Translation for "sementeras" to french
Translation examples
No podíamos defender las sementeras, las casas ni las ropas, las ratas se comían todo menos el metal.
Nous ne pouvions protéger les semis, les maisons ou les vêtements, les rats mangeaient tout, sauf le métal.
En la piel blanquísima, las manchas rojizas forman sementeras, regueros, ríos, e, incluso, en los brazos y la nuca hay placas recortadas como cartas geográficas.
Sur la peau très blanche, les taches de rousseur forment des semis, des traînées, des coulées, et même au niveau des bras et de la nuque des plaques déchiquetées comme des cartes géographiques.
Los gobiernos posteriores de la cuenca del Plata reducirán a sangre y fuego al gaucho, incorporándolo por la fuerza a las peonadas de las grandes estancias, pero Artigas había querido hacerlo propietario: «Los gauchos alzados comenzaban a gustar del trabajo honrado, levantaban ranchos y corrales, plantaban sus primeras sementeras».
Les gouvernements qui par la suite administrèrent le bassin de la Plata réduisirent le gaucho par la violence et l’incorporèrent de force dans la masse des péons des grandes estancias. Mais Artigas avait voulu faire de lui un propriétaire : « Les gauchos rebelles commençaient à goûter le travail honnête, ils construisaient des ranchos et des enclos, ils organisaient leurs premiers semis(203). »
¡Extraña sementera a imagen del gran solitario del Pacífico!
Étranges semailles, à l’image du grand solitaire du Pacifique !
Los unos se refieren inmediata, directamente á la eosecha del año, no se refieren sino ,á ella, y deben pagarse por ella: tales son la sementera, la carda, la siega, la trilla, etc.
Les uns se rapportent immédiatement, directement, à la récolte de l’année, ne se rapportent qu’à elle, et doivent être payés par elle : tels sont la semaille, le sarclage, la moisson, le dépiquage.
Después de tumbar los árboles y sacar las trozas, quemaban el rastrojo que quedaba, y debajo labraban las primeras sementeras, de plátano, de maíz, de frisol, de arracacha y de papa.
Après avoir abattu les arbres et débardé les grumes, ils brûlaient le chaume qui restait, puis labouraient pour les premières semailles, de banane, de maïs, de haricots, de céleri et de pomme de terre.
Pero las dos grandes festividades de Ceres se celebraban fuera de los límites del control oficial: el feriae sementinae, los «festivales de la sementera», que daban comienzo con la quema de rastrojos en hogueras enormes en el mes que debía su nombre ajano, y el festival de la cosecha, Ceriailia, que tenía lugar en el mes llamado así por Augusto, cuyo nombre de pila, Octavio, significaba «octavo».
Mais ici, l’organisation des deux grandes fêtes de Cérès échappait au contrôle des édiles : les Feriae Sementivae, les fêtes des semailles, qui commençaient en brûlant le vieux chaume dans les champs avec d’énormes feux durant le mois dédié à janus ; et les Cerialia, la fête des moissons ou des récoltes, qui survenait durant le mois nommé d’après l’empereur Auguste, dont le nom de naissance, Octavius, signifiait « huitième ».
El tiempo fue pasando, un lento mes siguiendo a otro, y el de Elul, ardiente como un horno, con el viento de los desiertos del sur barriendo y quemando los aires, época en que las támaras y los higos se convierten en un goteo de miel, el de Tishri, cuando las primeras lluvias de otoño ablandan la tierra y llaman a los arados a la labra de las sementeras, y fue al mes siguiente, el de Mathesvan, tiempo de varear la aceituna, cuando ya más fríos los días, decidió José carpintear un rústico camastro, porque para cama digna de ese nombre ya sabemos que no llega su ciencia, en la que María, después de esperar tanto, pueda descansar el pesado e incómodo vientre.
Le temps passa, un lent mois succédant à l’autre, celui d’Elul, ardent comme une fournaise, le vent des déserts du sud balayant et embrasant l’air, époque où les dattes et les figues se transforment en gouttes de miel, celui de Tishri, quand les premières pluies de l’automne ameublissent la terre et appellent les araires aux labours en vue des semailles, et ce fut le mois suivant, celui de Marshevan, temps de la récolte de l’olive, qu’enfin, les jours s’étant déjà refroidis, Joseph se décida à façonner un grabat rustique, car nous savons que pour fabriquer un lit digne de ce nom sa science ne suffisait pas, sur lequel Marie, après avoir tant attendu, put reposer son ventre lourd et incommode.
