Käännös "flor de tallo" ranskan
Käännösesimerkit
En primavera, los vegetales piensan que podrán vencer al guijarral, y unos cojines de un bello verde intenso, flores de tallo corto y extensiones de césped parten a la conquista del mundo.
Au printemps les végétaux pensent pouvoir vaincre la caillasse, et des coussins d’un beau vert vif, des fleurs à tige courte, des pans de pelouse partaient à la conquête du monde.
Había deslumbrantes flores sin tallo multicolores, complejos hiperconos de delgados pétalos de quince dimensiones... cada uno un hipnótico laberinto fractal de grietas y capilares.
On voyait des fleurs sans tige aux multiples couleurs éblouissantes, hypercônes complexes aux pétales arachnéens à quinze dimensions, chacun constituant un labyrinthe fractal de sillons et de capillaires qui avait quelque chose d’hypnotique.
Quisiera también mencionar las urnas, los brazaletes de mediados de la Edad de Bronce, los herrajes de las fundas de espadas, así como las vasijas con ricos adornos de principios de la Edad de Piedra que yo habría utilizado con total tranquilidad como jarrones para flores de tallo corto.
Les bracelets de l’âge de bronze, les fourreaux de sabres ornementés ainsi que les poteries richement décorées de l’âge de pierre qui me faisaient invariablement penser à des fleurs aux tiges un peu courtes.
Nos abrazamos. Y mientras estaba saliendo vi el pequeño objeto sobre el alféizar de la ventana: un tubo de ensayo sobre una peana de madera tallada a mano, y una única flor sin tallo: una amorosa flor color borgoña.
Nous nous étreignîmes. Lorsque je me courbai pour sortir, je vis ce petit truc sur l’appui de la fenêtre, l’éprouvette, avec une base arrondie, maintenue par un cadre en bois, sculpté à la main, et une seule fleur sans tige — d’un rouge rubis amoureux.
Había tanto poder concentrado en la pequeña gruta que Garion no podía saber con exactitud quién había hecho aparecer la primera flor. Finos tallos de hiedra comenzaron a crecer sobre los muros y a cubrirse de flores blancas. Luego, en un brevísimo instante, el suelo quedó alfombrado de musgo fresco.
Tant de pouvoir était concentré dans cette petite caverne que Garion ne sut jamais qui avait créé la première fleur. Des tiges vertes, portant des corolles blanches, parfumées, grimpèrent tout à coup sur les parois.
Si no se trataba de una farsa tramada por dinero y basada en la rareza del libro (por lo demás, ¿qué maestro sensato habría trabajado tanto para inventar una lengua, unos tipos de plantas inexistentes en la tierra, con sus flores, hojas, tallos y raíces, incomprensibles diagramas zodiacales y calendarios, en lugar de utilizar su talento para describir los objetos creados por la gran generosidad de Dios?), e incluso el propio Kircher se vio obligado a rechazar definitivamente esta posibilidad, no quedaba —excluyendo también la variante de un maestro loco— sino tomarlo como un documento cifrado que escondiera revelaciones tal vez demoníacas, tal vez divinas, que podían ser decodificadas, sin embargo, mediante los instrumentos del ingenio humano.
Si ce n’était pas une farce mise au point pour le lucre, misant sur l’étrangeté du livre (sinon, quel artisan ayant toute sa tête se serait fatigué à inventer une langue, des variétés de plantes, avec les fleurs, les tiges et les racines, des diagrammes zodiacaux et calendaires incompréhensibles, au lieu d’utiliser son talent pour décrire ce que Dieu, dans sa grande générosité, nous a donné ?), et Kircher fut obligé de repousser définitivement cette possibilité, il ne restait – en excluant aussi l’hypothèse d’un artiste fou – qu’à considérer le tout comme un document chiffré, dissimulant des révélations peut-être diaboliques, peut-être divines, mais qui pouvaient être décryptées avec les instruments du génie humain.
Este antro, este cuchitril en altillo que conserva para siempre tu olor, esta cama donde te deslizas solo, esta estantería, este linóleo, este techo cuyas grietas, desconchones, manchas y relieves has contado cien mil veces, este lavabo tan pequeño que parece un mueble de casa de muñecas, este barreño, esta ventana, este empapelado del que conoces cada flor, cada tallo, cada arabesco, y sobre el cual eres el único capaz de afirmar que, a pesar de la perfección casi infalible de los procedimientos de impresión, no son iguales del todo, estos diarios que has leído y releído, que leerás y releerás de nuevo, este espejo resquebrajado que nunca ha reflejado nada más que tu rostro fragmentado en tres porciones de superficies desiguales, ligeramente superponibles, que la costumbre te permite casi ignorar, olvidando el esbozo de un ojo frontal, la nariz partida, la boca perpetuamente torcida, para no retener salvo un arañazo en forma de Y como la marca casi olvidada, casi borrada, de una herida antigua, un sablazo o latigazo, esos libros alineados, ese radiador de aletas, ese tocadiscos de maleta con funda de pegamoide granate: así comienza y termina tu reino, que rodean en círculos concéntricos, amigos o enemigos, los ruidos siempre presentes, único vínculo tuyo con el mundo: la gota de agua que sale del grifo de la toma del descansillo, los ruidos de tu vecino, sus carraspeos, los cajones que abre y cierra, sus ataques de tos, el silbido de su tetera, los ruidos de la rue Saint-Honoré, el murmullo incesante de la ciudad.
Cet antre, ce galetas en soupente qui garde à jamais ton odeur, ce lit où tu te glisses seul, cette étagère, ce linoléum, ce plafond dont tu as compté cent, mille fois les fissures, les écailles, les taches, les reliefs, ce lavabo si petit qu’il ressemble à un meuble de poupée, cette bassine, cette fenêtre, ce papier dont tu connais chaque fleur, chaque tige, chaque entrelacs, et dont tu es le seul à pouvoir affirmer que, malgré la perfection presque infaillible des procédés d’impression, ils ne se ressemblent jamais tout à fait, ces journaux que tu as lus et relus, que tu liras et reliras encore, cette glace fêlée qui n’a jamais réfléchi que de ton visage morcelé en trois portions de surfaces inégales, légèrement superposables, que l’habitude te permet presque d’ignorer, oubliant l’ébauche d’un œil frontal, le nez fendu, la bouche perpétuellement tordue, pour ne plus retenir qu’une zébrure en forme de Y comme la marque presque oubliée, presque effacée, d’une blessure ancienne, coup de sabre ou coup de fouet, ces livres rangés, ce radiateur à ailettes, cette mallette-électrophone gainée de pégamoïd grenat : ainsi commence et finit ton royaume, qu’entourent en cercles concentriques, amis ou ennemis, les bruits toujours présents qui te relient seuls au monde : la goutte d’eau qui perle au robinet du poste d’eau sur le palier, les bruits de ton voisin, ses raclements de gorge, les tiroirs qu’il ouvre et ferme, ses quintes de toux, le sifflement de sa bouilloire, les bruits de la rue Saint-Honoré, le murmure incessant de la ville.
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