Käännös "vous tiré" espanja
Käännösesimerkit
Le Marteau-du-destin se brisa en plusieurs morceaux. Chaque fragment fut propulsé dans l'air comme tiré par une arme à feu.
El Martillo Maldito se hizo añicos, y cada fragmento salió despedido como si hubiera salido disparado de un cañón.
Elle avait saisi d’une main la corde qui l’attachait et, de l’autre, avait tiré son poignard pour la trancher. La barque s’était éloignée.
Con una mano sujetó la cuerda que mantenía atada la embarcación, y con la otra extrajo rápidamente el puñal. Bastó un golpe seco: la soga se cortó y la barca salió despedida hacia atrás.
— Lancement ! commanda-t-il. Les catapultes à ions libérèrent leur accumulation de charge. Le Hell Razor d’un blanc nacré fut tiré vers le ciel depuis le pont du convoyeur.
—¡Despeguen! —ordenó. La catapulta lo empujó brutalmente. Y el Hell Razor blanco perla fue despedido del habitáculo de cubierta hacia el cielo.
— Nous nierons les faits, et c’est là tout ce que nous ferons. J’écrirai à Hall une courte lettre établissant les faits suivants : je suis marié ; je n’ai jamais été renvoyé d’aucun hôpital ; on ne m’a jamais tiré dessus, etc.
—Negaremos las acusaciones; pero no haremos más que eso. Le mandaré a Hall una breve carta haciendo constar los hechos: soy un hombre casado, jamás me han despedido de un hospital, jamás me han disparado, etcétera.
Qui sait si cette rancune contre la naine ne lui avait pas fait déformer ce que lui avait raconté le ménage congédié de l’incident de l’après-midi dont il s’était si mal tiré, lui, Humberto, pour ridiculiser au contraire Emperatriz, son ennemie.
Quién sabe si ese rencor por la enana lo hubiera hecho deformar lo que la pareja despedida le contó sobre el incidente de la tarde que a él lo dejó tan mal puesto, para dejar, en cambio, a Emperatriz, su enemiga, en ridículo.
Julia se leva péniblement, ouvrit en grand la porte du balcon et observa la nuée lumineuse d’un bleu doré qui envahissait le ciel du soir. C’était le feu d’artifice d’adieu tiré depuis le port.
Haciendo un esfuerzo, Julia se levantó del escritorio, abrió las puertas del cristal del balcón y contempló el mar de luces azules y doradas del cielo nocturno provocado por los fuegos artificiales de despedida que estaban disparando al aire.
Derrière les rideaux tirés, il purifia son corps selon les anciens rites, s’assit face au drap tendu sur le mur de la chambre sur lequel étaient inscrits les versets coraniques de circonstance, brancha son caméscope et enregistra son ultime message au monde.
Con las cortinas echadas procedió a purificar su cuerpo según el ritual, se sentó delante de la sábana con pasajes del Corán fijada a la pared del dormitorio, conectó la videocámara y grabó sus palabras de despedida.
Les trois psychiatres qui avaient examiné Troy Phelan quelques semaines auparavant et avaient tiré de belles conclusions unanimes sur ses capacités mentales furent virés illico presto.
Flowe, Zadel y Theishen, los tres psiquiatras que habían examinado a Troy Phelan hacía apenas unas semanas y habían coincidido, tal como lo demostraba la cinta de video y habían reafirmado posteriormente en unas largas declaraciones, que el millonario se encontraba en pleno uso de sus facultades mentales, fueron despedidos.
La veille de l’arrivée au port de Caracolf, terme du voyage, le capitaine offrit la traditionnelle fête d’adieu, avec un orchestre d’instruments à vent composé des membres de l’équipage, et des feux d’artifice de toutes les couleurs tirés depuis la cabine de commandement.
La víspera de la llegada al puerto de Caracolí, que era el término del viaje, el capitán ofreció la fiesta tradicional de despedida, con una orquesta de viento conformada por los miembros de la tripulación, y fuegos de artificios de colores desde la cabina de mando.
tu disparaste
— Tu n’as pas tiré, n’est-ce pas ?
—¿Tú no disparaste, no?
— Pourquoi n’avez-vous pas tiré ?
—¿Por qué no disparaste?
— Pourquoi avez-vous tiré ?
—¿Por qué disparaste?
— Tu n’as pas tiré.
—Me percaté de que no disparaste.
Tu as tiré sur moi.
Me disparaste con un arma.
Pourquoi m’as-tu tiré dessus ?
¿Por qué me disparaste?
— Alors pourquoi as-tu tiré sur lui ?
