Übersetzung für "con domicilio en" auf französisch
Übersetzungsbeispiele
Deberá residir en el domicilio de sus padres en Saddle River hasta que le llegue el momento de ir a la universidad, que hago constar que se encuentra en el estado de New Jersey.
Il devra habiter avec ses parents à leur adresse de Saddle River à moins qu’il ne réside à l’université qui se trouve dans l’État du New Jersey.
El puesto de corresponsal de Reuters en Alemania Oriental conllevaba ocuparse de una parroquia considerable: Alemania del Este en sí, con domicilio obligatorio en Berlín Oriental, además de Checoslovaquia y Hungría.
LE POSTE de correspondant de l’agence Reuters en Allemagne de l’Est couvrait un vaste territoire : l’Allemagne de l’Est elle-même, avec obligation de résider à Berlin-Est, plus la Hongrie et la Tchécoslovaquie.
Son un nombre y un domicilio inventados, o por lo menos, la policía de Bonn, donde tendría que haber residido ese fulano, ha dicho que no existe ningún nombre semejante ni en la oficina de registro de la ciudad ni en sus archivos.
— Un nom et une adresse inventés, pour le moins. La police de Bonn, où était supposé résider notre oiseau, m’a répondu qu’il n’y avait personne de ce nom ni au bureau de l’état civil ni dans leurs archives.
Ahora bien, la citación puede hacerse en cuatro lugares: en su domicilio, en un lugar en donde haya residido al menos cuarenta días, en la capital del condado del que ordinariamente depende o, finalmente, (si hubiera motivo para creer que ha abandonado Escocia) en la cruz de Edimburgo, en el muelle y a la orilla del Leith, durante sesenta días.
Or, il y a quatre endroits où un individu peut être cité : à son domicile ; en un lieu où il a résidé quarante jours ; au bourg du comté où il ressortit d’ordinaire ; ou enfin (si on est fondé à croire qu’il a quitté l’Écosse) à la Croix d’Édimbourg et aux môle et rivage de Leith, pendant soixante jours.
Te encoges de hombros con un gesto que desprecia mi temor de la intemperie que no quiero que desprecies porque necesito que lo hagas tuyo, por lo menos ahora, esta noche: te hablo, me escuchas, te explico que todo lo del Gigante fue una farsa porque el verdadero padre se escondía dentro de Romualdo, que no era más que otra máscara como la del Gigante que ella vio que destruyeron, ahora hay que destruir la máscara de cartonpiedra de Romualdo para encontrar al otro adentro, al verdadero padre de tu hijo, vive en su palacio de fierro y cristal, lo puedes ver desde tu ventana; uno de esos palacios que despiden haces de luz que tratas de atrapar con tus manos para encaramarte a ellos, no tendrás para qué encaramarte a un haz de luces, Iris, yo destruiré la máscara de Romualdo y te traeré al verdadero padre, espérame aquí, las calles son terribles, hay hombres barbudos que acechan y médicos que hacen sufrir al extirparte órganos con sus bisturís finísimos, y los perros de los doctores persiguen a la gente que anda por la calle de noche y no tiene identificación ni domicilio conocido, la oscuridad de afuera no es como la oscuridad de esta casa, Iris, esa oscuridad de allá es la de la gente que no tiene ni donde caerse muerta como dicen y no tiene donde caerse muerta porque esa oscuridad es el vacío que traga y uno cae gritando y nunca deja de caer gritando y gritando y cayendo y cayendo porque no hay fondo, hasta que la voz se pierde pero uno sigue y sigue cayendo en esa infinidad de calles vertiginosas con nombres que tú no conoces, llenas de caras de gente que se reirán de ti, que viven en casas donde no te van a dejar entrar y hacen cosas que tú no entiendes, no te acerques más, Iris, no me toques así, no, Humberto, no permitas que la Iris siga tocándote porque va a romper tus disfraces, si no huyes tendrás que volver a ser un tú mismo que ya no recuerdas dónde está ni quién es, acercas tus labios gordos a mi boca y tus muslos hurgan entre mis pobres piernas flacas que tiemblan, no le permitas que te transforme en Humberto Peñaloza con su carga de nostalgia intolerable, huye para que tu sexo no despierte con la presión de esas palmas carnosas, que no responda a su lengua que explora tu boca y tu lengua, mantenerte yerto en el rincón donde sus tetas y sus caderas te aprietan. Humberto no existe, el Mudito no existe, existe sólo la séptima vieja.
