Käännös "cabeza tapada" ranskan
Cabeza tapada
Käännösesimerkit
Sus perdices en esta ocasión eran un joven que caminaba junto a él, la cabeza tapada por una capucha de chándal.
Dans le cas présent, à la place des perdrix il y avait un jeune qui marchait près de lui, la tête couverte d’une capuche de survêtement.
Al cabo de un momento, aparecieron de nuevo l evando a un hombre con los brazos y las piernas atados y la cabeza tapada con un capuchón.
Au bout d'un moment ils réapparurent, portant un homme aux bras et aux jambes liés, la tête couverte d'une cagoule.
Perdonemos a Marta el orgullo que la llevó a decir, muy bajo, con la cabeza tapada por el cobertor para no ver ni oír, Yo sería más digna.
Pardonnons à Marthe l’orgueil qui la poussa à dire tout bas, la tête couverte du drap pour ne pas voir ni entendre. Je serais plus digne.
¿Era posible que ella, un mundo en sí misma, escuchara a Klausner ataviada con una larga falda de color anodino y medias gruesas, la cabeza tapada por un casco de pelo sin vida[1]?
Se pouvait-il qu’elle, un monde en soi, restât assise à écouter Klausner, vêtue d’une jupe longue sans couleur et de bas atroces, la tête couverte d’un casque de cheveux morts ?
«Piense que estamos en la capital histórica de Uzbekistán y todos los señores de la ciudad llevaban sombrero hasta la entrada en la URSS, y aun después, toda una generación asombrerada conservó la cabeza tapada como factor de singularidad en contraste con las gentes de origen proletario y de etnias subalternas, aunque poca cosa más conservaron». Le aconsejaron coger un taxi o aprovechar el buen tiempo para descender por el bulevar Universitario, que lo llevaría hasta la calle Reghistan, que no tenía otra salida que el núcleo histórico de la vieja ciudad de Samarkanda.
« N’oubliez pas que nous sommes dans la capitale historique de l’Ouzbékistan, tous les notables portaient un chapeau jusqu’à l’entrée dans l’URSS, et encore après, toute une génération chapeautée a gardé la tête couverte en signe de distinction, pour se différencier des prolétaires et des ethnies subalternes, bien qu’ils n’aient pas conservé grand-chose d’autre. » Il pouvait prendre un taxi ou profiter du beau temps et descendre par le boulevard Universitaire jusqu’à la rue du Reghistan, qui n’avait d’autre sortie que le noyau historique de la vieille ville de Samarkand.
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