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Purée de pommes de terre
Примеры перевода
Purée de pommes de terre, parce que c’était mardi.
Puré de patatas porque era martes.
purées de pommes de terre pleines de grumeaux visqueux ;
puré de patata de grumos vidriosos;
Jack harponne sa purée de pommes de terre avec sa fourchette.
Jack hunde el tenedor en su puré de patatas.
– Quelle quantité de purée de pommes de terre avec des dés au lard !
–¡Qué cantidad de puré de patatas con dados de tocino!
Nous avons, ce soir, de fameuses andouillettes avec de la purée de pommes de terre.
Esta noche tenemos unas longanizas formidables con puré de patatas.
Pain de viande au four et purée de pommes de terre.
Pastel de carne con puré de patata —respondió sonrojándose.
— Du boudin noir, et je voulais préparer de la purée de pommes de terre
—Morcilla negra y quería preparar puré de patatas
— Se trompe-t-il lui-même, maître ? » Je ramassai le mélange de jus de viande et de purée de pommes de terre avec un petit morceau de pain.
—¿Se engañará a sí mismo, maestro? —recogí la mezcla del jugo de la carne y el puré de papas con un pedazo de bolillo.
J’ai fait un effort pour manger tandis qu’il remuait le contenu de son assiette avec sa fourchette, traçant des petits chemins dans la purée de pommes de terre.
Hice un esfuerzo por comer, mientras él removía el contenido de su plato con el tenedor, trazando caminitos en el puré de papas.
Il dîna avec un enthousiasme particulier, comme quelqu’un qui a enfin pu obtenir ce qu’il avait le plus désiré pendant la journée, de deux côtelettes fumées, de riz et de purée de pommes de terre.
Cenó con particular entusiasmo, como quien por fin ha conseguido lo que más deseó durante el día, un par de chuletas ahumadas, arroz y puré de papas.
Les serveuses qui s’agitaient dans des nuages de vapeur m’apparurent comme des anges. Je commandai un foie aux oignons, de la purée de pommes de terre, une tourte au potiron et du café, et dis que je voulais parler au gérant.
Las camareras que se movían envueltas en el vaho de la cocina se me antojaron ángeles rollizos. Pedí hígado frito con cebolla, puré de papas, budín de zapallo, y café; y dije que quería hablar con el encargado.
Le plus grand des Espagnols – Durruti, d’après la photo diffusée par la police argentine – s’était écrié en les voyant : “Ces morcillas sont superbes !” et le Chilien lui avait dit : “Ici on les appelle prietas et, avec une purée de pommes de terre bien relevée, il n’y a rien de meilleur au monde.”
El más alto de los españoles —Durruti, según una fotografía difundida por la policía argentina—, al ver las prietas, había exclamado que esas morcillas eran soberbias, y el chileno le había dicho que en Chile se llamaban prietas, y que con un puré de papas bien picante eran lo mejor de la vida.
Un homme replet portant un tablier graisseux lui tendit une assiette de purée de pommes de terre abondamment garnie d’ail et de fines herbes, et couverte d’une cuillerée de fromage fondu fumant. Avant qu’elle ait pu le remercier, il versa dessus une louchée de chili riche en sauce et en viande.
Un hombre corpulento que usaba un delantal lleno de grasa le entregó un plato de puré de papas mezclado con abundante ajo y cebolla y cubierto con un poco de queso blanco humeante, y antes de que pudiera agradecerle, le agregó un cucharón de chili con carne.