Tu hausses les épaules en signe de mépris pour ma crainte des intempéries que je ne veux pas que tu méprises, car j’ai besoin que tu la partages, au moins maintenant, cette nuit : je te parle, tu m’écoutes, je t’explique que toute l’affaire du Géant n’était qu’une farce, car le véritable père se cachait à l’intérieur de Romualdo qui n’était qu’un masque de plus, comme celui du Géant que tu avais vu détruire, et maintenant il faut détruire le masque en carton-pâte de Romualdo pour trouver l’autre individu à l’intérieur, le vrai père de ton fils, il habite dans son palais de fer, de verre et de lumières, tu peux le voir de ta fenêtre, un de ces palais qui émettent des faisceaux de lumière que tu essaies d’attraper avec tes mains pour grimper dessus, tu n’auras pas besoin de grimper sur un faisceau lumineux, Iris, je démolirai, moi, le masque de Romualdo et je t’amènerai le vrai père, attends-moi ici, les rues sont terribles, il y a des hommes barbus à l’affût et des médecins qui te font souffrir en t’extirpant des organes avec leurs bistouris extrêmement acérés, et les chiens des docteurs poursuivent les gens qui marchent dans les rues la nuit et qui n’ont ni identité ni domicile connu, l’obscurité du dehors n’est pas comme l’obscurité de cette Maison, Iris, le noir de là-bas est celui des gens qui ne savent pas où crever, comme on dit, et qui ne savent pas où crever parce que cette obscurité est le vide qui engloutit, et on tombe en criant et on n’arrête plus jamais de tomber en criant et de crier et de tomber et de tomber car il n’y a pas de fond, et puis la voix se perd mais on continue à tomber dans cette infinité de rues vertigineuses avec des noms que tu ne connais pas, pleines de figures de gens qui riront de toi, qui vivent dans des maisons où ils ne vont pas te laisser entrer et qui font des choses que tu ne comprends pas, ne t’approche pas davantage, Iris, ne me touche pas ainsi en te frottant contre mon corps, tu mets ta main sur mon sexe, non, Humberto, ne permets pas à Iris de continuer à te toucher car elle va briser ton masque, si tu ne fuis pas, tout va s’écrouler et tu devras redevenir un toi-même dont tu ne te rappelles plus où il réside ni qui il est, tu approches de ma bouche tes lèvres épaisses et tes cuisses fouillent entre mes pauvres jambes maigres et tremblantes, ta main cherche mon sexe et ouvre les boutons de ma braguette, ne lui permets pas de te retransformer en Humberto Peñaloza avec son intolérable fardeau de nostalgie, fuis, empêche ton sexe de se réveiller sous la pression de ces paumes charnues, ne réponds pas à sa langue qui explore ta bouche et ta langue, reste inerte dans le coin où ses seins et ses hanches te pressent, Humberto n’existe pas, le Mudito n’existe pas, il n’y a que la septième vieille.
Con domicilio en el Airport Marriott Hotel, St. Louis.
Résidant à l’hôtel Marriott de l’aéroport de St. Louis.
—La policía busca a un médico de poco más de treinta años, con domicilio en Bygdøy.
 La police recherche un médecin de trente à quarante ans, résidant à Bygdøy.
Y., mayor de edad, soltero, con domicilio legal en la calle X, n.º X, piso X, de la ciudad de Madrid, nacionalizado español, con DNI n.º X, en pleno uso de mis facultades mentales y siendo mi firme y deliberado deseo otorgar este testamento, ordeno mi última voluntad en las siguientes disposiciones:
Y., majeur, célibataire, résidant légalement à Madrid, au numéro X de la rue X, naturalisé espagnol, sain de corps et d’esprit, prends librement les dispositions suivantes :
¿Sigues vivo y con buena salud y con domicilio en Nueva York?
Es-tu encore vivant et en bonne santé demeurant à New York ?
se entrega al niño Landrade, Raoul, tutelado por el Estado, a la familia Thirion, con domicilio en el bulevar Auberjon, 67, en Neuilly...
« l’enfant Landrade Raoul, pupille de la nation, est remis à la famille Thirion demeurant à Neuilly, 67, boulevard Auberjon… »
Yu.-Declaración de Lao Guojun, treinta y cuatro años, con domicilio en el número 72 de la calle Henan, distrito de Huangpu, Shanghai.
Yu : Vous êtes Lai Guojun, 34 ans, demeurant au 72, rue du Henan, quartier de Huangpu, Shanghai.
… Robert Carpentieri, nacido el 7 de junio de 1938 en París (10), técnico de cine, con domicilio en el 5 bis de la rué Brunel, París (17)… Declara:
… Robert Carpentieri, né le 7 juin 1938 à Paris (10e), technicien de cinéma, demeurant 5 bis rue Brunei à Paris (17e)… Il déclare :
Por su parte, Rembrandt Harmensz van Rijn, natural de Leiden, de veintiséis años de edad, con domicilio en el Breestraat, se comprometía a obtener el consentimiento de su madre a su debido tiempo y añadía triunfante su firma al documento.
