Translation for "vizcaina" to french
Vizcaina
Translation examples
Los pocos que cruzamos iban todos en grupo, con más hierro encima que una fundición vizcaína, armados hasta los dientes y recelando de su sombra.
Les quelques-uns que nous croisâmes allaient tous en groupe, portant plus de fer qu’on n’en trouve dans une fonderie de Biscaye, armés jusqu’aux dents et se méfiant de leur ombre.
En la primavera de 1945 la estampa de Dolores Ibárruri es también un homenaje a la memoria de Rubén, el mayor de los dos hijos a quienes logró sacar adelante desde la miseria del hogar de un minero vizcaíno, aquella casa que Julián y ella construyeron con sus propias manos.
Au printemps 1945, l’image de Dolores Ibárruri est également un hommage à la mémoire de Rubén, l’aîné de ses deux fils qu’elle a réussi à tirer de la misère du foyer d’un mineur de Biscaye, cette maison que Julián et elle ont construite de leurs propres mains.
En 1948, de nuevo abierta, las dos volvieron a coincidir en Casa Inés, y Adela comprendió por qué aquella mujer vulgar, la anónima esposa de un minero vizcaíno, un ama de casa española como tantas otras, había llegado a convertirse en lo que era.
En 1948, ouverte à nouveau, les deux femmes s’étaient rencontrées pour la deuxième fois à Casa Inés, et Adela avait compris pourquoi cette femme banale, l’épouse anonyme d’un mineur de Biscaye, une maîtresse de maison espagnole comme tant d’autres, avait réussi à devenir ce qu’elle était.
e incluso en tan reducido espacio y menguada tropa como la nuestra, hacíanse fieros y distingos entre unas tierras y otras, juntándose éstos lejos de ésos, picados de reproches el extremeño, el andaluz, el vizcaíno o el valenciano, esgrimiendo los vicios y desgracias de sus provincias cada uno para sí, y uniéndose todos solamente en el odio común contra los castellanos, con pesadas zumbas y chacotas, no dándose ninguno que no figurase ser cien veces más de lo que era.
Et même dans un espace aussi réduit et dans une troupe aussi dépenaillée que la nôtre, ils faisaient les fiers et émettaient des distinguos entre telle et telle terre, formant des camps pour s’opposer les uns aux autres, ceux d’Estrémadure, d’Andalousie, de Biscaye ou de Valence s’accablant de reproches, faisant valoir chacun pour son compte les vices et les disgrâces de telle province, et ne se retrouvant tous que pour s’unir dans la haine commune des Castillans, avec des quolibets et de lourdes plaisanteries, aucun n’étant en reste pour se figurer qu’il valait cent fois plus que ce qu’il était.
Aunque en la milicia, como en el resto de España, a todos los vascongados, incluso a los que como yo éramos nacidos en Guipúzcoa, nos daban el nombre común de vizcaínos, Zenarruzabeitia era de verdad de Vizcaya, alumbrado en Durango, y su apariencia no desmentía la patria del apellido: nariz fuerte, una sola ceja negra de sien a sien, barba cerrada, manos grandes, aire taciturno y un habla castellana que, si en lo reposado era casi tan correcta como la mía, cuando la usaba en caliente y espada en mano salía recortada a tijeretazos, con el orden de las palabras puesto como Dios daba a entender: —Turcos de hembra son, o así de puta, como lo cuentas tú, vizcaíno —le habíamos oído decir en Escanderlu cuando saltó a la Mulata de los últimos y trayéndose la bandera del rey, sin resuello, con la espada partida por la mitad, roja de sangre, y su galera hundiéndose detrás.
Même si dans l’armée, comme dans l’Espagne entière, on appelait tous les Basques des Biscayens, y compris ceux qui comme moi étaient natifs du Guipuzcoa, Zenarruzabeitia était réellement de Biscaye, né à Durango, et son apparence ne démentait pas la patrie à laquelle il devait son nom : nez fort, un seul sourcil noir allant d’une tempe à l’autre, barbe drue, larges mains, air taciturne, et un parler castillan qui, s’il était au repos aussi correct que le mien, jaillissait, dans la chaleur du combat et l’épée à la main, taillé à coups de serpe et dans un désordre où seul Dieu aurait pu se retrouver : « Turcs, femelles ils sont, ou comme putes, c’est quoi te dit ton Biscayen », l’avions-nous entendu crier dans les bouches d’Escanderlu quand il avait sauté dans la Mulâtre parmi les derniers en rapportant le pavillon du roi, à bout de souffle, l’épée brisée en deux, rouge de sang, et sa galère sombrant derrière lui.
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