Translation for "pillan" to french
Translation examples
—Si os pillan, no me conocéis.
– S’ils vous attrapent, vous ne me connaissez pas.
Ya sabes que aquí las pillan al vuelo.
Tu sais bien qu’ici ils attrapent la moindre anecdote au vol.
Continúo, aprovechando la coyuntura. – Si me pillan, me han pillado.
Je continue sur ma lancée : — S’ils m’attrapent, tant pis.
Chamomor ha pillado la fiebre aftosa, enfermedad que las vacas pillan de las vacas.
Chamomor a attrapé la fièvre aphteuse, maladie que les vaches attrapent des vaches.
Si los chilenos nos pillan llevándonos el puñetero pedrusco, puede pasar de todo.
- Si ces foutus Chiliens nous attrapent en train de leur piquer leur météorite, n'importe quoi peut arriver.
Es en el momento de la decisión, de la voluntad, cuando esos dos nos pillan por el cogote y nos hablan de un modo tan persuasivo y cautivador que es arriesgado discernir quién habla.
C’est au moment du choix – du libre arbitre – que ces deux-là nous attrapent et leur discours est si convaincant qu’on a du mal à savoir qui est en train de parler.
Dijo: «Toman el metro hasta la calle Cincuenta y nueve, salen por las escaleras directamente a la tienda, inundan una zona, pillan lo que pueden y salen pitando, tío, en doce direcciones distintas.»
Il dit : “Ils prennent le métro jusqu’à la 59e Rue et sortent directement dans le magasin et ils envahissent un rayon et attrapent tout ce qu’ils peuvent et puis ils se tirent, mon vieux, dans toutes les directions.”
Si estás en un sitio caliente en invierno, guárdate como de la lepra, hijo mío, de salir directamente al frío, que así se pillan los Catarros que pueden transformarse en Bronquitis o hasta en Neumonías, ¡Dios nos guarde de ellas!
Si tu es dans un endroit chaud en hiver, garde-toi comme de la lèpre, mon fils, de sortir immédiatement dans le froid car c’est ainsi que s’attrapent les Rhumes pouvant se transformer en Bronchites ou même Pneumonies dont Dieu garde !
La Iris está chillando que nos va a acusar a todas, parada encima de una baranda para tirarse y matar a su hijo si no le traemos a su muñeca, hasta que la Rita da un grito, aquí está, aquí está, lo encontré, sentado en el suelo con los brazos rodeándole las piernas y la cara oculta sobre las rodillas, manso, tan bueno el Mudito se deja agarrar sin resistencia y le damos de comer pero muy poquito porque ahora casi no come… y cuando otras veces se pierde, es distinto, porque cuando lo encontramos y se da cuenta de que lo vamos a pillar se echa a correr como si fuera un chiquillo y se nos pierde por los pasadizos porque nosotras no podemos correr tanto, hasta que días después —a veces tenemos que encerrar con llave a la Iris para que no haga cosas peligrosas y no grite tanto y no nos azote con su varilla— encontramos al Mudito en una de las piezas donde han ido almacenando los diarios y revistas y libros viejos, en guaridas que el Mudito se organiza entre tanto papel inservible, fardos de revistas, libros roídos por los ratones, hacinamientos de diarios, montones de enciclopedias truncas, de libros de pasta lujosa manchados de colorado porque las tapas se fueron destiñendo, a veces lo encontramos leyendo porque dicen que el Mudito se ha leído todos los libros y todas las revistas y todos los diarios que hay en la casa y que por eso ya no tiene fuerza, y sin embargo, cuando lo pillamos en esos escondrijos, refugiado en esas cuevas de letras inútiles, se nos arranca otra vez, escala los fardos de diarios a veces hasta el cielo raso, pero nosotras, aterradas con la amenaza de la Iris, a pesar de que los huesos rechinan, quejándonos, trepamos persiguiéndolo por la montaña de los Zig-Zag y de La Esfera y del Je Sais Tout empastados y revenidos que conozco de memoria, cercándome como a un animal, gritando para que vengan más viejas a ayudar, hasta que me pillan, Mudito, Mudito, no seas tonto, entrégate, por qué te arrancas, nosotras te queremos y nunca te tratamos mal, sólo te queremos pedir el favor de que nos ayudes a entretener a la Iris hasta que nazca el niño.
Iris hurle qu’elle va toutes nous accuser, debout près d’une balustrade pour se jeter en bas et tuer son fils si on ne lui ramène pas son poupon, quand enfin Rita pousse un cri, il est là, il est là, je l’ai trouvé assis par terre, les bras autour des jambes et la figure cachée contre les genoux, tout doux, si brave, ce Mudito, il se laisse prendre sans résistance et on lui donne à manger, mais très peu car maintenant il ne mange presque plus… et d’autres fois où il se perd, ce n’est pas pareil, quand on le retrouve et qu’il se rend compte qu’on va l’attraper, il se met à courir comme un petit gosse et il nous échappe dans les couloirs parce que nous, on ne peut pas courir aussi fort, et on doit attendre des jours – des fois on est obligées d’enfermer Iris à clé pour l’empêcher de faire des choses dangereuses, de crier comme ça et de nous donner les verges – avant de retrouver le Mudito dans une des pièces où l’on a entassé de vieux journaux, de vieilles revues et de vieux bouquins, dans des tanières que le Mudito se fabrique avec cette quantité de papier inutile, des balles de revues, des livres rongés par les souris, des bottes de journaux, des tas d’encyclopédies incomplètes, de livres luxueusement reliés tachés de rouge parce que la couverture a déteint, parfois on le trouve en train de lire car on dit que le Mudito a lu tous les livres, toutes les revues et tous les journaux qu’il y a dans la Maison et que c’est pour ça qu’il n’a plus de force, et pourtant quand on l’attrape dans ces cachettes, réfugié dans ces grottes de caractères d’imprimerie inutiles, il nous échappe encore, escaladant parfois les bottes de journaux jusqu’au plafond, mais nous, terrifiées par les menaces d’Iris, et malgré nos os qui grincent et en nous plaignant, nous faisons à sa poursuite l’ascension de la montagne de Zigzag, de La Esfera et de Je sais tout reliés et racornis que je sais par cœur, me cernant comme une bête, criant pour faire accourir d’autres vieilles à leur aide, jusqu’à ce qu’elles m’attrapent, Mudito, Mudito, ne fais pas l’idiot, laisse-toi faire, pourquoi tu te défiles, on t’aime, on ne te fait jamais de misères, on veut seulement te demander de bien vouloir nous aider à distraire Iris jusqu’à la naissance de l’enfant.
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