Translation for "planta a planta" to french
Translation examples
Ahora se levantaba allí una nueva ciudad de edificios que habían crecido, literalmente, planta por planta.
Aujourd’hui, au même endroit, une nouvelle citée s’élevait, dont les tours avaient poussé, littéralement, étage par étage.
Planta a planta, habitación por habitación, el espíritu de la destrucción borró para siempre cuanto contenía aquel lugar mágico y terrible.
Étage après étage, l’esprit de la destruction effaça pour toujours tout ce que contenait ce lieu magique et terrible.
Y Bo Haumann estaba organizando cinco equipos de acceso de la Unidad de Emergencias (equipos ampliados, de seis agentes cada uno, en lugar de los cuatro habituales) para efectuar el registro planta por planta.
Et Bo Haumann formait cinq équipes d’assaut – chacune de six hommes, au lieu des quatre habituels – pour mener une fouille étage par étage.
Un hongo de luz de color verde azulado ascendió de planta en planta de forma casi ociosa, haciendo volar las piedras de cada nivel y dándole a la torre un bonito efecto chispeante.
La lumière bleu-vert grandit à la façon d’un champignon d’étage en étage, comme nonchalamment, éjectant des pierres à chaque niveau dans un délicieux effet de pétillement.
Sus ojos, que flotan ahora sobre el laboratorio, atravesado verticalmente por un pilar de hierro colado macizo que, de planta en planta, sostiene todo el edificio cual columna vertebral, sus ojos se detienen en ese pilar y lo observan al detalle.
Ses yeux flottant ainsi sur le laboratoire, verticalement traversé par un pilier de fonte massif qui, d’étage en étage, soutient tout l’immeuble en colonne vertébrale, ses yeux s’arrêtent sur ce pilier qu’il considère longuement.
Y ahora estaba en la obra cerca del ferrocarril y a veces lo veíamos encaramado a los andamios de los edificios nuevos en los que las pilastras subían planta tras planta, o con el sombrero de papel de diario, bajo el sol, comiendo pan con salchicha y friarielli durante la pausa de mediodía.
Maintenant il était sur le chantier le long de la voie ferrée et on le voyait parfois, perché sur les échafaudages des nouveaux bâtiments dont les piliers s’élevaient lentement, étage après étage, ou bien en train de manger pain, saucisses et friarielli pour sa pause-déjeuner, sous le soleil, un chapeau en papier journal sur la tête.
Décadas después, cuando el Hispania llevaba clausurado ya mucho tiempo y finalmente los ingenieros de demolición recorrieron el lugar planta a planta para colocar las cargas que lo derribarían para siempre, se difundió el rumor de que se habían encontrado en varias habitaciones cadáveres que llevaban momificados sobre las camas o en bañeras muchos años, el de su antiguo recepcionista nocturno entre ellos.
Des décennies plus tard, alors qu’il était fermé depuis longtemps, des ingénieurs chargés de la démolition parcoururent tout le bâtiment, étage par étage, afin de placer les charges destinées à l’écrouler. Et la rumeur courut que, dans plusieurs chambres, ils avaient trouvé sur les lits et dans les baignoires des cadavres momifiés depuis longtemps, dont celui de l’ancien veilleur de nuit.
Me lleva de planta en planta y, con su bella voz subterránea, me habla del menor objeto (olla a presión, fabada en lata, camisones, escaleras metálicas, obras completas, luminarias, flores de tela, alfombras persas) de un modo histórico-místico, como si se tratara de un monumental condensado de civilización visitado por marcianos baldados de sabiduría.
Il m’entraîne d’étage en étage, et, de sa belle voix souterraine, il me parle du moindre objet (cocotte-minute, cassoulet en boîte, nuisettes, escalators, pléiades, luminaires, fleurs de tissus, tapis persans) sur le mode historico-mystique, comme s’il s’agissait d’un monumental condensé de civilisation visité par deux Martiens perclus de sagesse.
