Translation for "polvo el polvo" to french
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A los ojos de todos. Polvo al polvo.
Dans les yeux de tous les présents. De poussière en poussière.
Los cañones hechos polvo… hechos polvo.
Les canons en poussière — en poussière.
Pero la espuma estaba hecha de polvo, un polvo estival denso y oscuro.
Mais l’écume était de poussière, l’épaisse poussière noire de l’été.
Dio vueltas como un ser vivo, antes de caer de nuevo como lo que era, polvo sobre polvo.
Elle a tourbillonné comme une chose vivante, puis elle est retombée sur elle-même, poussière sur poussière.
Soy Zabardast. —La sinrazón se derrota a sí misma —le dijo Ibn Rushd a Al-Ghazali, de polvo a polvo—, por su misma falta de raciocinio.
Je suis Zabardast.” “La déraison court elle-même à sa perte en raison de son caractère déraisonnable, disait, de poussière à poussière, Ibn Rushd à Ghazali.
El viento llevaba polvo también, polvo helado en forma de partículas de dos y tres moléculas cada una, debido a la repulsión mutua de los núcleos.
Le vent lui-même était de la poussière, une poussière glacée réduite à des particules de deux ou trois molécules chacune par la répulsion mutuelle des noyaux.
Después de todo, de ella dicen que venimos, que nos hemos arrastrado a tierra desde las aguas salobres y que tal vez toda la vida sea un intento de regresar, no del polvo al polvo, sino de la sal a la sal.
On dit que c’est de là que nous venons tous, de toute façon, que nous sommes sortis des eaux saumâtres en rampant pour gagner la terre ferme, et que le propos de la vie elle-même n’est peut-être qu’une quête, le désir de retourner, non pas de poussière à poussière, mais de sel à sel.
Llevaba más de ocho siglos sin ver aquella cara y, sin embargo, allí estaba, como si fuera ayer, como si él no la hubiera abandonado, como si él no hubiera sido reducido a polvo, un polvo con el que ella había hablado, polvo animado, sí, pero polvo a fin de cuentas, desencarnado, muerto.
Il y avait huit siècles et davantage qu’elle n’avait vu ce visage et pourtant il était là, comme si c’était hier, comme s’il ne l’avait pas abandonnée, comme s’il n’était pas réduit en poussière, une poussière à laquelle elle avait parlé, une poussière animée, mais néanmoins de la poussière, désincarnée, morte.
La Sombra Sigilosa adoptó la voz de Country Joe McDonald y cantó: «Cenizas a las cenizas y polvo al polvo, el tiempo de tormenta te oxida el corazón.» La voz titubeó a media estrofa, pero entendí que estaba diciéndome que saliera a comprar una hermosa cámara Polaroid para que hiciera compañía a mi Magnum.
SS prit la voix de Country Joe Mac Donald et se mit à chanter : "De cendres en cendres, de poussière en poussière, les jours d'orage, t'as la pompe qui grippe, comme la rouille sur le fer." Sa voix disparut au milieu d'une strophe, mais je compris qu'il me disait d'aller acheter un bel appareil photo Polaroid pour accompagner mon magnum.
Frente a la tienda de cigarros los hombres se habían reunido esa noche para quemar dirigibles, hundir buques de guerra, volar edificios, y, ni más ni menos, saborear las bacterias de sus bocas de porcelana que un día los detendrían, bruscamente. Nubes de anonadamiento se enroscaban y subían en el humo de los cigarros envolviendo una nerviosa figura que parecía escuchar el ruido de palas y azadas y las entonaciones de "cenizas a las cenizas, polvo al polvo". La figura era Leo Auffmann, el joyero del pueblo, que abriendo los ojos oscuros y acuosos, alzó al fin las manos infantiles y gritó consternado:
En face du bureau de tabac, ce soir-là, les hommes étaient rassemblés pour mettre le feu à des dirigeables, pour couler des navires de guerre, faire sauter des ouvrages d’art à la dynamite, et, y compris, pour goûter le véritable poison de leur pipe de porcelaine qui un jour les refroidirait. Des nuages de destruction apparaissaient et se répandaient dans leur fumée ; ils encadraient un visage nerveux que l’on pouvait voir écouter avec attention le bruit des pelles et des pioches, et les incantations qui parlaient de « cendres pour cendres, poussière pour poussière ». Ce visage était celui de Léo Auffmann, le joaillier de la ville. Il écarquilla ses grands yeux sombres avant de lever les mains au ciel et de crier, à la consternation générale :
Las cenizas a las cenizas…, el polvo al polvo.
 Les cendres retournent aux cendres… La poussière à la poussière.
En el olvido de que la vida es un viaje del polvo al polvo.
Dans l’oubli que la vie est un voyage de la poussière à la poussière.
«La tierra a la tierra, las cenizas a cenizas, el polvo al polvo».
— De la terre à la terre, de la cendre à la cendre, de la poussière à la poussière !
La casa y todo lo que contenía regresaron a manos del banco: polvo al polvo.
La maison, et l’intégralité de son contenu, sont revenus à la banque, poussière, tu retourneras poussière.
–Yo prefiero que la tierra vuelva a la tierra y el polvo al polvo, se limitó a decir.
— Je préfère que la terre retourne à la terre et la poussière à la poussière, se borna-t-il à dire.
—Tierra a la tierra —dijo el párroco—, ceniza a la ceniza, polvo al polvo
— Que la terre retourne à la terre, disait le pasteur, la cendre à la cendre et la poussière à la poussière
«Tierra a la tierra, cenizas a las cenizas, polvo al polvo» —dijo su marido, pero Mrs.
« La terre retourne à la terre, les cendres aux cendres, la poussière à la poussière », disait son mari, mais Mrs.
—«¡Cenizas a las cenizas y polvo al polvo!» —sentenció el Guardia, que tenía la barbilla adornada con un trocito de paté que se le había caído del bocadillo.
– Poussière, tu redeviendras poussière ! » conclut le Garde dont le menton s’ornait désormais d’un minuscule morceau de pâté tombé de son sandwich.
Pasillos oscuros, enormes armarios de madera vieja, libros del año de Maricastaña y polvo, mucho polvo por todas partes.
Des couloirs sombres, des armoires en vieux bois énormes, des livres vieux comme le monde et de la poussière, énormément de poussière, absolument partout.
El harmattan recorre el Sahara con polvo rojo, polvo como fuego, como harina, que entra y se coagula en los cerrojos de los fusiles.
L’Harmattan souffle à travers le Sahara, c’est un vent épais de poussière rouge, une poussière comme le feu, comme la farine, qui va encrasser les culasses des fusils.
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