Translation for "saberlo" to french
Translation examples
—Por si le interesa saberlo, va a volver a Nueva Zelanda.
— Pour votre information, sachez qu’elle retourne en Nouvelle-Zélande.
Por si te interesa saberlo, no fui yo quien le transmitió el virus a Henrik.
Mais puisque vous tenez à le savoir, sachez que ce n’est pas moi qui ai contaminé Henrik !
DAYA.—Eso, en vez de contener, incita. Mira, vais a saberlo: Reha no es judía; es… es cristiana.
DAYA. Cela excite au lieu d'arrêter. — Hé bien , sachez donc que Recha n'est pas une juive ; elle est... elle est chrétienne.
Nos conocimos, debe usted saberlo, en una de las maravillosas conferencias del señor Ruskin sobre la dignidad de la artesanía y del trabajo individual.
Nous nous sommes rencontrées, sachez-le, à l’une des merveilleuses conférences de M. Ruskin sur la dignité du travail manuel et du labeur individuel.
Ni siquiera Viviana llegaría a saberlo. Y aunque lo comprendiera no cambiaría de idea, no exigiría menos de ella. Demasiadas veces le había oído decir: «Si tratas de evitar tu destino o retrasar el sufrimiento, sólo te condenas a sufrirlo doblemente en otra vida.» Por eso no dijo nada;
Mais à quoi bon parler de tout cela ? Viviane ne lui avait-elle pas dit souvent autrefois : " Si vous cherchez à échapper à votre destin, Ygerne, ou à fuir la souffrance, sachez bien que vous vous condamnez à souffrir beaucoup plus encore dans une autre vie.
—No sé quién es usted, pero dejemos las cosas claras. Yo no soborno a la policía, crea usted lo que crea. —Me alegro de saberlo —contestó Lynley—, porque no he venido en busca de un soborno. Pero supongo que se dará cuenta de que eso no aclara en absoluto su conexión con el señor Doughty, aunque sí apunta a que admite que está haciendo algo esencialmente ilegal.
— Je ne sais pas qui vous êtes, déclara Smythe, mais sachez que je ne verse aucun pot-de-vin aux flics, quoi que vous pensiez. — C’est bon à savoir. Mais je ne suis pas ici pour me faire graisser la patte et votre réponse ne m’éclaire pas sur vos rapports avec Mr Doughty, même si cela me conforte dans l’idée que vous êtes engagé dans quelque chose d’illégal.
Con las heridas a la vista, puso cara de no creer la explicación que don José le había dado, aquélla de la caída, su experiencia de desolladuras y contusiones hizo que comentara con inconsciente perspicacia, Pero hombre, parece que usted anduvo restregando las rodillas contra una pared, Ya le he dicho que me caí, Dio conocimiento de eso al jefe, No es asunto de trabajo, una persona puede tropezar sin tener que comunicárselo a los superiores, Excepto si el enfermero llamado para poner una inyección tiene que hacer una cura suplementaria, Que yo no le pedí, Si señor, de hecho no me la pidió, pero si mañana tuviera una infección grave causada por estas heridas, quien carga con la culpa, por comportamiento negligente y falta de profesionalidad, soy yo, además, al jefe le gusta saberlo todo, es la manera que tiene de aparentar que no le da importancia a nada, Se lo diré mañana, Le aconsejo vivamente que lo haga, así el informe quedará corroborado, Qué informe, El mío, No veo qué importancia pueden tener unas simples heridas para mencionarlas en un informe, Incluso la herida más simple tiene importancia, Las mías, después de curadas, van a dejar unas cicatrices insignificantes, que con el tiempo desaparecerán, Sí, en el cuerpo las heridas cicatrizan, pero en el informe permanecen siempre abiertas, no se cierran ni desaparecen, No lo entiendo, Cuánto tiempo hace que usted trabaja en la Conservaduría General, Pronto hará veintiséis años, Cuántos jefes ha conocido hasta ahora, Contando con éste, tres, Por lo visto, nunca notó nada, Notar, qué, Por lo visto, nunca se percató de nada, No comprendo adónde quiere llegar, Es o no es verdad que los conservadores tienen poco trabajo, Es verdad, todo el mundo habla de eso, Pues sepa que la ocupación principal que tienen, en las muchas horas libres de que gozan, mientras el personal está trabajando, es colegir informaciones sobre los subordinados, toda especie de informaciones, lo hacen desde que la Conservaduría General existe, uno tras otro, desde siempre.