—¿Por qué disparaste contra él?.
« Pourquoi… Pourquoi tu n’as pas tiré ? »
¿Por qué no le disparaste?
— Ils ne savent pas que c’est toi qui as tiré ?
—¿No saben que disparaste tú?
« T’as tiré le premier ? »
—¿Disparaste primero?
Elle trône sur la chaise en or et en damas cramoisi du chœur, elle me tient dans ses bras, on a reçu l’hommage des paroissiennes, leurs prières, leurs cantiques à peine murmurés pour que les autres n’entendent pas car les autres sont des envieuses, on nous allume des cierges, on nous entoure de fleurs, Inés prosternée parmi les autres vieilles qui nous demandent des choses, faites-nous passer notre rhumatisme, faites qu’on nous donne des haricots au lieu de pois chiches la semaine prochaine, qu’on relâche Rafaelito qui est en prison pour l’escroquerie qu’on dit que ce petit a commise, mais comment a-t-il pu faire ça alors que c’était un si bon petit quand je l’élevais et il avait les cheveux couleur de maïs tendre, regardez, j’ai sa mèche ici si vous ne voulez pas me croire, un salve pour que la mère Benita ne nous découvre pas, un credo pour que l’enfant grandisse dans la sainteté, un paternoster pour qu’il ne sorte jamais de cette maison, et les vieilles prient et cousent et chantent autour de nous, on a amené le lit et le berceau, on a tout transporté à la chapelle, car comme on est si nombreuses maintenant, on ne tient plus dans la cave, on prie, mais on joue aussi, dans ce tripot que nous présidons, Iris et moi, parmi les saints en plâtre rapetassés et repeints : oui, des salve, des credo, mais aussi les cornets où l’on agite les dés, les jetons à terre car il n’y a pas de tables et si l’on veut jouer, il faut bien jouer ici car la mère Benita ne nous laisserait pas jouer si tard dans la cuisine, parce qu’on dépense beaucoup d’électricité et l’archevêque n’envoie pas d’argent pour payer les factures, mais misiá Inés, qui est si brave et si dévote d’Iris dont elle dit qu’elle ne s’appelle pas Iris Mateluna mais la bienheureuse Inés de Azcoitía, nous donne beaucoup de sous pour sortir emmitouflées dans nos châles, si tant est qu’il nous reste un châle que misiá Inesita ne nous ait pas gagné au canodrome, pour acheter des bouquets de fleurs fraîches, des plus chères, et tant et plus de cierges et tout ce dont on peut avoir besoin pour le culte de la bienheureuse qui n’était pas morte, et maintenant elle l’a trouvée pour nous rendre toutes heureuses, ce qu’il est maigrelet, le petit de la bienheureuse qu’elle tient dans ses bras, moi je croyais que les enfants saints étaient tout joufflus et blonds comme dans les tableaux des peintres, mais celui-ci est bien noiraud, ça n’a pas d’importance, le fait est que c’est un enfant miraculeux conçu sans tache et sans péché, comment ça ne serait pas un miracle, mais on ne va le raconter à personne, c’est Brígida qui nous a donné le conseil et elle avait raison, on va s’en occuper rien qu’entre nous, sans le montrer à personne, et tout lui faire nous-mêmes, moi je serai ses bras, toi sa bouche, elle ses pieds, ce qu’il est mignon, mon enfant, dit Iris, ce qu’il est mignon, l’enfant de la sainte-enfant à qui les gens de Rome n’ont pas cru, mais vous pouvez vous rendre compte de vos propres yeux que la bienheureuse a fait ce miracle de plus, et son enfant va faire le plus grand de tous les miracles, supprimer pour nous les affres de la mort : par son ordre nous ne mourrons pas, mais quand il en décidera nous grimperons, toutes celles qui l’auront servi, au complet, dans un carrosse blanc tiré par trois paires de chevaux harnachés avec des panaches, des caparaçons et des rênes blanches, pour monter au ciel… vous n’avez qu’à attendre, un de ces jours les envieuses et les curés hérétiques de Rome ne trouveront plus aucune de nous à la Maison, quand la bienheureuse, avec son fils né sans qu’aucun homme lui ait fait la cochonnerie, nous auront emmenées au ciel, quoique je pense, Rosa, que ça serait beaucoup plus chouette que tout le monde nous voie, ce n’est pas votre avis, misiá Inés, que toutes les autres, les envieuses que l’enfant ne sauvera pas, le père Azócar, la mère Benita et les voisins nous disent au revoir en chantant à la porte de la Maison et qu’on le transmette à la radio comme les messes et les matches de football, et avec l’enfant un peu plus grandet tenant dans ses mains les rênes blanches des chevaux blancs, et nous autres avec notre baluchon sur l’épaule, grimpées dans le carrosse blanc, il faudra qu’il soit grand car nous sommes beaucoup, on n’est plus sept comme au début, montant, montant dans une pluie de pétales, faisant au revoir à toutes les autres avec beaucoup de regret de ne pas pouvoir les emmener, mes petites, ce n’est pas la bonne volonté qui nous manque mais dans le carrosse il n’y a place que pour nous.
