Dónde? —Por aquí cerca. —¿Cómo?
Ce qui dans le noir a l’air d’un arbre peut être une mendiante édentée et grelottante qui, en débitant son chapelet de misères et de maladies, vous conduira à un terrain vague où la bande sanguinaire se jettera sur vous… mieux vaut ne pas sortir seul la nuit dans ce quartier qui n’est plus ce qu’il était avant, au bon temps, il est mal famé, avec ces vieilles… mais comment ça peut être vrai… ça doit être une blague… personne n’y croit… non, c’est la pure vérité… mais comment peut-on croire qu’un groupe de vieilles mendiantes sorties d’on ne sait où a envahi ce quartier si tranquille, on dit qu’il y a des gens qui veulent déménager, on dit que chez le type qui fait l’achat et la vente des revues, elles sont entrées demander l’aumône quand il était seul et qu’à six elles sont parties avec la caisse, il vaut mieux chercher une chambre dans une autre pension loin d’ici, il est dangereux de sortir la nuit car tout à coup un morceau de nuit prend forme humaine et vous vole le peu que vous avez dans vos poches, ça suit les gens, tout doucement, et soudain ce qui avait l’air d’une ombre se rebelle, change de forme et attaque, voilà ce qui se passe, il est possible que ces vieilles dont on parle tant dans le quartier ne soient que les ombres de la peur de chacun, mais s’il y a beaucoup de vieilles… enfin, je ne sais pas s’il y en a beaucoup, mais on dirait qu’il y en a plus qu’avant… elle sort, la tête emmitouflée dans son châle, se glissant le long des murs, seule, mais en la voyant avancer seule, voûtée et éclopée, on sait qu’il y a un groupe armé au coin de la rue, de sorte qu’on traverse immédiatement en direction du réverbère de l’autre trottoir, mais on aperçoit un couple de vieilles cachées dans l’embrasure d’une porte un peu plus loin, alors on veut se tenir au milieu de la rue et on donne sur un groupe d’ombres en marche, on veut revenir en arrière et il n’y a qu’un mur sans fenêtres car je les ai toutes murées et j’ai imité la vétusté au pinceau pour que personne ne puisse soupçonner les manques, ce ne sont que des visages, que des haillons, parfois ça attaque et parfois non, c’est une question de chance, car on ne peut pas avoir peur de petites vieilles qui se défilent comme des souris et puis viennent ici à la chapelle partager leur butin et manger un morceau, ce paletot de femme forte, je vais l’apporter en cadeau à Mercedes Barroso, et cette chaîne de montre en or à la Brígida, elle va être contente, la pauvre. — J’ai vu Iris. — Où ? — Par ici tout près. — Comment était-elle ?
Y llevarnos con ella.
Et pour nous emmener avec elle.
—¿Quieres llevarnos?
— Vous voulez nous y emmener ?
—¿No quiere llevarnos?
— Vous ne voulez pas nous emmener ?
—¿Y puedes llevarnos…?
— Et tu peux nous emmener ?...
Tenemos que llevarnos a su hijo.
Nous devons emmener votre fils.
¿Te importa llevarnos?
Ça ne t’embête pas de nous emmener ?
¿Y podrás llevarnos contigo?
Et tu pourrais nous emmener avec toi ?
Tenemos que llevarnos a Lyra antes de que…
On doit emmener Lyra avant que…
Tendremos que llevarnos a estos hombres.
Nous allons devoir emmener ces hommes.
Debéis llevarnos a Auckney.
Vous devez nous emmener à Auckney.
—Pero eso podría llevarnos
— Mais ça pourrait prendre
¿No habría posibilidad de llevarnos, por favor?
Est-ce que vous pourriez nous prendre ?
—¿Podemos llevarnos nuestras cosas?
— On peut prendre notre matériel ?
¡Llevarnos dos de los caballos!
Prendre deux des chevaux !
No debería llevarnos mucho tiempo.
Ça ne devrait pas nous prendre longtemps.
Puede llevarnos años.
Ça pourrait nous prendre des années.
Esto podría llevarnos horas.
Ça pourrait prendre des heures.
¡Y va a llevarnos tiempo!
Ça va prendre du temps !
Podría llevarnos días enteros.
 Cela pourrait prendre des jours.
Podremos llevarnos una sección sin dificultad.
Nous pourrons prendre une section sans difficulté.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test