Übersetzung für "comuna-con" auf französisch
Übersetzungsbeispiele
Como si compartiesen algo en común.
Une sorte de communion.
Lágrimas que desarman el sufrimiento y neutralizan sus perversiones a través del llanto común.
Larmes qui désarment la souffrance, désamorcent ses perversions, dans la communion.
Yo escribiré una carta a Zakath con la excusa de que tenemos intereses comunes en este asunto.
Je vais écrire à Kal Zakath une lettre exposant notre communion d’intérêts.
Cuando el silencio empezó a intensificarse, no pudo conectar con el recogimiento común y seguir a los demás.
Lorsque le silence devint plus profond, Honor ne parvint pas à se joindre à cette communion générale et à suivre le groupe.
¿Podía la comunión que ahora sentía con él tener alguna cosa en común con el crudo corazón del señor Wu y su amor hacia su esposa?
Cette communion qu'elle éprouvait avec lui pouvait-elle avoir quelque chose de commun avec l'âme vulgaire de M. Kang et l'amour qu'il éprouvait pour sa femme ?
Que él, Pollak (Henri), cabo furriel nativo de Montparnasse, tenía un colega que se llamaba Karaschmerz y que (Karaschmerz, pero también Pollak Henri, y cualquiera: a esa edad es lo normal) se desvelaba por una chica y que él (sigue tratándose de Karaschmerz) manifestaba una indiferencia notoria y a pesar de todo desenfadada acerca de los desacuerdos que oponían el futuro de Francia, por un lado, y un atajo de gamberros y de delincuentes comunes, por otro lado, y que él (Karaschmerz, again) había expresado el deseo de permanecer en Francia viéndolas venir en los brazos de la mujer de sus desvelos, en vez de ir a juguetear por los cerros argelinos, y que él (es decir, Pollak Henri) se había emocionado como el día de su primera comunión y que había preguntado qué podía hacer, al tiempo que se decía in petto y en su fuero interno que no podía hacer nada, y que él (Karaschmerz) le había sugerido que él (Henri Pollak) le pasase encima del pie con un Yip, con el objeto de que una vez estropiado (Karaschmerz, naturalmente) iría al hospital militar y que (Karaschmerz, evidentemente) tendría una larga convalecencia y que ya se (o sea todos en general, y más concretamente Karaschmerz, Póllak Henri, las mujeres de sus desvelos y, para complacerle, el guardia de tráfico que regula la circulación en el cruce de la calle Boris-Vian con el bulevar Teilhard-de-Chardin) vería cómo pintaban las cosas, y que quizás la firman, la paz.
Que lui, Pollak (Henri), maréchal des logis natif de Montparnasse, il avait un pote qui s’appelait Karaschmerz et qu’il (Karaschmerz, mais Pollak Henri aussi, et tout le monde : à cet âge, c’est normal) avait une fille dans la peau et qu’il (toujours Karaschmerz) manifestait une indifférence notoire et nonobstant sympathique vis-à-vis du différend qui opposait l’avenir de la France, d’une part, et quelques ramassis de trublions et de droit-commun, d’autre part, et qu’il (Karaschmerz again) avait manifesté le désir de demeurer en France à se la couler douce dans les bras de celle qu’il avait dans la peau, au lieu de s’en aller batifoler dans les djebels, et qu’il (c’est-à-dire Pollak Henri) s’était senti ému comme le jour de sa première communion et qu’il avait demandé ce qu’il pouvait faire, tout en se disant in petto et dans son for intérieur qu’il n’y pouvait rien, et qu’il (Karaschmerz) avait suggéré qu’il (Henri Pollak) lui passât sur le pied avec une Djip afin qu’une fois estropié il (Karaschmerz, bien sûr) irait à l’hôpital militaire et qu’il (Karaschmerz de toute évidence) aurait une longue convalescence et qu’on (c’est-à-dire tout le monde en général, et plus particulièrement Karaschmerz, Pollak Henri, les filles qu’ils avaient dans la peau, et, pour lui faire plaisir, l’agent de police qui règle la circulation au croisement de la rue Boris-Vian et du boulevard Teilhard-de-Chardin) aurait le temps de voir venir et que peut-être la paix elle est signée.
