Translation for "pujante" to french
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Ésta no es una civilización decadente, encanecida por la edad, sino una cultura joven y vigorosa, confiada y pujante.
Ce n’est pas une civilisation décadente, blanchie par l’âge, mais une culture jeune et vigoureuse, pleine d’assurance et de foi dans l’avenir.
Fue gobernador de Chile por un tiempo y será recordado entre los más pujantes y arrojados militares, pero nadie lo apreciaba, porque era tacaño.
Pendant un temps il avait été gouverneur du Chili et on se souviendra de lui comme un militaire des plus vigoureux et des plus téméraires, mais personne ne l’appréciait, parce qu’il était pingre.
Las exportaciones industriales, los fletes, los seguros, los intereses de los préstamos y las utilidades de las inversiones alimentarían, a lo largo de todo el siglo XX, la pujante prosperidad de Inglaterra.
Les exportations industrielles, les frets, les assurances, les intérêts des prêts et les bénéfices des investissements allaient alimenter, pendant tout le XIXe siècle, la prospérité vigoureuse de l’Angleterre.
Para representar a la pujante nación americana, formada de valerosos inmigrantes venidos de los cuatro puntos cardinales, deseaba alguien de razas mezcladas, anunció.
Pour représenter la vigoureuse nation américaine, faite de courageux immigrants venus des quatre coins du monde, il désirait une personne aux races mélangées, annonça-t-il.
La animación de México le parecía la de un mundo pujante, sostenido sobre un profundo mestizaje cultural que, sin embargo, no sería capaz, en siglos, de derribar las barreras que separaban a las razas convivientes.
Il voyait dans l’animation de Mexico celle d’un monde vigoureux, bâti sur un profond métissage culturel qui serait cependant incapable, pour des siècles, de renverser les barrières qui séparaient les races en présence…
No, ella no se acordaba de las malas acciones de Vadinho para criticarlo y condenarlo. Vadinho le agradaba, y con frecuencia se enfrascaban los dos en largas conversaciones, pues a doña Gisa le interesaba conocer la psicología del submundo en que él se movía, y él le contaba casos y casos mientras atisbaba en su escote los dos senos pujantes y pecosos.
Non, elle ne rappelait pas les méfaits de Vadinho pour le critiquer ou le condamner, elle l’aimait bien, et fréquemment ils se perdaient tous deux en de longues conversations, dona Gisa intéressée à découvrir la psychologie du milieu interlope dans lequel évoluait Vadinho, celui-ci lui contant des histoires et plongeant le regard dans le décolleté de sa robe, alléché par les seins vigoureux et parsemés de taches de rousseur.
Lector fervoroso de Maurras y amigo íntimo de Luigi Federzoni -que encarnó en Italia una suerte de fascismo ilustrado y burgués, y que andando el tiempo ostentaría varias carteras ministeriales en los gobiernos de Mussolini-, monárquico y conservador de vocación, Sánchez Mazas creyó descubrir en el fascismo el instrumento idóneo para curar su nostalgia de un catolicismo imperial y, sobre todo, para recomponer por la fuerza las seguras jerarquías del antiguo régimen que el viejo igualitarismo democrático y el nuevo y pujante igualitarismo bolchevique amenazaban con aniquilar en toda Europa.
Fervent lecteur de Maurras et ami intime de Luigi Federzoni (qui incarna en Italie une espèce de fascisme éclairé et bourgeois, et obtint au fil du temps plusieurs portefeuilles ministériels dans les gouvernements de Mussolini), monarchiste et conservateur par vocation, Sánchez Mazas crut découvrir dans le fascisme l’instrument approprié pour guérir sa nostalgie d’un catholicisme impérial et, avant tout, pour restaurer par la force les valeurs établies de l’ancien régime que le vieil égalitarisme démocratique, ainsi que celui, récent et vigoureux, du bolchevisme menaçaient d’anéantir dans toute l’Europe.
