Translation for "toda ternura" to french
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Había desaparecido toda ternura en ellos. —¿Qué te propones? —preguntó él—. ¿Qué vas a hacer con la información que has obtenido?
Toute tendresse avait disparu de ses yeux. — Quels sont tes projets ? demanda-t-il. Que comptes-tu faire des informations sur lesquelles tu as mis la main ?
Cuando se encontró frente a ella, era él quien se parecía a su hija. Había perdido toda ternura para esa desconocida que tenía su mismo rostro.
Quand il se retrouva en face d’elle, c’était lui qui s’était mis à ressembler à sa fille : il avait perdu toute tendresse pour cette inconnue qui avait son visage.
Podemos sentir antipatía hacia Pablo por su aspecto físico, su brutalidad, su misoginia, su ignorancia de toda poesía, de toda ternura.
On peut être rebuté par Paul, son aspect physique, sa brutalité, sa misogynie, son ignorance de toute poésie, de toute tendresse.
Podía temerse de él que ahogara toda ternura en sus hijos, que les inculcara un arrivismo primario disimulado bajo un bolchevismo que tendría idéntico significado: «Si te dan, traga;
On pouvait craindre qu’il n’étouffât toute tendresse dans ses enfants, qu’il ne leur inculquât un arrivisme primaire dissimulé sous un bolchevisme qui le serait tout autant : « On donne, avale ;
Hablaba sin pudor alguno y sin compasión, y ella pensaba que había nacido como el resto de su familia: carente de toda ternura.
Il parlait sans honte ni regret et elle supposait que, tout comme le reste de sa famille, il manquait de tendresse.
Abruptamente privado de toda ternura quedó un pobre perro aullador, cuyos gemidos traté de deletrear;
Abruptement sevré de tendresse, il ne restait qu’un pauvre chien qui jappait et dont j’essaie ici d’épeler les gémissements ;
Milly le sorprendió comportándose de una forma realmente heroica; y fue toda ternura, preocupación y valerosa decisión de seguir adelante ocurriera lo que ocurriese. Milly incluso se echó a llorar, y le dijo que hasta entonces nunca había sido consciente de lo mucho que le quería y le necesitaba.
Milly se montra héroïque, déploya des trésors de tendresse, de sollicitude et de ferme résolution. Elle ne s’était pas aperçue jusqu’alors, dit-elle, à quel point elle aimait Birdie et avait besoin de lui.
De pronto tornan a mi mente, obsesionantes, los horrores alemanes, los millones de inmolados por la nación malvada, los de mi familia en Auschwitz, y sus terrores, mi tío y su hijo detenidos en Niza, gaseados en Auschwitz, jamás podré hablar con nadie de la nación rabiosa, jamás podré regresar al país de la nación rabiosa y oír su lengua, la misma que en Auschwitz, los ojos petrificados de mi tía enloquecida de dolor, los esperó en la ventana, de la mañana a la noche en la ventana, hasta su muerte en la ventana, están vivos, volverán, repetía la loca en la ventana del cuarto, el cuarto que había alquilado frente a la estación de Niza, para verlos llegar, para verlos llegar antes, la loca en su ventana, el terror de los míos de hermosos ojos, el terror de mi madre en Marsella, mi madre toda ternura y candor, su terror a los alemanes, aguardando cada día los golpes en la puerta, golpes de la Gestapo, golpes alemanes, golpes perversos, golpes que aguardaba hora tras hora, sus ojos a la espera, su temblor, su sudor de pánico, y habrá que abrir si golpean la puerta, y entrarán con sus chaquetas de cuero, y se lo llevarán, y no volverá a verme, y yo siento vértigo, tan viva mi madre muerta, siento vértigo, ¿y para qué escribir, y cómo seguir relatando la historia de los Esforzados, cómo sonreír?
Soudain me hantent les horreurs allemandes, les millions d’immolés par la nation méchante, ceux de ma famille à Auschwitz, et leurs peurs, mon oncle et son fils arrêtés à Nice, gazés à Auschwitz, jamais je ne pourrai parler à un de la nation enragée, jamais je ne pourrai retourner au pays de la nation enragée et entendre leur langue, la même qu’à Auschwitz, les yeux fixes de ma tante folle de malheur, elle les a attendus à la fenêtre, du matin au soir à la fenêtre, jusqu’à sa mort à la fenêtre, ils sont vivants, ils reviendront, répétait la folle à la fenêtre de la chambre meublée, la chambre qu’elle avait louée en face de la gare de Nice pour les voir arriver, pour les voir plus vite arriver, la folle à sa fenêtre, les peurs des miens aux beaux yeux, la peur de ma mère au temps de sa vie à Marseille, ma mère qui était tendresse et candeur, sa peur des Allemands, son attente chaque jour des coups frappés à la porte, coups de la Gestapo, coups allemands, coups méchants, coups attendus heure après heure, ses yeux en attente, son tremblement, sa sueur de peur, et il faudra ouvrir s’ils frappent, et ils entreront avec leurs vestes de cuir, et ils l’emmèneront, et elle ne me reverra plus, et moi j’ai le vertige, si vivante ma mère morte, j’ai le vertige, et à quoi bon écrire, et comment continuer à raconter les Valeureux, comment sourire ?
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