Translation for "priísta" to french
Priísta
  • pri
Translation examples
pri
—Puso cara de priísta pendejo.
— Il a pris un air de salaud du PRI.
Pero es que es delicado, con tanta pinche corrupción que había de la época priista y que esos culeros nos heredaron…
Mais c’est vraiment délicat, avec cette foutue corruption qui remonte à l’époque du PRI(8) et que ces salopards nous ont léguée…
que Alí Babá de tanto andar con los 40 ladrones de rola se había vuelto uno de ellos y priista.
qu’Ali Baba, à force de fréquenter les quarante voleurs était devenu l’un d’eux, et militant du PRI en prime.
Reclutó a algunos viejos compinches, montó un servicio de guardaespaldas para funcionarios de segunda línea: subsecretarios de estado, diputados priistas;
Avec quelques vieux complices, il organisa un groupe de gardes du corps pour des fonctionnaires de deuxième rang : sous-secrétaires d’État, députés du PRI, etc.
Los reflejos de los moteles solitarios, algunos camiones vacíos regresaban en caravana por la calzada, probablemente de Puebla, del último acarreo de campaña electoral priista.
Les reflets des motels solitaires, quelques autocars vides qui rentraient à la queue leu leu sur la chaussée, probablement de Puebla, du dernier voyage de campagne électorale du PRI.
El político oficioso que quería librarse de su amante y asesinó seis mujeres antes y una después (y esto valía para una relación de cualquiera de las anteriores mujeres, aunque le parecía más consecuente pensar en el político priista).
D’un homme qui voulait se lancer dans la politique, se débarrasser de sa maîtresse, et avait assassiné six femmes avant et une après (cela pouvait s’appliquer à toute relation de n’importe laquelle des femmes précédentes, même s’il lui semblait plus logique de songer à l’homme politique du PRI (11)).
Pa’mí que lo que pasaba es que el destripaquinceañeras era el mayordomo, y que el médico loco era la pura cobertura del degenerado ese que se merecía ser presidente municipal priísta, pero Conan Doyle insiste en echarle la culpa al otro pendejo, por terquedad.
Pour moi, l’éventreur de gamines de quinze ans, c’était le majordome, et le médecin fou, rien qu’un alibi pour ce dégénéré qui aurait mérité d’être un élu municipal militant du Parti révolutionnaire institutionnel, mais Conan Doyle veut à tout prix que ce soit la faute de l’autre salopard, parce qu’il est têtu.
El otro día estaba pintando una que decía: «Si los priístas quieren gobernar, por qué no empiezan por ganar las elecciones» y llegaron los de la banda al rato y en lugar de destruirla le pusieron abajo un «Sí es cierto» de dos metros de alto.
L’autre jour, j’étais en train de peindre un truc qui disait : « Si les membres du PRI(7) veulent gouverner, pourquoi est-ce qu’ils ne commencent pas par gagner les élections ? » ; ceux de la bande sont arrivés un peu plus tard et, au lieu de recouvrir ce que j’avais écrit, ils ont ajouté au-dessous : « C’est vrai, ça », sur deux mètres de haut.
Resulta que la «Coyota» (así es como conocen a Fernández de Cevallos), estaba comiendo en ese restaurante con sus amigos Jesús Ortega (un corrupto del PRD, conocido por manejar en beneficio propio la nómina de ese partido, aspira a gobernar el Distrito Federal después del desafuero de López Obrador), Manuel Bartlett (del PRI, vinculado al narcotráfico y aspirante a engancharse con algunos de los grupos de narcos que, tras los precandidatos priistas a la presidencia de la República, se disputan el Poder) y Enrique Jackson (también del PRI, también precandidato, dueño de varios giros negros en el DF y, según informes de la DEA norteamericana, también ligado a uno de los cárteles de la droga).
Donc « la Coyota » (ainsi qu’est surnommé Fernández de Cevallos), était en train de manger avec ses amis Jesús Ortega (membre corrompu du PRD, connu pour détourner à son profit le budget de son parti, aspirant à la mairie de Mexico suite aux ennuis judiciaires du maire Andrés Manuel López Obrador), Manuel Bartlett (membre du PRI, lié au narcotrafic et prêt à suivre l’un des groupes de narcos qui, derrière les précandidats du PRI à la présidentielle, se disputent le pouvoir) et Enrique Jackson (lui aussi membre du PRI et précandidat, brasseur d’affaires louches à Mexico et, selon des rapports de la DEA américaine, également lié à l’un des cartels de la drogue).
Aprendió también a mover la labia, lo cual le hacía intermediario entre los buscadores de servicios y los neandertálicos porros de infantería, y por último a mantener cohesionadas a las erráticas bandas. Poco a poco fue destacando en un submundo de pequeños hampones y haciendo contactos con aquella fuente de poder, que aún se presentaba nebulosa ante sus ojos miopes, y en la que se materializaba el Estado mexicano: un funcionario en el Departamento del DF, la Dirección General de Preparatorias de la UNAM, un secretario de la facultad de Derecho, un dirigente priísta de las colonias del sur del DF, un comandante de grupo de la judicial, en fin, el Estado mexicano.
Il apprit aussi le bagou, ce qui faisait de lui un intermédiaire naturel entre les commanditaires et les préhistoriques nervis de base. Cela l’aidait aussi à maintenir la cohésion de groupes tendanciellement fragiles. Peu à peu, il se fit remarquer dans ce sous-monde de petits gangsters. Il noua des liens avec cette source de pouvoir, encore floue à ses yeux myopes, mais où se matérialisait l’État mexicain : un fonctionnaire de la mairie de Mexico, la direction générale des lycées dépendant de l’Université nationale, un secrétaire de la faculté de droit, un dirigeant du PRI des quartiers sud de la ville, un commandant de la police judiciaire, bref l’État mexicain.
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