Translation for "vena" to french
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La bala traspasó la nuca, seccionó la vena yugular y se aplastó contra la segunda vértebra cervical del sacerdote.
La balle transperça la nuque, sectionna la veine jugulaire, avant de venir s'écraser sur la deuxième vertèbre cervicale du prêtre.
Con las manos a la espalda, se le escapó una risita seca. —Esconde bien su aprensión, príncipe Séliman. Sé que el corazón le bate muy deprisa. Los movimientos de su vena yugular me lo demuestran. Sin embargo, mantiene bastante bien la compostura ante la muerte.
Les mains derrière le dos, elle eut un petit rire sec : — Vous cachez bien votre appréhension, prince Séliman… Je sais que votre cœur bat très vite… Les mouvements de votre veine jugulaire me le prouvent… Cependant vous gardez assez bonne contenance devant la mort… Le bourreau de la Tchéka va venir… Excusez-le s’il vous fait attendre… Des pas se rapprochèrent.
Tiene que acercarse hasta tocar el pie de la cama de hierro para ver a su mejor amigo dormir boca arriba, pálido, demacrado, con una sonrisa burlona en la boca y el brazo derecho desnudo, apoyado sobre el cubrecama, en cuya vena gotea con una lentitud nefasta una especie de miel licuada.
Il faut qu’il s’approche jusqu’à venir toucher le pied du lit en fer pour découvrir son meilleur ami en train de dormir sur le dos, pâle, amaigri, un sourire moqueur aux lèvres et le bras droit dénudé, posé sur le couvre-lit, dans la veine duquel coule goutte à goutte, avec une lenteur néfaste, une espèce de miel fluide.
¿Qué pasaría si me equivocara? —Te lo haría recordar a golpes —rugió tío Vernon, abalanzándose contra Harry con el puño en alto. Pero Harry no retrocedió. —Eso no le hará olvidar a tía Marge lo que yo le haya dicho —dijo Harry en tono serio. Tío Vernon se detuvo con el puño aún levantado y el rostro desagradablemente amoratado. —Pero si firmas la autorización, te juro que recordaré el colegio al que se supone que voy, y que actuaré como un mug... como una persona normal, y todo eso. Harry vio que tío Vernon meditaba lo que le acababa de decir, aunque enseñaba los dientes, y le palpitaba la vena de la sien. —De acuerdo —atajó de manera brusca—, te vigilaré muy atentamente durante la estancia de Marge.
— Quoi ? s’exclama Harry. — Et tu as intérêt à ne pas démentir cette version, sinon tu auras de sérieux ennuis, lança l’oncle Vernon. Harry avait du mal à le croire. Le teint pâle, il resta immobile, fixant l’oncle Vernon d’un regard furieux. Une semaine avec la tante Marge, c’était le pire cadeau d’anniversaire que les Dursley lui avaient jamais fait. — Pétunia, dit l’oncle Vernon en relevant sa grande carcasse, je pars à la gare. Tu veux venir avec moi, Duddy ? — Non, répondit Dudley qui avait reporté son attention sur l’écran de la télévision.
Todo, desde el principio, desde el Hércules, no, desde antes, desde esa tarde en el Museo Antropológico o antes aun, cuando su guante me rozó el brazo en la calle, todo ha sido urdido cuidadosamente, paso a paso, con infinita paciencia, encerrándome en su confianza cuando entré a su servicio, haciéndome testigo de su amor para aprisionarme, Inés la carnaza para que picara el anzuelo, la supremacía en el mundo de los monstruos donde yo lo debía encarnar con mi carne mezquina y ser el padre de su hijo, la tentación final, el anzuelo más fino, piqué, el anzuelo me atravesó y no puedo librarme, atado a una cama que de pronto arde y de pronto hiela, inyección tras inyección que no me dejan pensar porque no lo niegue que están destinadas a eso, a arrebatarme la luz y hundirme en esta penumbra que no es ni vida ni muerte, bolsa tras bolsa de sangre que me impide morir pero tampoco me deja juntar las migas dispersas que quedan de mi conciencia, para qué, don Jerónimo, para qué, no es para transformarme en imbunche que para eso me quieren las viejitas benignas entre las que vivo porque eso sería la paz total, todo cosido en vez de todo abierto en tajos precisos por el cuchillo del doctor Azula, cosido escuchando sus pasos titubeantes afuera, no, ellas no quieren tajearme, ellas vienen a coserme porque son buenas, por la ventana las veo pasearse en la calle esperándome en la esquina de la estación de servicio, parece que es la Dora la que me está sonriendo desde la ventana de enfrente, por qué no las deja entrar a verme, todas las clínicas tienen horas de visita pero ésta no porque no es clínica sino encierro blanco, y por eso las viejitas buenas de las cuales yo soy una me esperan en el cuadrado de mi ventana para darme paz, para recogerme, envolverme en un paquete para que no tenga frío, para eso trajeron sus sacos que ya tienen listos, nada quieren de mí, tienen paciencia, esperan sin prisa porque el tiempo de las viejas es interminable, van sustituyéndose unas a otras, no, no tenemos apuro, podemos esperar a que se vacíe la bolsa de sangre en la vena del pobre Mudito. Afuera hace frío.
Tout, depuis le début, depuis l’Hercule, non, même avant, depuis l’après-midi au Musée anthropologique ou même avant, quand son gant m’avait frôlé le bras dans la rue, tout a été soigneusement machiné, pas à pas, avec une infinie patience, pour me faire prisonnier de sa confiance quand je suis entré à son service, témoin de son amour pour m’emprisonner, Inés, le morceau de bidoche pour amorcer l’hameçon, ma suprématie dans le monde des monstres où devait l’incarner ma chair médiocre, où je devais être le père de son fils, tentation ultime, hameçon le plus fin : j’ai mordu, l’hameçon m’a traversé et je ne peux pas me libérer, attaché à un lit qui, brusquement, tantôt brûle et tantôt gèle, une piqûre suit l’autre, qui m’empêche de penser car, ne le niez pas, c’est pour cela qu’on me les fait, pour m’arracher la lumière et m’enfermer dans cette pénombre qui n’est ni la vie ni la mort, un ballon de sang suit l’autre et m’empêche de mourir, mais sans me permettre pour autant de rassembler les miettes éparses de ma conscience, à quelle fin, don Jerónimo, à quelle fin, ce n’est pas pour me transformer en imbunche, ça, ce serait la paix totale, avoir tout cousu au lieu que tout soit ouvert par le bistouri tranchant et précis du Dr Azula, être cousu en écoutant leurs pas chancelants au-dehors, non, elles ne veulent pas me taillader, elles viennent me coudre car elles sont bonnes, je les vois par la fenêtre se promener dans la rue et m’attendre au coin de la station-service, on dirait que c’est Dora qui me sourit de la fenêtre d’en face, car on ne les laisse pas venir me voir, toutes les cliniques ont des heures de visite, sauf celle-ci car ce n’est pas une clinique mais une prison blanche, c’est pourquoi les braves petites vieilles, mes semblables, m’attendent dans le carré de la fenêtre pour m’apporter la paix, pour me recueillir, m’envelopper dans un paquet pour que je n’aie pas froid, c’est pour cela qu’elles ont apporté leurs sacs tout prêts, elles ne veulent rien de moi, elles sont patientes, elles attendent sans hâte car le temps des vieilles est interminable, elles se relaient, non, nous ne sommes pas pressées, nous pouvons attendre que le ballon de sang se soit vidé dans la veine du pauvre Mudito.
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