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ÚNASE AL EJÉRCITO PROFESIONAL.
VENEZ REJOINDRE LES PROFESSIONNELS.
¡Vuelva y únase a su manada de lobos!
Allez rejoindre votre bande de loups !
Únase al resto de nosotros en la década de los setenta.
Venez nous rejoindre dans les années 70.
–Oh, doctor Weyland, pase y únase a nosotros.
- Oh, DrWeyland, venez donc nous rejoindre.
Mejor que salves tu propia vida y te unas a mí...
Tu ferais mieux de sauver ta vie et de me rejoindre...
Podrás recuperarla cuando te unas a los Filhos.
Tu peux la reprendre, si tu as envie de rejoindre les Filhos.
—¿Y ese amigo tuyo te ha pedido que te unas a nosotros en Delnoch? ¿Está loco?
— Cet ami te demande de le rejoindre à Dros Delnoch ? Est-il fou ?
– El anuncio dice "únase al ejército profesional"
« L’annonce disait : “Venez rejoindre les professionnels”, dit-il.
Dice que ha intentado convencerte de que te unas a nosotros, pero no lo ha conseguido.
Il a dit qu’il avait essayé de vous convaincre de nous rejoindre, mais sans grand succès.
Te hemos localizado gracias a tu señal, pero tardaremos unas horas en llegar.
Nous avons localisé votre signal, mais il nous faudra plusieurs heures pour vous rejoindre.
Coge el cable de conexión y, antes de destruirlas, descarga unas cuantas fotos para verlas en la pantalla del ordenador.
Il sort le câble de raccordement et, avant de les détruire, il télécharge quelques images afin de les visionner sur l’écran de son ordinateur.
— Por la mañana habrá otro vagón restaurante, señor. Lo engancharán en Elkhart. Pero le dejaré unas con hielo al revisor del coche cama.
— Le petit-déjeuner sera servi dans un wagon qui sera raccordé au train à Elkhart, monsieur. Mais je vais vous en réserver, avec de la glace, et je les confierai au steward de votre Pullman.
Una vez que los músculos sintéticos le hubieron sujetado bien las piernas, unas pequeñas boquillas se introdujeron en las válvulas de la parte superior de sus muslos, que habían quedado empalmados quirúrgicamente con sus arterias y venas femorales.
Deux petits becs vinrent se raccorder aux valves qu’on-lui avait implantées en haut des cuisses, au niveau des veines et artères fémorales.
—No sé si podré arreglar la unidad de comunicación, aunque haga reparaciones de fortuna en las placas y prescinda de unas cuantas conexiones —dijo el hombre, pasándose los dedos por su corto cabello—.
« Je ne sais pas si je peux réparer l’intercom, même en bricolant les modules que nous avons et en faisant des raccordements, dit l’homme en se passant la main dans ses cheveux courts.
—Ah, excelente… Bueno, si hay algunos voluntarios… entre la que con toda evidencia es la flor de la juventud filadelfiana reunida aquí esta noche… Contemplad, peregrinos del prodigio, mi nueva pila, veinticuatro botellas crepitantes y dispuestas. —El doctor Franklin se echa atrás la capucha y deja ver unas lentes que esta noche son de una curiosa tonalidad aguamarina y permiten verle los ojos pero transmiten una sombría satisfacción que desalienta la contemplación prolongada—. Vamos, caballeros, ¿quién será el siguiente?, eso es, muy bien, una línea de petimetres, todos cogidos de las manos, ¿a ver cuántos tenemos ahora?… Vaya, no es suficiente, vamos, uno más, siempre hay sitio para uno más… Coloca así en línea, con ademanes enérgicos, a una docena de incautos continentales y pone en manos del último un cable de cobre conectado a una terminal de la pila. A continuación toma la mano del primero y con la hoja de la guadaña toca la otra terminal, en el mismo instante en que el dueño de la taberna apaga los farolillos, de modo que el cuadro resultante queda iluminado por los aterradores destellos de luz blanca azulada, entre el áspero chisporroteo del fluido fulmíneo y las risas y hasta los gritos de los participantes.
