Translation for "se sostiene que" to french
Translation examples
Solo la sostiene la creencia;
Elle n’est soutenue que par cette croyance ;
La imaginación activa lo sostiene.
Il est soutenu par une imagination active.
(Esa caracterización la sostiene la autoridad de la Biblia;
(Cette réputation est soutenue par la Bible elle-même ;
Quiero decir que la correa que llevas al pecho la sostiene, pero… —¿La han cosido?
Elle est soutenue par cette lanière sur ta poitrine, mais… — Ils me l’ont cousue ?
Es el armazón de algunas palabras abstractas lo que sostiene la trama meditativa de la novela.
La trame méditative du roman est soutenue par l’armature de quelques mots abstraits.
Cada día de trabajo lo sostiene a uno la expectativa del final, su cercanía prometedora.
Tous les jours, vous êtes soutenu dans le travail par la perspective de la fin, par son approche prometteuse.
Luego la liberan de su arnés y la dejan flotar sola, y su acompañante le sostiene la cabeza.
Puis on la libère de son harnais et on la laisse flotter, la tête soutenue par son amie.
—¡Bendito seas, Señor, Dios nuestro, Rey del Universo, que nos mantienes vivos, nos sostienes y nos has traído este día!
« Soit béni, ô Éternel, notre Dieu, roi de l’univers, qui nous a gardés en vie, soutenus et accompagnés jusqu’à ce jour ! » »
Se encuentra en el interior de un almacén rectangular, de unos cien metros en el lado más largo, con un tejado que se sostiene sobre pilares de cemento.
Il se trouve à l'intérieur d'un hangar rectangulaire : une centaine de mètres sur les côtés les plus longs, un toit soutenu par des pylônes de ciment.
No nos damos cuenta de lo impotentes y lo ignorantes que somos, y de que una mano invisible nos sostiene, hasta que por un momento parece que esa mano se cierra para aplastarnos.
Personne ne peut réaliser l’étendue de son impuissance et de son ignorance, ni sentir comment il est soutenu par une main invisible tant que cette main ne se referme pas un instant pour le broyer.
Tal vez habría considerado que por fin había logrado alcanzar la sencillez de las fotos que tanto la conmovían cuando era niña, los retratos de familia, las polaroid, las fotos de carné guardadas en sobres amarillentos o colocadas en las lápidas que, en su inocencia implacable, dicen todas lo mismo, estos hombres han vivido, pero ahora ha pasado la muerte, en realidad, la muerte ha pasado ya en el momento mismo en que una mano anónima aprieta el disparador, en el edificio de la Lubianka, en las prisiones de Phnom Penh o, más lejos aún, en un piso de Santiago de Chile, cuando el sol ilumina a contraluz el rostro de una estudiante sonriente que sostiene entre sus manos la funda de piel de una cámara de fotos y que no tuvo más sepultura que ese retrato y, entonces, tal vez, Antonia habría podido pensar que todas esas instantáneas de cuya autoría tanto se avergonzaba, los jugadores de petanca, las comisiones de fiestas, los certámenes de misses o los jóvenes posando con pasamontañas en la clandestinidad, con el fusil en la mano, bajo las banderas con la cabeza de moro, en el fondo también decían lo mismo, con la misma inocencia y, naturalmente, con la misma falta de piedad.
Peut-être aurait-elle jugé qu’elle était enfin parvenue à atteindre la simplicité des photos qui la touchaient tant lorsqu’elle était enfant, les portraits de famille, les polaroïds, les photos d’identité rangées dans des enveloppes jaunies ou plaquées sur la pierre des tombeaux qui, toutes, dans leur innocence impitoyable, disent la même chose, des hommes ont vécu, mais désormais, la mort est passée, en vérité, la mort est déjà passée au moment même où une main anonyme actionne le déclencheur, dans l’immeuble de la Loubianka, les prisons de Phnom Penh ou, plus loin encore, dans un appartement de Santiago du Chili, alors que le soleil éclaire à contre-jour le visage d’une étudiante souriante tenant entre ses mains l’étui en cuir d’un appareil photo et qui n’eut d’autre sépulture que ce portrait et alors, peut-être, Antonia aurait pu songer que tous ces clichés dont elle avait si honte d’être l’auteur, les joueurs de pétanque, les comités des fêtes, les élections de miss ou les jeunes gens posant en cagoule dans le maquis, le fusil à la main, sous des drapeaux à tête de Maure disaient au fond eux aussi la même chose, avec la même innocence et, bien sûr, la même absence de pitié.
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