Translation for "soportaron" to french
Translation examples
los otros haciendo burla de cuanto esos hombres soportaron.
Les autres se moquant de tout ce qu’ils avaient enduré.
Julie decía que no quería que tuvieses que soportar lo que ellos soportaron.
Julie disait qu’elle ne voulait jamais que vous enduriez ce qu’ils avaient enduré.
Soportaron una serie de pistas de sintetizador metidas sobre ritmos cuando menos precarios.
Ils avaient enduré une série de nappes de synthé calées sur des beats pour le moins précaires.
No había amor por la Casa de Fëanor en el corazón de los que seguían a Fingolfin, pues grande había sido la agonía de los que soportaron el cruce del Hielo, y Fingolfin consideraba a los hijos cómplices del padre. Era posible entonces que las huestes se enfrentaran;
Ceux qui le suivaient ne portaient pas dans leur cœur la maison de Fëanor, car ils avaient dû endurer d’atroces souffrances en traversant les glaces, et Fingolfin tenait les fils pour complices de leur père.
También creo que los padres, si te quieren, te sostendrán para mantenerte a salvo, por encima de las aguas arremolinadas, y algunas veces eso significa que nunca sabrás lo que ellos soportaron, y tal vez los trates mal, de un modo en que no los hubieras tratado de haberlo sabido.
Je crois aussi que les parents, s’ils vous aiment, vous mettront toujours à l’abri, loin de leurs propres tumultes, ce qui parfois voudra dire que vous ne saurez jamais ce qu’ils ont enduré ; il est même possible que vous les traitiez méchamment, alors que si vous aviez su vous les auriez traités autrement.
Quiero darle las gracias a la multitud de editores que me encargaron, aceptaron y reimprimieron los diversos cuentos de este libro, y a todos los que hicieron las lecturas preliminares (ya sabéis quiénes sois) que soportaron el que les entregara los cuentos, se los enviara por fax o por e-mail, que leyeron todo lo que les enviaba y que me dijeron, a menudo muy claramente, lo que había que arreglar. A todos ellos, gracias.
Je tiens à remercier la multitude d’anthologistes qui ont commissionné, accepté et réédité les différentes nouvelles de ce recueil, et à tous les lecteurs de première génération (vous savez qui vous êtes) qui ont enduré de se voir donner, faxer ou adresser des nouvelles par courrier électronique, qui ont prêté plus qu’une attention à ce que je leur avais envoyé et qui m’ont signalé, parfois sans ambiguïté, ce qui avait besoin d’être rectifié.
Las penurias que soportaron años antes Pedro de Valdivia y Jerónimo de Alderete en las junglas venezolanas fueron cosas de niño comparadas con las que pasaron esos hombres en los Chunchos, bajo torrenciales lluvias calientes y nubes de mosquitos, empantanados, enfermos, hambreados y perseguidos por salvajes que incluso se devoraban entre ellos cuando no lograban cazar a un castellano.
Les pénuries qu’avaient endurées Pedro de Valdivia et Jerónimo de Alderete quelques années plus tôt dans la jungle vénézuélienne étaient des enfantillages comparées à celles que connurent ces hommes dans les Chunchos, sous des pluies chaudes torrentielles et des nuages de moustiques, embourbés, malades, affamés et poursuivis par des sauvages qui se dévoraient même entre eux lorsqu’ils ne parvenaient pas à tuer un Castillan.
Un poema en inglés antiguo, que Tolkien conocía sin duda (le proporcionó la palabra éored), parece situar la Caída del Hombre no en Adán y Eva y el Jardín del Edén, sino en Caín y Abel y la invención de la metalurgia: «Surgió un estado de violencia para la raza de los hombres, desde el momento en que la tierra engulló la sangre de Abel… Así, los habitantes de la Tierra soportaron el choque de las armas por todo el mundo, inventando y templando hirientes espadas». Y podría recordarse que Fëanor no es el único hacedor peligroso de la obra de Tolkien.
Un poème vieil anglais, que Tolkien connaissait sans aucun doute (il y a emprunté le mot « éored »), semble situer la Chute de l’Homme non pas avec Adam et Ève et le Jardin d’Éden, mais avec Caïn et Abel et l’invention de la métallurgie : « Un état de violence fut créé pour la race des hommes, à partir du moment où la terre avala le sang d’Abel… les habitants de la Terre ont enduré l’affrontement des armes partout dans le monde, inventant et forgeant des épées meurtrières. » Et il faut se souvenir que Fëanor n’est pas le seul artisan dangereux dans les œuvres de Tolkien.
Al regreso de Elizabeth y Darcy de su viaje de novios, que los había llevado hasta Italia, se sucedieron las acostumbradas visitas formales que había que recibir, las habituales felicitaciones y las charlas intrascendentes, que soportaron con la mayor elegancia de que pudieron hacer acopio. Darcy, consciente desde la infancia de que Pemberley siempre proporcionaría más beneficios de los que podía recibir, resistía aquellos encuentros con loable ecuanimidad, y Elizabeth hallaba en ellos una fuente secreta de distracción, pues sus vecinos ansiaban saciar su curiosidad al tiempo que mantenían su reputación de personas bien educadas. Las visitas, por su parte, experimentaban un placer doble: disfrutar de media hora de reloj inmersas en la elegancia del acogedor saloncito de la señora Darcy antes de, posteriormente, intentar alcanzar con los vecinos un veredicto sobre el vestido, la amabilidad y la capacidad de la recién casada, y sobre las expectativas de felicidad conyugal de la pareja. En menos de un mes ya se había alcanzado un consenso: los caballeros se mostraban impresionados por la belleza y el ingenio de Elizabeth, y sus esposas, por su elegancia y gentileza, así como por la excelencia de sus refrigerios.
Lorsque Elizabeth et Darcy étaient rentrés de leur voyage de noces en Italie, il leur avait fallu se plier aux visites de rigueur et endurer les félicitations et menus propos d’usage avec toute la grâce qu’ils pouvaient déployer. Ayant appris dès son enfance que Pemberley accorderait toujours davantage de bienfaits qu’il n’en pourrait recevoir, Darcy supportait ces réunions avec une sérénité tout à son honneur. Quant à Elizabeth, elle y trouvait une source secrète de divertissement, prenant plaisir à voir ses voisins employer tous les artifices propres à satisfaire leur curiosité sans porter préjudice à leur réputation de bonne éducation. Les visiteurs, pour leur part, pouvaient savourer un double plaisir : profiter de l’élégance et du confort du grand salon de Mrs Darcy pendant la demi-heure prescrite, avant de se livrer à une discussion animée avec leurs voisins sur la robe, le charme et les vertus de la jeune épouse et les chances de félicité domestique du couple. Il leur avait fallu moins d’un mois pour parvenir à un consensus : les messieurs étaient impressionnés par la beauté et l’esprit d’Elizabeth, leurs épouses par son élégance, son amabilité et la qualité des collations qu’elle faisait servir.
Julie decía que no quería que tuvieses que soportar lo que ellos soportaron.
Julie disait qu’elle ne voulait jamais que vous enduriez ce qu’ils avaient enduré.
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