En la biblioteca del Cervantes me gusta sentarme con mi cuaderno y mis libros junto a una ventana, desde la que puedo ver, mirando hacia abajo, el flujo del tráfico punteado de taxis amarillos, y también examinar una por una, planta por planta, las ventanas de los edificios próximos, las oficinas y las siluetas empequeñecidas de la gente, cada uno en su breve cubículo, en su viñeta de tebeo, agitados por la gran zozobra laboral de Manhattan, y también, algunas veces, sedentarios y haraganes como yo, los codos sobre una mesa llena de papeles y la cara entre las manos, la mirada errante por las fachadas y las terrazas de los edificios, detenida con una admiración que no se fatiga nunca en la verticalidad tan esbelta del Chrysler Building, en su aguja de aluminio con arcos como abanicos y ojivas fantásticas que brilla herida por el sol todavía húmedo de la mañana.
À la bibliothèque de l’Instituto Cervantes, j’aime m’asseoir avec mon cahier et mes livres à côté d’une fenêtre par laquelle je peux voir, en regardant vers le bas, le flux de la circulation ponctué de taxis jaunes, et aussi examiner une par une, étage par étage, les fenêtres des bâtiments voisins, les bureaux et les silhouettes étrécies des gens, chacun dans son bref réduit, occupant sa vignette de bande dessinée, agité par la grande inquiétude laborieuse de Manhattan mais aussi, parfois, sédentaire et fainéant comme moi, les coudes sur une table couverte de papiers et la tête entre les mains, le regard divaguant le long des façades et des terrasses des maisons, arrêté avec une inlassable admiration sur la verticale si élancée du Chrysler Building, sur sa flèche d’aluminium, avec ses arcades comme des éventails ou des ogives fantastiques, qui brille attaquée par le soleil encore humide du matin.
La idea misma de aquel cuadro que proyectaba pintar y cuyas imágenes expuestas, disgregadas, habían empezado a dominar cada uno de sus instantes, amueblando sus sueños, forzando sus recuerdos, la idea misma de aquella casa despanzurrada mostrando al desnudo las fisuras de su pasado, el hundimiento de su presente, aquel amontonamiento inconexo de historias grandiosas o irrisorias, frívolas o lamentables, le daba la sensación de un mausoleo grotesco erigido a la memoria de unos comparsas petrificados en posturas últimas, tan insignificantes en su solemnidad como en su trivialidad, como si, al mismo tiempo, hubiera querido prevenir y retrasar aquellas muertes lentas o vivas que, planta por planta, parecían querer invadir la casa entera: el señor Marcia, la señora Moreau, la señora de Beaumont, Bartlebooth, Rorschash, la señorita Crespi, la señora Albin, Smautf.
L’idée même de ce tableau qu’il projetait de faire et dont les images étalées, éclatées, s’étaient mises à hanter le moindre de ses instants, meublant ses rêves, forçant ses souvenirs, l’idée même de cet immeuble éventré montrant à nu les fissures de son passé, l’écroulement de son présent, cet entassement sans suite d’histoires grandioses ou dérisoires, frivoles ou pitoyables, lui faisait l’effet d’un mausolée grotesque dressé à la mémoire de comparses pétrifiés dans des postures ultimes tout aussi insignifiantes dans leur solennité ou dans leur banalité, comme s’il avait voulu à la fois prévenir et retarder ces morts lentes ou vives qui, d’étage en étage, semblaient vouloir envahir la maison tout entière : Monsieur Marcia, Madame Moreau, Madame de Beaumont, Bartlebooth, Rorschash, Mademoiselle Crespi, Madame Albin, Smautf.
En el Stockmann, en el centro de Tallin, hay de todo y hay escaleras mecánicas y ascensores para ir de planta a planta.
Au Stockmann du centre de Tallinn, on trouve tout, de nos jours, et on passe d’un étage à l’autre en escalator ou en ascenseur.
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