Käännös "me porte" espanja

Me porte

• llévame
• cargarme

Käännösesimerkit

llévame

Et qu’on porte le feu.
Y llevamos el fuego.

Porte-moi jusqu’en Lothlorien ! »
¡Llévame a Lothlórien!

— On ne porte pas d’uniforme !
—¡No llevamos uniforme!

Nous l’avons portée jusqu’à ma voiture.
La llevamos a mi coche.

Parce qu’on porte le feu.
Porque llevamos el fuego.

Nous nous laissons porter par elles.
llevamos las riendas con ellos.

— Porte-moi jusqu’en haut.
—Llévame escaleras arriba.

— Emmène-moi à la Septième Porte !
—¡Llévame a la Séptima Puerta!

S’il te plaît, porte-moi en bas.
Por favor, llévame en brazos.

Nous l’avons porté à l’hôpital de campagne.
Le llevamos al hospital de campaña.

cargarme

― Me porter et tirer en même temps ?
—¿Cargarme y disparar también?

Pourquoi tiendrait-il tant à me faire porter la responsabilité des meurtres ?
¿Por qué estaría tan decidido a cargarme los asesinatos?

— Il voulait me porter sur son dos jusqu’à la voie ferrée.
—Él quiso cargarme en su espalda hasta la línea del ferrocarril.

Au moins, la gravité basse lui permettait de me porter.
Al menos le era posible cargarme por la gravedad tan ligera.

— Vella dit que vous comptez me faire porter le chapeau.
—Según Vella, usted pretendía cargarme con la culpa.

Si j’avais à choisir entre les deux, il serait le premier à prendre la porte.
Si tuviese que cargarme a alguno de los dos, sería al que está al otro lado de la puerta.

En cas de fuite, il lui faudrait me porter jusqu’au sas du rover.
Si causaba una fuga, él tendría que cargarme hasta la esclusa de aire del rover.

Regarde, oncle Gon, Matahachi va me porter sur son dos.
Mira, tío Gon, Matahachi va a cargarme en su espalda.

Vous aviez rengainé votre épée pour pouvoir me porter, mais vous l’avez brandie de nouveau au moment de repartir vous battre.
Para cargarme, había usted envainado la espada, pero volvió a extraerla al emprender el regreso.

Les jeunes se relayaient pour me porter sur leurs dos et m’emmenaient loin de la maison en courses joyeuses.
Los muchachos se relevaban para cargarme a cuestas y llevarme lejos en alegres correrías.