« Ah… ? ex-cellent… Bon, j’aimerais avoir quelques volontaires… parmi ce qui est ici, de toute évidence ce soir, la fine fleur de la Jeunesse Philadelphienne… Admirez, pèlerins du Prodige, ma nouvelle batterie, – vingt-quatre bocaux apprêtés et crépitants. » Le Dr Franklin repousse maintenant sa capuche, pour révéler des verres qui sont ce soir d’une curieuse nuance aigue-marine et laissent visibles ses yeux, desquels émane toutefois un sombre Contentement qui décourage toute scrutation prolongée. « Allons, Messieurs, – qui sera le suivant, – c’est ça, trèèès bien, une Ligne de gandins, tenez-vous tous par la main, Ligne de gandins, combien en avons-nous maintenant, – oh là là, pas assez, allons, encore un, toujours de la place pour un autre… » Disposant énergiquement en Ligne une douzaine d’étourdis continentaux, plaçant entre les mains du dernier un câble de cuivre raccordé à un terminal de la batterie, et saisissant la main du premier, Franklin dirige la lame de sa faux vers l’autre terminal, – le taulier au même instant soufflant la camoufle, – si bien que le tableau résultant est illuminé par de violents et terrifiants éclairs d’une Lumière bleu-blanc, parmi les crachotements sonores du Fluide fulmineux, les hurlements de rire et parfois les cris des participants, le tabac à priser volant de toutes parts et, de temps à autre, prenant feu en nuages de flammes vertes, parmi d’infernales colonnes de fumée.
Venga y únase a nosotros.
Venez vous joindre à nous.
Sigo esperando convencerte para que te unas a nosotros.
J’espère toujours arriver à te convaincre de te joindre à nous.
Dentro de unas horas llegarán unos amigos míos.
Dans quelques heures, quelques amis vont se joindre à moi.
¿Y te han pedido que te unas a ellos? ¿Vas a ser un poli? —Asesor.
Et ils t’ont demandé de te joindre à eux ? Tu vas être flic ? — Consultant.
—Queremos atraerlo a Roma —respondió Avicus—, y hemos venido a pedirte que te unas a nosotros.
— Nous avons l’intention de l’attirer à Rome, et nous sommes venus te demander de te joindre à nous.
—Llamé a tu oficina unas cuantas veces, pero no logré localizarte —prosigue—.
— J’ai appelé votre bureau à plusieurs reprises mais je n’ai pas réussi à vous joindre.
—¡Ah, Foley! —dijo el señor Cooke—. Venga y únase a nosotros. Acerque una silla.
« Ah, Foley, s’écria Cooke, venez vous joindre à nous. Prenez une chaise.
—Bueno, podrán molestarte todo lo que quieran, pero no pueden hacer que te unas a algo que no deseas.
— Ils peuvent t’importuner autant qu’ils le veulent, mais ils ne peuvent pas t’obliger à te joindre à eux si tu n’en as pas envie.
Me gustaría prolongar la conversación, si creyera que tengo alguna posibilidad de persuadirte de que te unas a mí.
J’aimerais prolonger notre conversation, si je pensais avoir une chance de te persuader de te joindre à moi.
Al cabo de unas pocas semanas de nadar, nuevas sensaciones los recorrían y sus ventosas de succión se fruncían con suavidad y se posaban sobre las superficies próximas.
Après plusieurs semaines de descentes sous-marines, des sensations nouvelles avaient traversé ses nouveaux membres. Désormais, leurs ventouses s’orientaient doucement pour adhérer aux surfaces proches.
En las enseñanzas del Camino, unas creencias a las que había intentado adherirse de forma errática, Tai sabía que las coincidencias, los encuentros fortuitos, se debían aceptar con serenidad.