Ya se sabe el destino de las mieses, está todo en el suelo, y se acerca el tiempo de sementera, qué hará Gilberto, vamos a preguntárselo a su casa, vivimos en un país libre y todos tenemos que presentar cuentas, Dígale a su amo que hay aquí unas personas que quieren saber lo que va a hacer, ya han caído las primeras aguas, es tiempo de sembrar, y habiendo ido la criada a saber la respuesta nos quedamos en la puerta, que no nos han mandado entrar, y vuelve la criada con malos modos, ojalá no sea ésta la Amelia Maltiempo de que en este relato ya se ha hablado, y dice, El señor me manda decir que eso no les importa, la tierra es suya, y que si vuelven a aparecer manda llamar a la guardia, y apenas acaba de decirlo nos da con la puerta en las narices, ni a un vagabundo se le trataría así, porque de vagabundos con navaja escondida tienen éstos un miedo que se pelan.
On connaît déjà le destin des champs de blé, tout est par terre, et comme le temps des semailles n’est pas loin, que fera Gilberto, allons chez lui et posons-lui la question, nous vivons dans un pays libre et nous devons tous rendre des comptes, Dites à votre patron que plusieurs personnes sont venues savoir ce qu’il compte faire, les premières pluies sont tombées, il est temps de semer, et la servante étant partie s’informer de la réponse nous restons à la porte, car on ne nous fait pas entrer et sur ces entrefaites la servante revient de mauvaise humeur, plaise au ciel que ce ne soit pas l’Amélia Mau-Tempo dont il a été déjà fait mention dans ce récit, elle dit, Le patron vous fait dire qu’il n’a rien à voir avec tout ça, la terre lui appartient, et que si vous revenez ici, il fera appeler la garde, elle a à peine fini de débiter son message qu’elle nous claque la porte au nez, on n’agirait pas ainsi même avec un vagabond car ces gens-là ont une peur bleue des vagabonds et de leur couteau dissimulé.
La guadaña había oído decir que esto podría suceder, transformarse la muerte en un ser humano, preferiblemente mujer por esa cosa de los géneros, pero pensaba que se trataba de una historieta, de un mito, de una leyenda como tantas y tantas otras, por ejemplo, el fénix renacido de sus propias cenizas, el hombre de la luna cargando con un haz de leña sobre la espalda por haber trabajado en día santo, el barón de münch-hausen que, tirando de sus propios cabellos, se salvó de morir ahogado en unas aguas pantanosas y también al caballo que montaba, el drácula de transilvania que no muere por más que lo maten, a no ser que le claven una estaca en el corazón, e incluso así no faltan quienes lo duden, la famosa piedra, en la antigua irlanda, que gritaba cuando el rey verdadero la tocaba, la fuente del epiro que apagaba las antorchas encendidas e inflamaba las apagadas, las mujeres que dejaban caer la sangre de la menstruación por los campos cultivados para aumentar la fertilidad de la sementera, las hormigas de tamaño de perros, los perros de tamaño de hormigas, la resurrección al tercer día porque no pudo ser en el segundo.
La faux avait entendu dire que la mort pouvait se transformer en être humain, de préférence en femme, à cause de cette question de genre, mais elle pensait qu’il s’agissait d’une blague, d’un mythe, d’une légende comme il y en a tant, par exemple, le phénix renaissant de ses propres cendres, l’homme sur la lune portant un fagot de bois sur le dos pour avoir travaillé un jour saint, le baron de münchhausen qui se sauva d’une mort par noyade dans un marécage ainsi que le cheval qu’il montait en se tirant lui-même par les cheveux, le dracula de la transylvanie qui ne meurt pas quand on le tue, sauf si on lui plante un épieu dans le cœur et encore il y a des gens pour en douter, la fameuse pierre dans l’ancienne irlande qui criait quand le vrai roi la touchait, la fontaine d’épire qui éteignait les torches enflammées et allumait les torches éteintes, les femmes qui laissaient couler le sang de leurs menstrues dans les champs cultivés pour augmenter la fertilité des semailles, les fourmis grandes comme des chiens, les chiens petits comme des fourmis, la résurrection le troisième jour parce qu’elle n’avait pu avoir lieu le deuxième.
Julio prosperó, dando empleo en la sementera, el cuidado de la tierra y la comercialización a dos mozos y a su propio yerno.
Julius y prospéra et embaucha ses deux fils et son propre beau-fils pour en semer, cultiver et vendre les produits au marché.
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