Translation for "picar" to french
Translation examples
Yo nunca me dejé picar.
Je ne voulais pas le laisser piquer ma peau.
—¿Pueden picar las pulgas a un muerto?
— Est-ce que les puces peuvent piquer un mort ?
Te voy a cazar la pelea y te voy a picar.
Je vais te chercher et je vais te piquer.
—No estaban forzadas a picar, no vaya tan rápido.
— Elles étaient pas forcées de piquer, minute.
Mi trabajo más duro era picar la herrumbre de los tornos, y lo que no se podía picar lo retiraba uno con las uñas, con los dientes. MALCOLM LOWRY
Mon travail le plus dur était de piquer la rouille des treuils et ce qu’on ne peut pas piquer on l’enlève avec ses ongles, ses dents. MALCOLM LOWRY
¡Me acaba de picar en la nuca un bicharraco de esos.
Merde, une de ces bestioles a réussi à me piquer à la nuque.
las cucharillas de café podían morder o picar.
les cuillères à café pouvaient mordre ou piquer.
Yo puedo girar y picar tan rápido como él.
Je peux tourner et piquer aussi vite que lui.
–¡Prepárate, asesino, te vamos a picar a cuchillo!
Prépare-toi assassin, on va te piquer au poignard !
Pero no hay que desear que esos pícaros insectos se posen sobre los labios de mi Jacobo, porque su picadura es cruel.
Mais il ne faut pas souhaiter que ces méchantes mouches se posent sur les lèvres de mon Jacquot, car leur piqûre est cruelle.
El cinturón de cuero se me clava en la espalda y la punta me da en todo el cuello como si me acabara de picar un escorpión.
La courroie de cuir me cingle le dos, la pointe atterrit dans mon cou telle une piqûre de scorpion.
Como una picadura de mosquito que solo notas cuando te empieza a picar, más tarde. ¿Qué cojones fue eso? —le escribí a Xi.
Comme une piqûre de moustique que l’on ne remarque que lorsqu’elle commence à gratter, un peu trop tard. « WTF ? » ai-je écrit à Xi.
Recuerdo la boda de mis tíos en Puerto Príncipe y cómo mi rodilla se hinchó como una naranja después de que me picara un mosquito.
Je me souviens du mariage de mon oncle et ma tante à Port-au-Prince, et de mon genou gonflé comme une orange à cause d’une piqûre de moustique.
Finalmente, lo hizo oscilar sujetándolo entre el índice y el pulgar, apartándolo de su cuerpo como si fuera un espécimen: es una medusa muerta que conserva el postrero reflejo de picar por última vez.
Finalement il laissa pendre l’objet entre son pouce et son index, en le tenant loin de son corps, comme un spécimen – c’est une méduse morte qui a le réflexe de produire une dernière piqûre spasmodique.
Había oído hablar a su madre y a la señora Thomas, que vivía al otro lado de la calle, sobre alguien alérgico a los picotazos, y la señora Thomas había dicho, «Diez segundos después de que le picara, el pobre Frank se hinchó como un globo.
Un jour, elle avait entendu sa mère et leur voisine d’en face, madame Thomas, parler d’un homme qui était allergique aux piqûres de guêpes. — Dix secondes après que cette sale bête l’a piqué, ce pauvre Frank s’est mis à enfler comme un ballon, avait dit madame Thomas.
Aunque se trataba de una abeja del tamaño de un guisante, peluda, lanosa, con los consabidos colores y franjas de las abejas, al picar no perdió ningún aguijón y, después de la picadura, una picadura de abeja como pocas —tan repentina como intensa—, se elevó zumbando, dándose un impulso, no solo como si no hubiese ocurrido nada, sino como si, además, en virtud de su acción, hubiese recuperado nuevas fuerzas.
Bien qu’elle ne fût pas plus grande qu’un petit pois, duveteuse et cotonneuse, avec toutes les couleurs propres aux abeilles, elle ne perdit pas son dard en piquant et, après avoir piqué – piqûre aussi brusque que violente –, elle s’esquiva dans un élan, comme si de rien n’était et comme si elle avait même gagné en forces nouvelles.