Tai le savait, selon les préceptes de la Voie, la foi à laquelle il tentait tant bien que mal d’adhérer, les coïncidences et les rencontres fortuites devaient être accueillies avec sang-froid.
Johnstone accionó un mando y unas cerdas sumamente finas sustituyeron a las garras de las patas del vehículo. Eran nanocerdas adherentes, muy parecidas a las que tenían las salamanquesas en los dedos de las patas, capaces de pegarse prácticamente a cualquier superficie, incluido el cristal.
Johnstone enfonça une touche. Les griffes des pieds du véhicule se rétractèrent dans leur gaine laissant la place à des coussinets couverts de poils minuscules. Des nanopoils, à l'instar de ceux que l'on trouvait sur les pieds du gecko, capables d'adhérer à n'importe quelle surface, même lisse comme le verre.
Aun así, este esquema irreal constituyó durante algunos años, para unas chicas que de todas formas eran bastante ingenuas y estaban bastante aturdidas por la rapidez de las transformaciones que ocurrían a su alrededor, un modelo de vida creíble al que trataron de amoldarse juiciosamente.
Il n'en reste pas moins que ce schema improbable put constituer quelques annees, pour des jeunes filles de toute facon assez naives et assez etourdies par la rapidite des transformations qui se deroulaient autour d'elles, un modele de vie credible, auquel elles tenterent raisonnablement d'adherer.
Recientemente, aplicados sociólogos han estimado su número: en Alemania habría unas 555.000. El número de miembros supera con mucho al de habitantes». dijo no saber cuántos partidos políticos, agrupaciones, clubes de fútbol o del automóvil, empresas, clubes de tiro, fundaciones y corporaciones administrativas tenía a su disposición, pero sentía una gran estima por los bomberos voluntarios y por el teléfono de la esperanza. Sin embargo, puntualizó, uno no solo debía poder ingresar en dichas instituciones, sino también salir de ellas sin temer perjuicio alguno. 29 A medida que el frío fue remitiendo, Z.
Des sociologues pleins de zèle en ont fait le compte il y a peu : elles seraient 555 000 en Allemagne avec plus de membres que d’habitants. » Bien sûr, M. Zède ignorait combien il y avait de corporations, partis, clubs de football, automobiles ou de tir, fondations, collectivités de droit public, mais il faisait grand cas des pompiers volontaires et des centres d’assistance téléphonique. Il ajoutait qu’il ne suffisait pas de pouvoir adhérer à ce genre d’institutions ; il fallait pouvoir les quitter sans avoir à en souffrir. 29
Böll, Grass y Johnson son los ganadores…»— y al mismo tiempo superar, girando rápidamente, nuestro presentimiento: ahora acaba algo, ahora empieza algo, ahora tenemos un nombre, y eso con piernas elásticas, muy apretados o a la distancia de las yemas de los dedos, porque aquel murmullo de los salones de la Feria —«Billar, Conjeturas, Tambor de hojalata…»— y el susurro de aquella fiesta —«por fin ha nacido la literatura alemana de la posguerra…»— o bien partes militares «a pesar de Friedrich Sieburg y el Frankfurter Allgemeine Zeitung, hemos logrado romper el frente…»— sólo podían oírse de pasada, locos por la música y sueltos, porque el Dixieland y el latido de nuestros corazones eran más fuertes, nos daban alas y nos hacían ingrávidos, de forma que el peso del novelón —setecientas treinta páginas— se había suspendido en el baile y nosotros ascendíamos de edición en edición, quince, no, veinte mil, y entonces Anna, cuando alguien gritó: «¡treinta mil!», y conjeturó contratos con Francia, el Japón y Escandinavia, de pronto, como estábamos sobrepasados por el éxito y bailábamos desprendidos del suelo, perdió su combinación de tres volantes, ribeteada con una tira de ganchillo, cuando el elástico cedió o perdió, como nosotros, toda inhibición, con lo que Anna, liberada, flotó sobre la prenda