Übersetzung für "gausser" auf spanisch
Übersetzungsbeispiele
Les voix semblaient se gausser de lui alors qu’il continuait son exploration ;
Las voces parecían burlarse de él y de su búsqueda;
Tant et si bien qu'il finit par ne même plus se gausser des rêves en question.
Al final, incluso él renunció a burlarse de esos sueños.
La liberté de se gausser de tout? La liberté d'être un voleur et un couard?
¿La libertad de burlarse de todo? ¿La libertad de ser un ladrón y un cobarde?
Le Hollandais paraissait bien décidé à profiter pleinement de cette occasion de se gausser de son naïf passager.
El holandés parecía completamente decidido a aprovechar aquella ocasión para burlarse de su ingenuo pasajero.
– Si je trouve que…, murmure-t-elle. Mais il ne la laisse pas achever sa phrase. – Ne savez-vous pas, Sœur Maria, qu’il ne fera que se gausser de nous ?
—Sí, creo que… —murmura la hermanita, pero el salutista no le deja terminar la frase. —¿No sabe, sor María, que no hará otra cosa que burlarse de nosotros?
Même une intelligence telle que la sienne, reprit Gauss, n’aurait rien pu concevoir aux premiers âges de l’humanité ou sur les rives de l’Orénoque, tandis que dans deux siècles le premier imbécile venu pourrait se moquer de lui et inventer des absurdités sur son compte.
   Ni siquiera una inteligencia como la suya, dijo Gauss, habría fructificado en edades pretéritas de la humanidad o en las orillas del Orinoco, mientras que dentro de doscientos años cualquier mentecato podría burlarse de él e inventar disparates absurdos sobre su persona.
Ils pouvaient certes critiquer ses « cheveux noirs et courts mêlés d’un peu de gris sous sa calotte de satin, une grande croix pectorale incrustée de diamant et un gros saphir au doigt », mais tant que cette croix serait une croix d’évêque, ils ne pourraient pas se gausser de son absence de virilité.
Podían criticar su vanidad o hacer burla de su «corto pelo negro, ligeramente salpicado de blanco, y el solideo de satén, la cruz grande con diamantes relucientes y el gran zafiro que llevaba en el dedo», pero mientras la cruz que llevaba junto al pecho fuese una de obispo, no podían burlarse de su masculinidad.
En quelques mots, il est parvenu à dénigrer et à se gausser de la réalité des pauvres gens entassés au bout du couloir, froids et raides, emprisonnés dans des housses d'entreprises de pompes funèbres en vinyle ou en fourrure synthétique, ou encore nus sur d'implacables chariots et tables d'autopsie en acier, attendant le scalpel ou la scie Stryker.
Con tres palabras ha conseguido negar y burlarse de las personas que hay al final del pasillo, lastimosamente frías, rígidas y en el interior de un sudario de vinilo con cremallera o en bolsas funerarias de piel sintética, o desnudas sobre una camilla de frío metal o en mesas de acero duro preparadas para el bisturí y la sierra de Stryker.
Et quand, pour ajouter au plaisir de défendre son neveu en présence de son frère aîné, celui de faire preuve de son savoir en ma présence à moi, mon père fera suivre tout le bien qu'il dira de cet article de Djélâl sur tel ou tel problème national ou tel ou tel phénomène social, de l'expression « critique positive » (terme dont Djélâl serait le premier à se gausser s'il l'entendait) et que je verrai ma mère (ne te mêle pas de ça, toi au moins, maman !) l'approuver en hochant la tête, car elle se fait un devoir, devant la colère de l'oncle Mélih, de prendre la défense de Djélâl avec toujours le même préambule : « Au fond c'est un si gentil garçon... », je ne pourrai plus me retenir, et tout en les sachant incapables de savourer et de comprendre comme moi les articles de Djélâl, je leur poserai inutilement la question : « Avez-vous lu sa chronique d'aujourd'hui ? » et j'entendrai l'oncle Mélih, bien que le journal sur ses genoux soit ouvert à la page de l'article de son fils, demander : « Quel jour sommes-nous aujourd'hui ? » ou encore me répondre : « Ils publient donc chaque jour sa chronique ?
Luego, al ver que mi padre, con ese placer de defender a su sobrino ante su hermano mayor al que habría que añadir, además, el de presumir ante mí de sus conocimientos, dice unas frases de elogio, que si Celâl oyera sería el primero en burlarse de ellas, sobre ese artículo que tratará sobre tal problema del país o sobre tal cuestión de la vida y que, además, añadirá la adecuada crítica «constructiva» y que mi madre (¡Mamá, no te metas tú en esto!) corroborará la opinión de mi padre con la cabeza (porque ella conoce bien su misión de defender a Celâl de las iras del Tío Melih con su forma de tratar la cuestión: «En el fondo es un buen chico, pero…»), no podré contenerme y preguntaré estúpidamente «¿Habéis leído su artículo de hoy?», a pesar de que sé que nunca obtendrán ni podrán obtener de los artículos de Celâl el placer y las interpretaciones que yo extraigo. Entonces oiré cómo el Tío Melih, que quizá en ese momento tenga el periódico en las manos abierto por la página del artículo de Celâl, dice a pesar de todo «¿Hoy qué es?» o «¿Ahora le dejan escribir todos los días?
Il les entendait déjà se gausser
Ya los estaba oyendo mofarse
S’assurant l’un l’autre de l’infaillibilité de leur tactique présente, ils reprirent assez de confiance en eux-mêmes pour se gausser à nouveau du jeune homme. Mais, cette fois, leurs paroles tremblantes sonnaient faux.