Je ne puis pas. Je ne veux pas avouer pourquoi j’ai quitté en courant la maison de don Jerónimo de Azcoitía, coup de pied d’un carabinier qui n’arrive pas à m’attraper, et je me jette dans le flot de voitures recroquevillées sous l’averse, qui remplissent la chaussée, au voleur, au voleur, coups de sifflet qui appellent d’autres carabiniers, et les occupants des voitures reviennent de voir le dernier film avec Jeanne Moreau et vont manger un steak et de la purée de pommes de terre : ils me voient dans l’éventail dégagé par leur essuie-glace, freine, merde, j’ai faim, l’avoir, on ne voit rien avec cette pluie, voyou de merde, bon Dieu ce qu’il a pu pleuvoir cette année, ils me voient à un mètre de distance dans la lumière des phares que griffe la pluie, dissous dans la pluie, mais l’essuie-glace me restitue, me restitue et me restitue la solidité qui me manque, pour qu’ils puissent me voir, un bout d’homme qu’on dirait aveugle, les cheveux trempés, trempé tout entier à la seconde de notre coup de frein, fuyant à tâtons parmi l’assaut des voitures qui le serrent de près, les carabiniers furieux donnant des coups de sifflet sur le trottoir, frustrés dans leur autorité, le fantoche poursuivi dansant comme une hallucination dans les lumières rouges qui lui mordent les mollets tandis qu’il fuit entre les Citroën qui patinent, les Ford qui se choquent, qui donnent des coups de klaxon, voyou, saleté, et cette trombe qui ne se calme pas, freine, attention, Hernán, tu vas l’écraser, qu’est-ce que j’en ai à foutre, il a failli me faire emboutir ma Renault toute neuve, mais il s’est déjà perdu derrière la Morris là-bas dans la pluie du parc, et il ira se cacher à la rivière, mais je ne suis pas un voleur, mère Benita, je le jure, on ne voit pas son propre nom car on a le droit d’en disposer pour en faire ce qu’on veut – profiter d’un de ces jours d’hiver où il fait nuit de bonne heure pour brûler tous mes papiers, tous mes noms identiques et répétés, sans laisser la moindre trace, je les jetterai de ce pont de fer noir dans le lit de pierre et, après m’être laissé tomber jusqu’ici, j’allumerai une feuille ou deux, un cahier peut-être pour me réchauffer un peu les mains, car il fera froid.
No puedo. No quiero confesar por qué salí corriendo de la casa de don Jerónimo de Azcoitía, la patada de un carabinero que no logra agarrarme, y me tiro al caudal de autos achaparrados bajo el chubasco, que llenan la calzada, ladrón, ladrón, pitazos que llaman más carabineros, y en los autos ellos vuelven de ver ésa nueva de la Jeanne Moreau y van a comer bistec con puré de papas: me ven en el abanico despejado de sus limpiaparabrisas, frena, mierda, casi choco, no se ve nada con esta lluvia, roto de mierda, por Dios que ha llovido este año, me ven a un metro de distancia en el foco de luz que la lluvia rasguña, disuelto en la lluvia pero el limpiabrisas me devuelve y me devuelve y me devuelve y me devuelve y me devuelve la solidez de que carezco, para que ellos puedan verme, un hombrecito como ciego, el pelo empapado, empapado entero en el segundo de nuestra frenada, huyendo a tientas entre el acoso de los autos que lo aprietan, los carabineros furiosos en la vereda piteando frustrados en su autoridad, el fantoche perseguido bailando como una alucinación en las luces rojas que le muerden las pantorrillas mientras él huye entre los Citroen que patinan, los Ford que chocan, que bocinean, roto de porquería y esta manga que no amaina, frena, cuidado, Hernán, que vas a matarlo, qué me importa a mí si casi me hizo chocar mi Renault nuevecito, pero ya se perdió detrás del Morris allá en la lluvia del parque y se irá a esconder en el río, pero yo no soy ladrón, madre Benita, se lo juro, uno no roba su propio nombre porque uno tiene derecho a disponer de él para lo que quiera, aprovechar uno de esos días de invierno cuando oscurece temprano para quemar todos mis papeles, todos mis nombres idénticos y reiterados, sin dejar ni una huella, los tiraré desde este puente de fierros negros al cauce de piedra y después de descolgarme hasta aquí encenderé una hoja, dos, un cuadernillo quizá, para calentarme las manos un poco porque hará frío.
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