De son côté, Rembrandt Harmensz van Rijn, de Leyde, se disant âgé de vingt-six ans et demeurant dans la Breestraat, put fournir aussi, à temps, le consentement de sa mère.
Y ahora escriba al final: Yo, Gerald Porlomenos, con domicilio actual en la Asociación de Jóvenes Paganos, hago esta declaración por voluntad propia y no bajo coacción. Y luego lo firma. Más le vale. ¿Lo entiende? —Sí, señor.
Et maintenant vous inscrivez à la fin : Je soussigné, Gérald Dumoins, demeurant actuellement à la Jeunesse ouvrière païenne, fais cette déclaration de ma propre volonté, ni contraint ni forcé. Et ensuite vous signez. Sinon… Pigé ? — Oui, monsieur. 
También estaba la copia de un informe muy anterior de la brigada de antiproxenetismo, investigaciones e informes, la Dirección de la Policía Judicial, referida a la tal Annie Astrand, con domicilio en un hotel del 46 de la calle de Notre-Dame-de-Lorette, y en el que ponía: «Conocida en l’Etoile-Kléber[1]».
Figurait aussi la copie d’un rapport beaucoup plus ancien de la Direction de la Police judiciaire, Brigade mondaine, Enquêtes et renseignements, concernant la nommée Astrand Annie demeurant en hôtel, 46, rue Notre-Dame-de-Lorette, et où était écrit : « Connue à l’Étoile Kléber. » Mais tout cela était confus, comme si quelqu’un – Ottolini ?
Hacemos constar que se presenta la señorita Chauviére, Carmen Yvette, nacida el 4 de agosto de 1925 en París (10), artista, con domicilio en el número 40 de la rué La Rochefoucauld, París (9), a quien damos lectura de nuestra comisión rogatoria y a quien hacemos prestar juramento de decir toda la verdad y solo la verdad.
Constatons que se présente Mademoiselle Chauvière Carmen Yvette née le 4 août 1925 à Paris (10e), artiste, demeurant 40 rue La Rochefoucauld à Paris (9e) à qui nous donnons lecture de notre commission rogatoire et à qui nous faisons prêter serment de dire toute la vérité, rien que la vérité.
Hoy, segundo día de pradial del séptimo año de la República Francesa, se presenta ante mí, Pierre-Jacques Duvivier, oficial del registro civil, abajo firmante, el ciudadano Bernard-François Balzac, propietario, residente en esta localidad, con domicilio en la rue de l’Armée d’Italie, Section du Chardonnet núm. 25, con el fin de notificar el nacimiento de un hijo. El antedicho Balzac declara que la criatura tiene por nombre Honoré Balzac y ha nacido hoy a las once horas de la mañana, en casa del declarante.
Aujourd’hui deux Prairial, an sept de la République française, a été présenté devant moi Pierre Jacques Duvivier, officier public soussigné, un enfant mâle par le citoyen Bernard François Balzac, propriétaire, demeurant en cette commune, rue de l’Armée d’Italie, section du Chardonnet n° 25, lequel m’a déclaré que ledit enfant s’appelle Honoré Balzac, né d’hier à onze heures du matin, au domicile du déclarant…
Ella sacó un paquete de tarjetas de plástico y se las dio a Carl Mueller. Había una carnet de la Seguridad Social, un permiso de conducir, una tarjeta de la Biblioteca de Suscripciones del Reader's Digest, una tarjeta de la Liga de la Defensa de las Mujeres de Iowa, una tarjeta que declaraba que era miembro de pago de la Iglesia Misionera Pentecostal del Sagrado Corazón (con foto incluida), y un surtido de tarjetas de crédito, todas las cuales la identificaban como Beverly Whittaker, de 22 años, con domicilio en el 521 de Willow Street, en Mason City, Iowa.
Elle sortit un étui de cartes plastifiées qu’elle montra à Mueller : il y avait une carte de Sécurité sociale, un permis de conduire, une carte d’adhérente de la bibliothèque du Reader’s Digest, une carte de la Ligue de défense des femmes de l’Iowa, une carte de membre cotisant à l’Église de la mission pentecôtiste du Saint-Sang (avec photo) et diverses cartes de crédit qui toutes l’identifiaient comme Beverley Whittaker, vingt-deux ans, demeurant 512, Willow Street, Mason City, Iowa.
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