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Carboniza
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Se carboniza en una humareda negra.
Il te carbonise dans une fumée noire.
—Si lo hago, me carbonizo, Adamsberg.
— Si je fais cela, Adamsberg, je me carbonise.
Su piel se carbonizó. Sus caras se endurecieron y se agrietaron.
Leur peau s’est carbonisée, leurs visages durcis et fissurés.
una llama de doscientos metros inunda el camino y carboniza al propio zapador.
une flamme de 200 mètres de long inonde le chemin et carbonise le pionnier.
Las techumbres carboniza-das podían entreverse a través de los ventanales, como las encías enfermas de un viejo a-nimal.
On pouvait voir les toitures carbonisées à travers les fenêtres comme les gencives malades d’un vieil animal.
Incluso él, acaso en mayor medida que los demás, más profundamente y sin palabras, vive la repugnancia abrumadora del pensamiento de la muerte, y tal vez por ello la ahogue en la bebida que lo petrifica y lo carboniza.
Même lui, peut-être lui plus que les autres, plus profondément et moins avec des mots, vit le dégoût accablant de la pensée de la mort, et peut-être pour cette raison l’étouffe-t-il dans la boisson qui le fossilise et le carbonise.
Le importaba un pito Adamsberg, había desaparecido por las trampillas de su memoria, allá donde todo se pulveriza, se carboniza y se recicla, como en las plantas de tratamiento de desechos, donde se puede fabricar una silla de mimbre nuevecita a partir de un tractor viejo.
Elle se foutait d'Adamsberg, il avait disparu dans les trappes de la mémoire, là où tout se pulvérise, se carbonise et se recycle, comme dans les usines de traitement des matériaux, où on peut fabriquer une chaise en rotin toute neuve avec un vieux tracteur.
Sentía desasosiego, impulsos inusitados como querer emborracharme o pegarle a alguien, y en la Radio tuve un encontrón con Pascual, que, fiel a su naturaleza, había dedicado la mitad del boletín de las tres a un incendio en Hamburgo que carbonizó a una docena de inmigrantes turcos.
Je sentis en moi une agitation, des impulsions inusitées comme de vouloir me saouler la gueule ou de frapper quelqu’un, et à la Radio je me heurtai à Pascual qui, fidèle à sa nature, avait consacré la moitié du bulletin de trois heures à un incendie à Hambourg qui avait carbonisé une douzaine d’immigrants turcs.
Los ascensos del bosque te llevan a través de enclaves de muerte: aquí murió Fritz golpeado por una rama, contaba la abuela, allí el rayo carbonizó a tres hombres, en el Claro del Trueno, junto al Haya de la Muerte, cerca del arroyo, las jóvenes que chillan junto al manantial de los Poset, donde los muertos vagan y se lamentan, el Barranco Salvaje, donde encontraron la calavera.
Les sentiers de forêt passent devant des lieux funèbres, ici c’est Fritz qui a été assommé par une branche, se rappelait grand-mère, là trois hommes avait été carbonisés par la foudre, sur la clairière près du hêtre de la mort pas loin du ruisseau, les fillettes qui hurlent sous la source de la ferme Poset où les morts déambulent en gémissant, le Fossé sauvage où l’on trouva la tête de mort.
Pero sólo al trasmontar la cuesta pedregosa, pardusca, del poco Trabubú y encontrarse a sus pies, con lo que había dejado de ser Canudos y era lo que veían, comprendieron que ese ruido eran los aletazos y los picotazos de millares de urubús, de ese mar interminable, de olas grises, negruzcas, devorantes, ahítas, que todo lo cubría y que, a la vez que se saciaba, daba cuenta de lo que aún no había podido ser pulverizado ni por la dinamita ni por las balas ni por los incendios: esos miembros, extremidades, cabezas, vértebras, vísceras, pieles que el fuego respetó o carbonizó a medias y que esos animales ávidos ahora trituraban, despedazaban, tragaban, deglutían.
Mais ce n’est qu’en dépassant la côte pierreuse, grisâtre, du Poço Trabubú et en trouvant à leurs pieds ce qui avait cessé d’être Canudos pour être ce qu’ils voyaient, qu’ils comprirent que ce bruit était celui des battements d’ailes et des coups de bec de milliers d’urubus, de cette mer interminable, aux vagues grises, noirâtres, dévorantes, rassasiées, qui recouvrait tout et qui, en même temps qu’elle s’empiffrait, dévoilait ce qui n’avait pu être pulvérisé par la dynamite ni par les balles ni par les incendies : ces membres, extrémités, têtes, vertèbres, viscères, peaux que le feu avait respectés ou carbonisés à moitié et que ces animaux avides trituraient maintenant, coupaient en morceaux, avalaient, déglutissaient.
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