Todo, desde el principio, desde el Hércules, no, desde antes, desde esa tarde en el Museo Antropológico o antes aun, cuando su guante me rozó el brazo en la calle, todo ha sido urdido cuidadosamente, paso a paso, con infinita paciencia, encerrándome en su confianza cuando entré a su servicio, haciéndome testigo de su amor para aprisionarme, Inés la carnaza para que picara el anzuelo, la supremacía en el mundo de los monstruos donde yo lo debía encarnar con mi carne mezquina y ser el padre de su hijo, la tentación final, el anzuelo más fino, piqué, el anzuelo me atravesó y no puedo librarme, atado a una cama que de pronto arde y de pronto hiela, inyección tras inyección que no me dejan pensar porque no lo niegue que están destinadas a eso, a arrebatarme la luz y hundirme en esta penumbra que no es ni vida ni muerte, bolsa tras bolsa de sangre que me impide morir pero tampoco me deja juntar las migas dispersas que quedan de mi conciencia, para qué, don Jerónimo, para qué, no es para transformarme en imbunche que para eso me quieren las viejitas benignas entre las que vivo porque eso sería la paz total, todo cosido en vez de todo abierto en tajos precisos por el cuchillo del doctor Azula, cosido escuchando sus pasos titubeantes afuera, no, ellas no quieren tajearme, ellas vienen a coserme porque son buenas, por la ventana las veo pasearse en la calle esperándome en la esquina de la estación de servicio, parece que es la Dora la que me está sonriendo desde la ventana de enfrente, por qué no las deja entrar a verme, todas las clínicas tienen horas de visita pero ésta no porque no es clínica sino encierro blanco, y por eso las viejitas buenas de las cuales yo soy una me esperan en el cuadrado de mi ventana para darme paz, para recogerme, envolverme en un paquete para que no tenga frío, para eso trajeron sus sacos que ya tienen listos, nada quieren de mí, tienen paciencia, esperan sin prisa porque el tiempo de las viejas es interminable, van sustituyéndose unas a otras, no, no tenemos apuro, podemos esperar a que se vacíe la bolsa de sangre en la vena del pobre Mudito. Afuera hace frío.
Tout, depuis le début, depuis l’Hercule, non, même avant, depuis l’après-midi au Musée anthropologique ou même avant, quand son gant m’avait frôlé le bras dans la rue, tout a été soigneusement machiné, pas à pas, avec une infinie patience, pour me faire prisonnier de sa confiance quand je suis entré à son service, témoin de son amour pour m’emprisonner, Inés, le morceau de bidoche pour amorcer l’hameçon, ma suprématie dans le monde des monstres où devait l’incarner ma chair médiocre, où je devais être le père de son fils, tentation ultime, hameçon le plus fin : j’ai mordu, l’hameçon m’a traversé et je ne peux pas me libérer, attaché à un lit qui, brusquement, tantôt brûle et tantôt gèle, une piqûre suit l’autre, qui m’empêche de penser car, ne le niez pas, c’est pour cela qu’on me les fait, pour m’arracher la lumière et m’enfermer dans cette pénombre qui n’est ni la vie ni la mort, un ballon de sang suit l’autre et m’empêche de mourir, mais sans me permettre pour autant de rassembler les miettes éparses de ma conscience, à quelle fin, don Jerónimo, à quelle fin, ce n’est pas pour me transformer en imbunche, ça, ce serait la paix totale, avoir tout cousu au lieu que tout soit ouvert par le bistouri tranchant et précis du Dr Azula, être cousu en écoutant leurs pas chancelants au-dehors, non, elles ne veulent pas me taillader, elles viennent me coudre car elles sont bonnes, je les vois par la fenêtre se promener dans la rue et m’attendre au coin de la station-service, on dirait que c’est Dora qui me sourit de la fenêtre d’en face, car on ne les laisse pas venir me voir, toutes les cliniques ont des heures de visite, sauf celle-ci car ce n’est pas une clinique mais une prison blanche, c’est pourquoi les braves petites vieilles, mes semblables, m’attendent dans le carré de la fenêtre pour m’apporter la paix, pour me recueillir, m’envelopper dans un paquet pour que je n’aie pas froid, c’est pour cela qu’elles ont apporté leurs sacs tout prêts, elles ne veulent rien de moi, elles sont patientes, elles attendent sans hâte car le temps des vieilles est interminable, elles se relaient, non, nous ne sommes pas pressées, nous pouvons attendre que le ballon de sang se soit vidé dans la veine du pauvre Mudito.
Se dice que las abejas, a diferencia de las avispas, al picar, pierden el aguijón y que, por eso, a causa de la picadura, tienen que morir.
On dit que les abeilles, à la différence des guêpes, perdent leur dard et meurent d’avoir piqué.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test