Es el pelo tirando a largo, a dos aguas, fugado hacia los lados en degradé, con raya al costado, como en el caso de Jorge Martínez, que salta a la fama gracias a un comercial de vajilla irrompible y renuncia a todo, básicamente a una carrera de tenista que ha entrado en franca decadencia tras un pico en 1966, con la Copa Davis, y pasa sin pena ni gloria, haciendo un papel de policía, por el engendro de cine picaresco argentino con el que tropieza Werner Herzog en un cine de Iquitos al que entra para distraerse un rato del rodaje infernal de Fitzcarraldo, o bien partido por una raya al medio, según el modelo que entre muchos buscavidas del período populariza el malogrado Esteban Molar, nacido Mario Esteban Moreno Larronde, un ex empleado de sastrería que pasa a secretario personal de un gran capo cómico de la época, de ahí a ser el que le consigue los papeles, luego las bolsitas, por fin las tizas de cocaína que quince años después lo matarán, grandes como panes de jabón de lavar la ropa, de ahí a extra en los programas de humor más vistos de la época, de ahí a semental de las aspirantes a vedettes que revolotean en las puertas de los canales de televisión, de ahí a su representante artístico, de ahí a proveedor de aspirantes a vedettes para las fiestas que los jerarcas militares de cada fuerza organizan para impresionar a las fuerzas rivales —potlatchs pródigos en concheros, strass y lentejuelas— y, de paso, celebrar el éxito del plan de exterminio que llevan a cabo desde que toman el poder y aun desde antes, y de ahí al exterior, a Miami, a la televisión latina, a la diabetes, al resonante juicio por violencia conyugal que lo obliga a buscar refugio donde no le pidan rendición de cuentas alguna, la joven pero pujante industria húngara del porno, primero, el tráfico de jugadores de fútbol en Centroamérica después. Ese pelo.
Ce sont les cheveux mi-longs, à deux pentes, descendant sur les côtés en dégradé, comme ceux de Jorge Martínez, qui devient célèbre grâce à une publicité de vaisselle incassable et renonce à tout, avant tout à sa carrière de joueur de tennis entrée en franche décadence après avoir connu son heure de gloire en 1966, avec la Coupe Davis, afin de poursuivre son petit bonhomme de chemin, en jouant un rôle de policier, dans le film picaresque argentin sur lequel trébuche Werner Herzog dans un cinéma d’Iquitos où il entre pour se distraire un moment de l’infernal tournage de Fitzcarraldo, ou bien séparés par une raie au milieu, selon la mode rendue célèbre, par de nombreux débrouillards du journal, et entre autres par le malheureux Esteban Molar, né Mario Esteban Moreno Larronde, l’ex-employé d’un atelier de tailleur qui devient secrétaire particulier d’un grand capo comique de l’époque, et devient ensuite celui qui lui procure les doses, puis les petits sachets, et enfin les cailloux de cocaïne qui quinze ans plus tard le tueront, aussi gros que des pains de savon à laver le linge, et qui devient ensuite intermittent dans les émissions d’humour les plus regardées de l’époque, puis l’étalon des apprentis vedettes papillonnant autour des portes des chaînes de télévision, et ensuite leur imprésario, ensuite leur fournisseur dans les fêtes que les hiérarques militaires de chaque force organisent pour impressionner les forces rivales – potlatchs prodigues en cache-sexe, strass et paillettes – et, au passage, pour fêter la réussite du plan d’extermination qu’ils mènent depuis qu’ils ont pris le pouvoir et même avant, et qui ensuite part pour l’étranger, pour Miami, pour la télévision latina, pour le diabète, et enfin pour le tonitruant procès pour violence conjugale qui l’oblige à chercher refuge là où on ne lui demandera pas de rendre des comptes : la jeune mais vigoureuse industrie hongroise du porno, d’abord, puis le trafic de joueurs de football en Amérique centrale.
La nostalgia de su alma, reprimida durante el día, pero no aniquilada, surgía pujante durante el sueño, sin que el trabajo ni la voluntad o la razón la refrenaran, como la columna de vapor de una caldera hirviente cuando se levanta la tapa.
Cette nostalgie dont souffrait son âme, endormie durant le jour à force de travail, d’énergie et de raison, pourtant jamais définitivement vaincue, l’envahissait de plus belle ; elle montait en lui comme la colonne de vapeur s’échappe d’une chaudière bouillante dès qu’on en soulève le couvercle.
Lo vi en el infinito cielo que se extendía sobre mí y detrás de la lejana ciudad, resplandeciente y mostrando esta gran armonía de colores que se combinaban y brillaban como si las torres de esta ciudad estuvieran construidas con una milagrosa y pujante energía en lugar de una materia o masa inerte o terrenal.
au cœur des cieux infinis qui s’étendaient au-dessus de moi et de la lointaine cité éblouissante, elle-même vibrante de cette harmonie colorée, ville miroitante et floue dont les tours semblaient faites d’une florissante et miraculeuse énergie plutôt que d’un vulgaire matériau terrestre.
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