Translation for "vino de la bodega" to french

Vino de la bodega

• vin de la cave

Translation examples

vin de la cave

—¿Una botella de vino en la bodega?
— Une bouteille de vin à la cave ?

Había un mozo de cuadra que también estaba encargado de sacar vino en la bodega.
Il y avait un garçon d’écurie qui était aussi chargé de tirer le vin à la cave.

Y, además, Pork…, ¡me siento tan débil! ¿No hay vino en la bodega?
Et puis, Pork… je… je me sens si faible, est-ce qu’il y a encore du vin dans la cave ?

Los invitados bebieron cerveza, sidra y vino de las bodegas del castillo hasta casi el agotamiento.
Les invités épuisèrent les provisions de bière, de cidre et de vin de la cave.

«Tengo tres mil botellas de vino en mi bodega, y mi salud no me permite convertirme en santo», me decía un cura de por aquí.
– J’ai trois mille bouteilles de vin dans ma cave, et ma santé ne me permet pas de devenir un saint, me disait un curé d’ici.

Vio miles de papiros enrollados y guardados en nichos que iban del suelo al techo, como botellas de vino en la bodega de un sumiller.
Il vit des rouleaux de papyrus empilés sur des étagères courant du sol au plafond comme des racks pour bouteilles de vin dans la cave d’un sommelier.

Llegó de noche entrada y me mandó a buscar una botella de vino a la bodega, a pesar de que casi nunca bebe más que agua.
La nuit était avancée et, à peine arrivé, il me demanda d’aller chercher une bouteille de vin dans la cave, bien qu’il ne boive pratiquement que de l’eau.

– Su excelencia, doña Eulalia de Callís, le envía un tonel del mejor vino de sus bodegas, para que haga un brindis con sus hombres por ella esta misma noche.
Son Excellence dona Eulalia de Callís vous envoie un tonneau du meilleur vin de sa cave afin que vous et vos hommes buviez à sa santé cette nuit même.

Transportaban barriles de vino para las bodegas de la ciudad, Manolo lo sabía, un vino que después se transformaría en botellas de Oporto y tomaría los caminos del mundo.
Elles transportaient des tonneaux de vin pour les caves de la ville, Manolo le savait, un vin qui se transformerait bientôt en bouteilles de porto et prendrait les routes du monde.

Pero, una vez pasado el sermón, reanudaba tranquilamente el curso de sus trastadas y sinvergonzonerías. Cuando no había maltratado a un bisoño (llamaban así a los recién llegados a la Universidad) a modo de bienvenida —preciosa tradición que se ha perpetuado cuidadosamente hasta nuestros días—, había incitado a una banda de estudiantes, los cuales, como es habitual, se habían metido en una taberna, quasi classico excitati, y habían acabado apaleando al tabernero con «palos ofensivos» y saqueando alegremente la taberna hasta destrozar las barricas de vino de la bodega.
Mais, le sermon passé, il n’en reprenait pas moins tranquillement le cours de ses séditions et de ses énormités. Tantôt c’était un béjaune (on appelait ainsi les nouveaux débarqués à l’Université) qu’il avait houspillé pour sa bienvenue; tradition précieuse qui s’est soigneusement perpétuée jusqu’à nos jours. Tantôt il avait donné le branle à une bande d’écoliers, lesquels étaient classiquement jetés sur un cabaret, quasi classico excitati[46], puis avaient battu le tavernier «avec bâtons offensifs», et joyeusement pillé la taverne jusqu’à effondrer les muids de vin dans la cave.