Entronada en la silla de oro y damasco carmesí del presbiterio, conmigo en brazos, recibimos las reverencias de las feligresas, sus oraciones, sus cánticos apenas susurrados para que las otras no oigan porque las otras son unas envidiosas, encienden cirios, nos rodean de flores, Inés prosternada entre las demás viejas que nos piden cosas, que se me pase el reuma, que nos den porotos en vez de garbanzos la semana que viene, que a Rafaelito lo suelten de la cárcel por la estafa que dicen que el niño hizo, pero cómo la va a haber hecho si era tan bueno de niño cuando yo lo criaba y tenía el pelo color de choclo, miren, aquí lo tengo para que me crean, una salve para que la madre Benita no nos descubra, un credo para que el niño crezca santo, un padrenuestro para que nunca salga de esta casa, y las viejas rezan y cosen y cantan alrededor nuestro, hemos traído la cama y la cuna, todo lo hemos trasladado a la capilla porque como ahora somos tantas las viejas ya no cabemos en el sótano, rezamos pero también jugamos en este garito que la Iris y yo presidimos entre los santos de yeso pegoteados y repintados: sí, salves y credos, pero también los cubiletes en que se agitan los dados, las fichas en el suelo porque no hay mesas y si queremos jugar tenemos que jugar aquí porque la madre Benita no nos dejaría jugar en la cocina hasta tan tarde porque se gasta mucha luz y el arzobispo no manda plata para pagar las cuentas, pero misiá Inés que es tan buena y tan devota de la Iris que ella dice que no se llama Iris Mateluna sino que es la beata Inés de Azcoitía, nos da mucha plata para que salgamos embozadas en nuestros chales si es que nos queda un chal que misiá Inesita no nos haya ganado en el canódromo, para comprar ramos de flores frescas, de las más caras, y cirios y más cirios y todas las cosas que necesitemos para el culto de la beata que sobrevivió y ahora ella la ha descubierto para que seamos todas felices, tan flacuchento este chiquillo que la beata tiene en brazos, yo creía que los niños-santos eran gorditos y rubios como en los cuadros de pintura, pero éste es morenito, no importa, la cosa es que es un niño milagroso concebido sin mancha y sin pecado, cómo no va a ser milagro, pero no le vamos a contar a nadie, ése fue el consejo de la Brígida y tenía razón, para cuidarlo entre nosotras no más sin enseñarle nada y nosotras hacerle todo, yo sus brazos, tú su boca, ella sus pies, si es lindo mi niño dice la Iris, lindo el niño de la niña-beata en que los de Roma no creyeron pero ustedes están comprobando con sus propios ojos que la beata ha hecho este milagro más, y su hijo va a hacer el milagro más grande de todos al suprimir para nosotras el trance de la muerte: por orden de él no moriremos, sino que, cuando él lo disponga, nos vamos a encaramar, toditas las que lo hemos servido, en una carroza blanca tirada por tres pares de caballos enjaezados con penachos y manteletas y riendas blancas para subir al cielo… espérense no más las envidiosas y los curas herejes incrédulos de Roma, uno de estos días no van a encontrar a ninguna de nosotras en la casa porque la beata junto con su hijo nacido sin que ningún hombre le haya hecho la cochinada nos llevarán al cielo, aunque yo creo, Rosa, que sería mucho más lindo que todos nos vieran, no le parece a usted, misiá Inesita, que todas las otras, las envidiosas que el niño no salvará, y el padre Azócar, y la madre Benita, y los vecinos nos despidan cantándonos aquí en la puerta de la casa y que lo transmitan por la radio como las misas y los partidos de fútbol, y el niño un poco más crecidito llevando en sus manos las riendas blancas de los caballos blancos, nosotras con nuestros sacos al hombro encaramadas en la carroza blanca que tendrá que ser amplia porque somos muchas no siete como al principio, subiendo, subiendo entre una lluvia de pétalos, despidiéndonos de todas las demás con mucha pena pero no podemos llevarlas, chiquillas, voluntad no falta, pero no cabemos más que nosotras en la carroza.
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