Translation for "un ojo para un ojo" to french
Translation examples
Al abrir un ojo vio otro ojo extraño, negro, casi pegado al suyo.
Ouvrant un œil, il a vu un autre œil, un œil étranger, noir, presque collé au sien.
Por un momento Callahan no le entendió, y entonces lo captó. El ojo rojo. El Ojo del Rey.
L’espace d’une seconde, Callahan ne comprit pas, puis son regard s’éclaira. L’œil rouge. L’Œil du Roi.
«El ojo, Nathan, el ojo de alguien… ¿Sabes lo que podría ser la vida de un hombre adulto sin un ojo?».
« Un œil, Nathan, l’œil de quelqu’un – te rends-tu compte de ce que ça doit être pour un homme de devoir vivre sans ses yeux ! »
Pinté una imagen del fondo del mar que me venía en sueños, una oscuridad densa con un ojo abierto, el ojo de algún pez.
L’image d’un fond marin qui me venait en rêve, une obscurité épaisse avec un œil ouvert, l’œil d’un poisson.
No podía escuchar la melodía en su memoria, sólo en el momento, y cuando miraba a un ojo, el otro ojo desaparecía, y cuando buscaba la boca, el ojo que había visto antes desaparecía también.
Dans l’impossibilité de se la remémorer, il ne la percevait que sur l’instant, de même que s’il regardait un œil, l’autre œil s’évanouissait et s’il cherchait la bouche, l’œil auparavant entrevu disparaissait à son tour.
Rebuscó en un bolsillo del pantalón y extrajo su brújula y acercó la aguja al ojo o el ojo a la aguja, como si esta contuviera el tiempo ido, o lo no sucedido;
Il fouilla dans la poche de son pantalon, en sortit sa boussole, approcha l’aiguille de son œil ou l’œil de l’aiguille, comme si elle contenait le temps écoulé ou non advenu ;
El matorral, la granja, no son la mirada: representan solamente al ojo, pues el ojo no es captado primeramente como el órgano sensible de visión, sino como el soporte de la mirada;
Or, le buisson, la ferme ne sont pas le regard : ils représentent seulement l’œil, car l’œil n’est pas saisi d’abord comme organe sensible de vision, mais comme support du regard.
Por último, entre nuestro conocimiento del ojo y el ojo mismo, se interponían todos nuestros conocimientos técnicos (el arte de construir escalpelos y bisturíes) y científicos (por ejemplo, la óptica geométrica, que permite construir y utilizar microscopios).
Enfin, entre notre connaissance de l’œil et l’œil lui-même, s’interposaient toutes nos connaissances techniques (l’art de façonner des scalpels, des bistouris) et scientifiques (p. ex. l’optique géométrique qui permet de construire et d’utiliser les microscopes).
– Quizás esa mierda de palanca que mueve el mundo, quizás el ojo -otra vez un ojo, Mathilde-, el ojo absurdo del ciclón, ahí donde haya otra cosa, donde seguramente está el conocimiento, la frágil eternidad.
— Peut-être ce levier merdique qui soulève le monde, peut-être l’œil – encore un œil, Mathilde –, l’œil merdique du cyclone, là où c’est autre chose, où il y a peut-être la connaissance, l’éternité fragile.
El poeta Al tío abuelo de Germaine, Vernon, el poeta, con canas prematuras, expresión tierna y un ojo de distinto color que el otro, algo que a Germaine le fascinaba (a Vernon le encantaba ponerse de cuclillas delante de ella y cerrar un ojo y después el otro, el ojo azul, el ojo marrón, el ojo azul, mientras la niña daba un grito ahogado de asombro y agitaba los puños, y a veces hasta cerraba los ojos entusiasmada por el juego, riéndose a carcajadas cada vez más intensas según el juego se aceleraba, y el ojo marrón, el ojo azul, el ojo marrón, el ojo azul se abrían y cerraban cada vez más rápido, hasta que a Vernon le caían lágrimas por las mejillas que se le perdían en la barba), lo consideraban, abiertamente, con esa «franqueza» de los Bellefleur que hacía tanto daño, una decepción para la familia y en especial para su padre: no sólo porque era a todas luces incapaz de sumar una columna de números (cosa que Bromwell ya dominaba a los dos años) o de aportar comentarios inteligentes a las discusiones familiares sobre el eterno asunto de las tasas de interés, deudas, préstamos, hipotecas, granjeros arrendatarios, inversiones, y los precios de mercado de varios productos de los Bellefleur; tampoco por ser un solterón despistado, de hombros caídos, siempre con una disculpa en la boca, con un rostro que parecía un pedazo de queso añejo (como decía cariñosamente su sobrina Yolande), que casi nunca se cambiaba de ropa, ya sin forma, que lamentablemente olía a cebolla y a sudor rancio, a soledad, a desconcierto, a fruta podrida (se metía corazones de manzanas y peras en los bolsillos, cáscaras de naranjas, de plátanos, hasta tomates a medio comer, porque solía comer durante sus caminatas, componiendo versos en la mente y anotándolos en papeles sueltos que también se metía en los bolsillos, casi nunca consciente de lo que hacía), ni tampoco por su…, ¿cómo decirlo?…, por su sencilla rareza: era poco probable que se casara con una muchacha de alguna familia importante o acaudalada, es más, era poco probable que se casara nunca;
Le poète Vernon, le grand-oncle de Germaine, le poète, grisonnant prématurément, le visage doux, avec ses yeux vairons qui la ravissaient tant (Vernon aimait s’accroupir devant elle, fermant un œil, puis l’autre, l’œil bleu, l’œil marron, l’œil bleu, tandis que l’enfant le regardait, la bouche ouverte, marmonnant et agitant ses poings, parfois fermant ses deux yeux dans l’excitation du jeu, hurlant d’un rire de plus en plus fou à mesure que le rythme s’accélérait et que l’œil marron, l’œil bleu, l’œil marron, l’œil bleu s’ouvraient et se fermaient de plus en plus vite, jusqu’à ce que les larmes ruissellent sur les joues de Vernon et se perdent dans sa barbe), était, disait-on ouvertement, avec la « franchise » des Bellefleur qui causait tant de chagrin, une déception pour sa famille et pour son père en particulier : non pas simplement parce qu’il était évidemment incapable d’additionner une colonne de chiffres (ce que Bromwell avait su faire parfaitement dès l’âge de deux ans), ou de suivre intelligemment les discussions familiales sur l’éternel sujet des taux d’intérêt, des dettes, des emprunts, des hypothèques, des métayers, des investissements, et des prix sur le marché des divers produits fabriqués par les Bellefleur, ou même parce que étant un célibataire aux épaules tombantes, distrait et toujours prêt à s’excuser dont le visage ressemblait (comme le disait affectueusement sa nièce Yolande) à un morceau de vieux fromage, et dont les vêtements informes, qu’il changeait si rarement, dégageaient une odeur regrettable d’oignons, de sueur rance, de solitude, d’ivresse, de fruits pourris (il fourrait dans ses poches des trognons de pommes et de poires, des pelures d’oranges, des peaux de bananes, et même des tomates à moitié mangées, car il était habitué grignoter pendant ses promenades, composant de la poésie dans sa tête et la gribouillant ensuite sur des bouts de papier qu’il fourrait également dans ses poches, souvent sans se rendre compte de ce qu’il faisait), et – mais comment l’exprimer ? – de simple bizarrerie, il ne se marierait probablement pas dans une famille réputée ou prospère, et ne se marierait probablement pas du tout ;
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test