No tiene la menor idea siquiera de qué se trata, cómo se lleva a cabo, por dónde se empieza, al instante se abalanza sobre el ordenador, qué sencillo resulta hoy en día reunir información, mucho más que información, puesto que en unas pocas horas se encuentra con más personas que las que conoció en toda su vida, gente que anhela, como ella, un niño, que se da a conocer bajo extraños y a veces ridículos sobrenombres aunque, a pesar de eso, se comportan con total seriedad para con ellos mismos y para con los demás, con alegría comparten con ella sus historias, sus vivencias y en especial sus peripecias en países extraños y extranjeros frente a personajes ambiciosos y escurridizos, ante complicadas burocracias, no tienen aparentemente esperanzas aunque arden de ilusión, son para ella perfectos extraños y, sin embargo, los siente más cercanos que su esposo o su hija, su madre o su hermano, de repente cree adivinar la existencia de un corazón generoso y grande dentro del ordenador, que hasta ese momento solo era una pieza utilitaria de trabajo, lee y relee con la respiración contenida acerca de hombres y mujeres, juntos o por separado, que no tuvieron la fortuna de poder concebir hijos pero el mundo está colmado de niños aun cuando el camino hasta ellos sea largo y agotador, lleno de señales y milagros, por lo que lograron conseguir un niño y otorgarle un hogar, relatos que hablan de enamoramientos incomparables, de la profunda sensación de unión espiritual y un destino en común.
Elle n’a pas la moindre idée de ce dont il s’agit, des démarches à entreprendre, par quoi commence-t-on, alors elle se secoue et se jette sur l’ordinateur, rien de plus aisé aujourd’hui que de collecter des informations, et pas seulement des informations, car à peine quelques heures plus tard elle a déjà rencontré beaucoup plus de gens qu’au cours de sa vie entière, des gens qui partagent son désir d’enfant, qui se sont choisi d’étranges pseudos, ridicules parfois, ce qui ne les empêche pas d’être très sérieux, d’être pris très au sérieux, et tous ces inconnus lui racontent volontiers leur expérience, leur histoire et surtout les épreuves qu’ils ont traversées dans des pays étranges et étrangers, impuissants mais vibrants d’espoir face à des interlocuteurs cupides, à suivre les méandres d’une procédure compliquée et d’une administration tortueuse, tous ces gens qu’elle ne connaît pas mais avec lesquels elle se sent plus d’affinités qu’avec son mari ou sa fille, sa mère ou son frère, elle a soudain l’impression qu’un cœur généreux et débordant de ressources palpite dans les entrailles de cet ordinateur dont elle ne se servait jusqu’à présent que pour travailler, elle lit des pages et des pages en retenant son souffle, s’imprègne de récits d’hommes et de femmes qui, ensemble ou séparément, n’ont pas eu la chance de concevoir, mais ce ne sont pas les enfants qui manquent sur terre, peu importe que le chemin pour les atteindre soit long et harassant, jalonné d’obstacles et de miracles, ceux qui n’ont pas mis un enfant au monde ont pris un enfant du monde et lui ont donné un toit, oui, tous leurs récits parlent d’amour à nul autre pareil, de finalité et de profonde communion spirituelle.
¿Qué había en común?, ¿qué había en común?
Qu’y avait-il de commun ? Qu’y avait-il de commun ?
Sentido Común, Química Poco Común.
Du sens commun, une chimie peu commune.
No necesitaba creencias comunes, identidades comunes.
Il n’avait pas besoin d’une croyance commune, ou d’une identité commune.
Tenían un destino común, un futuro común, como los esposos.
Ils étaient unis dans un destin commun, une progression commune.
¿Qué tenía en común con ella?
Qu’est-ce qu’il avait de commun avec elle ?
Tienen eso en común.
ils ont cela en commun.
Era algo que tenían en común.
Ils avaient cela en commun.
Tú y yo tenemos eso en común.
Toi et moi avons cela en commun.
Tenemos eso en común.
Nous avons cela en commun.
Teníamos eso en común.
Nous avions cela en commun.
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