Käännös "mundo sea mundo" ranskan
Käännösesimerkit
—Pero estamos hablando de nuestro mundo. Este mundo.
— Mais nous parlons de notre monde. De ce monde.
Él es el mundo, el mundo es la Corona. Sí. Sí.
Il est le monde et le monde est le Coronal. Oui. Oui.
Necesitamos otro mundo; un mundo nuevo…
Il nous faut un autre monde, un nouveau monde
Un mundo, otro mundo, otra verdad.
Un monde, puis un monde, puis un autre, une autre réalité…
Hay mundos sobre mundos, aquí mismo frente a nosotros.
Là, devant nous il y a des mondes sur des mondes.
El mundo, los mundos, eran mucho más interesantes gracias a la mezcla continua.
Ce qui rend le monde – pardon, les mondes – si intéressants, ce sont les métissages incessants.
–París está a mundos y mundos de distancia, Lorq. –Prince te domina.
— Paris est loin, Lorq. À des mondes et des mondes d’ici. — Prince vous subjugue.
Ya no hay mundo real, mundo sentido, mundo humano; he salido del tiempo, ya no tengo ni pasado ni futuro, ya no tengo ni tristeza ni proyecto, ni nostalgia, ni abandono ni esperanza;
Il n'y a plus de monde réel, de monde senti, de monde humain, je suis sorti du temps, je n'ai plus de passé ni d'avenir, je n'ai plus de tristesse ni de projet, de nostalgie, d'abandon ni d'espérance;
No a Wichita, ni a Kansas City, sino hacia el Oeste, hacia el verdadero mundo, el mundo de la televisión.
Pas à Wichita, pas à Kansas City, mais vers l’est, vers le monde véritable, le monde de la télé.
Yo estaba en una especie de éxtasis: me imaginaba a Helena, a Zemanek y a todo su mundo (un mundo ajeno) y cultivaba con especial satisfacción el rencor (un rencor atento, casi tierno) hacia el aspecto de Helena, rencor hacia su pelo rojizo, rencor hacia sus ojos azules, rencor hacia las pestañas cortas y levantadas, rencor hacia la cara redonda, hacia la sensual nariz respingada, rencor hacia la separación entre los dos dientes delanteros, rencor hacia la maciza madurez de su cuerpo. La observaba como se observa a la mujer que se ama, la observaba como si quisiera grabármelo todo en la memoria y, para que no pudiera captar el rencor oculto en mi interés por ella, utilizaba en nuestra conversación palabras cada vez más ligeras y cada vez más amables, de modo que Helena se volvía cada vez más femenina.
J’accédais à une sorte d’extase : je me figurais Zemanek, Helena, tout leur monde (monde qui m’était si étranger), et, avec une singulière volupté, je caressais ma rancune (rancune attentionnée, presque tendre) pour l’apparence d’Helena, rancune pour sa chevelure rousse, pour ses yeux bleus, pour ses cils dressés court, rancune pour son visage rond, pour ses narines sensuelles, rancune pour l’écart léger des incisives, rancune pour la réplétion du corps mûr. Je l’observais comme on observe les femmes que l’on aime ; j’observais chaque détail comme pour l’enchâsser dans mon souvenir, et, afin de dissimuler mon intérêt rancunier, je choisissais des mots de plus en plus légers, de plus en plus aimables, si bien qu’Helena devenait de plus en plus féminine.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test