En apercevant les plaies, il eut l’air de ne pas croire à l’explication de monsieur José qui prétendait être tombé, son expérience en matière d’écorchures et de contusions le poussa même à s’exclamer avec une perspicacité inconsciente, Monsieur, on dirait plutôt que vous avez frotté un mur avec vos genoux, Je vous ai dit déjà que je suis tombé, L’avez-vous signalé à votre chef, Cela n’a rien à voir avec le travail, on peut faire une chute sans avoir à le signaler à ses supérieurs, Sauf si l’infirmier appelé pour administrer une injection doit appliquer un pansement supplémentaire, Que je n’ai pas demandé, En effet, monsieur, vous ne l’avez pas demandé, mais si demain une infection grave causée par ces blessures se déclare, à qui en fera-t-on le reproche, pour négligence et manque de conscience professionnelle, à moi, bien sûr, de plus le chef aime être au courant de tout, c’est sa façon de faire semblant de ne donner d’importance à rien, Je lui en parlerai demain, Je vous le conseille vivement, ainsi le rapport sera confirmé, Quel rapport, Le mien, Je ne vois pas quelle importance peuvent avoir de simples écorchures ni pourquoi il faudrait en faire mention dans un rapport, Même l’écorchure la plus bénigne a son importance, Une fois guéries, les miennes laisseront des cicatrices insignifiantes qui disparaîtront avec le temps, Oui, les plaies se cicatrisent sur les corps, mais dans les rapports elles restent toujours béantes, elles ne se ferment pas et ne disparaissent jamais, Je ne comprends pas, Depuis combien de temps travaillez-vous au Conservatoire général, Cela va faire vingt-six ans, Combien de chefs avez-vous eus jusqu’à présent, Avec celui-ci, ça fait trois, Apparemment, vous n’avez jamais rien remarqué, Remarqué quoi, Apparemment, vous ne vous êtes jamais aperçu de rien, Je ne comprends pas où vous voulez en venir, Est-il vrai ou pas que les conservateurs ont peu de travail, C’est vrai, tout le monde le dit, Eh bien, sachez que leur occupation principale, pendant les nombreuses heures de loisir dont ils bénéficient pendant que le personnel trime, consiste à recueillir des renseignements sur leurs subordonnés, toutes espèces de renseignements, ils le font depuis que le Conservatoire général existe, les uns après les autres, depuis toujours.
—Bueno es saberlo, bueno es saberlo.
— Content de le savoir, content de le savoir.
—Me gustaría saberlo. —O no saberlo, pensó;
— J’aimerais bien le savoir. » Ou ne pas le savoir, pensa-t-il.
Y no tenía por qué saberlo.
Mais il n’avait pas à le savoir.
—Ni tenías por qué saberlo.
— Tu n’avais pas à le savoir.
—¿Quieres saberlo?… ¡Di!… ¿Quieres saberlo?
— Tu veux le savoir ?… Dis ?… Tu veux le savoir ?…
—No me hace falta saberlo, no quiero saberlo.
« J’ai pas besoin de le savoir, et de toute façon, je veux pas le savoir.
—Necesito saberlo —digo. —No, no lo necesita. Quiere saberlo.
— Je dois savoir. — Non, vous voulez savoir.
—Tiene que saberlo.
– Elle doit savoir.
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