Diciéndose unos a otros que ahora su táctica era infalible, recobraron la confianza hasta el punto de mofarse una vez más del joven, pero esta vez sus palabras tenían un dejo trémulo y hueco.
Et toute théorie qui cherche sincèrement à trouver un Créateur intelligent dans Ses œuvres doit tenir compte de la beauté et de la force de ces explications-là, ne doit pas s’en gausser, ni tenter de les réfuter à seule fin de défendre Celui qui ne peut être défendu par de faibles raisonnements partiels…
Y cualquier argumento que pretenda descubrir realmente un Creador inteligente en Sus obras debe tener en cuenta la belleza y la fuerza de esas explicaciones, no debe mofarse de ellas, ni tratar de refutarlas en aras de defenderlo a Él, a Quien no se puede defender con razonamientos parciales y poco convincentes…
Et, quand des avions russes chargés de masques débarquaient en Lombardie, quand la République tchèque interceptait des respirateurs chinois destinés à l’Italie, quand Cuba envoyait des urgentistes dans un département français d’outre-mer et quand le projet d’émettre des eurobonds mutualisés se heurtait au mur de l’égoïsme sacré des nations d’Europe du Nord, on entendait les jvouslavaisbiendistes se gausser et saluer à grands cris la faillite du « modèle maastrichtien ».
Cuando los aviones rusos cargados de mascarillas desembarcaron en Lombardía; cuando la República Checa interceptó respiradores chinos destinados a Italia; cuando Cuba envió a sus médicos de urgencias a una región francesa de ultramar, y cuando el proyecto de emitir eurobonos mutualizados se daba de bruces con el muro del sacro egoísmo de las naciones del norte de Europa, oímos a los yaoslodijimos mofarse y celebrar con vítores el fracaso del «modelo maastrichiano».
Il faudrait rajouter à tout ce qui vient d’être dit sur un ton parfois ironique – le persiflage étant l’un des moyens littéraires les plus sûrs, les plus efficaces, c’est bien connu –, il faudrait y ajouter un brin de tendresse, même désespérée, ou du moins angoissée, des nuances mordorées du sentiment, un élan du cœur, un envol des mains et des regards, comme des oiseaux de mer, des papillons exotiques, qui entourèrent de leur halo sentimental et sensuel, malgré la frustration réelle et vécue comme telle, tout cet épisode dont il ne conviendrait pas que le lecteur s’imaginât qu’il doive simplement se gausser, mais au contraire dont il faudrait qu’il garde un souvenir plutôt attendri, compatissant et complice, car qui peut affirmer sans quelque tricherie vantarde ne jamais avoir connu de situation de cette sorte, jamais de fiasco, d’échec ou de demi-échec, sauf à n’être en toute arrogance stupide qu’un mâle cocoricant, uniquement attentif à sa propre érection et à la détumescence consécutive à une éjaculation bornée, vite fait, mal fait ?), il y eut donc, rue de la Harpe, lorsqu’ils sortirent de l’hôtel, blessés et silencieux, mais se tenant par la main, noués l’un à l’autre par cette première expérience décevante comme ils l’auraient été par une défloration triomphale, ponctuée d’orgasmes tonitruants d’opéra wagnérien, la rencontre inopinée et malencontreuse d’un copain cancanier de Pepe Valenzuela, le papa confit en dévotion patriarcale, qui s’empressa de rapporter à celui-ci la rencontre qu’il avait faite, en y ajoutant des détails tout à fait faux sur une prétendue tenue indécente et publique des amants malheureux, nouvelle qui provoqua la colère foudroyante dudit Pepe, pépé postillonnant alors d’ire outragée et puritaine, qui rendit impossible toute ultérieure rencontre de Maxime et de Marie-Laure.
Habría que añadir a todo lo que se acaba de decir con un tono a veces irónico —sabido es que la mordacidad constituye uno de los trucos literarios más seguros, más eficaces—, habría que añadir a ello una brizna de ternura, incluso desesperada, o al menos angustiada, matices cálidos del sentimiento, un impulso del corazón, un revoloteo de manos y de miradas, como de aves marinas, de mariposas exóticas, que rodearon con su halo sentimental y sensual, pese a la frustración real y vivida como tal, a todo este episodio, del que no convendría que el lector imaginara que debe, simplemente, mofarse, sino, al contrario, del que debería conservar un recuerdo enternecido, comprensivo y cómplice, pues ¿quién puede afirmar sin jactanciosa falsedad no haber conocido jamás una situación de este tipo, no haber experimentado jamás fracasos o semifracasos, salvo que, con estúpida arrogancia, no sea más que un macho cacareante, sólo atento a su propia erección y a la detumescencia consecutiva a una eyaculación tosca, rápida, conejil?), hubo, pues, en la calle de la Harpe, cuando salieron del hotel, heridos y silenciosos, pero cogidos de la mano, unidos uno a otro por esta primera experiencia decepcionante como lo habrían estado por una desfloración triunfal, puntuada por tonantes orgasmos de ópera wagneriana, el encuentro inopinado y aciago con un chismoso camarada de Pepe Valenzuela, el patriarcal padre, que se apresuró a informar a éste de lo que había visto, añadiendo detalles completamente falsos sobre una compostura indecente y pública de los desdichados amantes, noticia que provocó la cólera fulminante del padre, el cual, babeante de ira ultrajada y puritana, hizo imposible todo ulterior encuentro entre Maxime y Marie-Laure.
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