caída, la empujó con la punta del pie libre hacia donde teníamos espectadores, gente de la Feria, lectores incluso que, por cuenta de la editorial (Luchterhand), celebraban el que era ya un best-seller gritando: «¡Oskar!», «¡Está bailando Oskar!»; pero no era Oskar Matzerath quien, con una señora de la central telefónica, hacía una exhibición de Jimmy the Tiger, sino que éramos, compenetrados en el baile, Anna y yo, que habíamos dejado a Franz y Raoul, sus hijitos, con unos amigos y habíamos venido en tren, concretamente desde París, en donde, en un cuchitril húmedo, yo había alimentado con carbón la calefacción de nuestras dos habitaciones y, ante unas paredes que chorreaban, había escrito capítulo tras capítulo, mientras Anna, cuya combinación caída era heredada de su abuela, sudaba diariamente en la barra de ballet de Madame Nora en la Place Clichy, hasta que yo mecanografié las últimas páginas, envié las pruebas de imprenta corregidas a la editorial, a Neuwied, y pinté también la cubierta del libro con un Oskar de ojos azules, de forma que el editor (Reifferscheid se llamaba) nos invitó a la Feria del Libro de Francfort para que los dos pudiéramos vivir, saborear, pregustar y regustar el éxito;
Böll, Grass, Johnson sont en tête… » – et de surmonter aussi notre pressentiment, ça y est, quelque chose se termine, quelque chose commence, ça y est, nous avons un nom, en tournant très vite sur des jambes en caoutchouc, étroitement serrés l’un contre l’autre ou très loin du bout de nos doigts, car on ne pouvait fermer les oreilles à ce bourdonnement de la Foire – « Billard, Conjectures, Tambour… », à ces chuchotements de soirées chics – « La voilà enfin, la littérature allemande d’après-guerre… » – ou aux communiqués militaires – « Malgré Sieburg et la Frankfurter, la percée est enfin réussie… » –, qu’ainsi, drogués par la danse, déchaînés, parce que le dixieland et le battement de nos cœurs étaient plus forts, nous donnaient des ailes et nous enlevaient toute pesanteur, si bien que le poids du pavé – gros de sept cent trois pages – était emporté par la danse et que nous montions de tirage en tirage, quinze, non, vingt mille, et qu’Anna, quand quelqu’un cria « Trente mille ! » en envisageant des contrats avec la France, le Japon, la Scandinavie, soudain, comme nous surenchérissions : encore sur ce succès même et dansions maintenant sans adhérer au sol, perdit son jupon bordé de dentelles à son bord inférieur et garni de trois étages de ruchés parce que l’élastique avait claqué ou avait perdu tout contrôle en même temps que nous, de sorte qu’Anna, comme libérée, s’envola de la lingerie à terre et l’envoya du bout du pied vers les marges où nous avions des spectateurs, gens de la Foire, parmi lesquels des lecteurs même, qui fêtaient avec nous aux frais de l’éditeur le déjà best-seller et criaient « Oscar ! », mais ce n’était pas Oscar Matzerath qui exécutait sur la piste « Jimmy the Tiger » en compagnie d’une demoiselle du téléphone, c’étaient, chauffés par la danse, Anna et moi, qui avions laissé chez des amis Franz et Raoul, nos jeunes fils, et étions venus en train, de Paris, où dans un trou humide je nourrissais de coke le poêle qui chauffait nos deux pièces et où j’avais écrit devant le mur dégoulinant chapitre après chapitre, tandis qu’Anna, dont le jupon qui avait chu était un héritage de sa grand-mère, suait tous les jours à la barre de Madame Nora, place Clichy, jusqu’au moment où j’avais tapé les dernières pages, renvoyé les épreuves à Neuwied et même fini de dessiner la couverture du livre, avec un Oscar aux yeux bleus, si bien que l’éditeur (il s’appelait Reifferscheid) nous invita à la Foire du livre de Francfort, pour que nous puissions, à deux, vivre, savourer, saliver à l’avance et remâcher ensuite le succès ;
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