Translation for "pelón" to french
Translation examples
Mejor afeitarme la cabeza y llamarme Pelón.
Qu’on me tonde et m’appelle le Chauve !
Hadas pelonas tocándose la punta de los pies.
Des lopettes chauves se touchant les orteils.
—Nada de eso, jorobado, hijo pelón de un fenómeno de circo.
— Mais non, espèce de fils chauve et bossu d’un phénomène de cirque.
—Hay un pelón ocho filas adelante, en el asiento D.
— Il y a un chauve huit rangées devant, fauteuil D.
Según Malagón, el Pelón Padilla fue, antes que hotelero, intendente en un hospicio.
D’après Malagón, avant d’être hôtelier Padilla le Chauve était intendant d’un hospice.
Y mi madre. Al fin y al cabo, se había enamorado de Ernest, el hermano pelón de Charles.
Et ma mère. Car enfin, elle était tombée amoureuse d’Ernest, le frère chauve de Charles.
A continuar así, dentro de dos años Sun debía estar completamente pelón.
A continuer ainsi, Soun, dans deux ans, serait entièrement chauve!
El Pelón Padilla es el puente que une al Doctor Revirado con el Gobernador Villalpando.
Padilla le Chauve pourrait faire le lien entre le docteur Revirado et le Gouverneur Villalpando.
Se despidió con besos de sus pelones perros ixcuintles y todos tomaron el tren a Detroit.
Frida fit ses adieux à ses chiens chauves, ses ixcuintles, et tous trois prirent le train pour Detroit.
El Pelón bostezaba detrás de la barra y en una mesa había dos parroquianos: Rivarolo y Angarilla.
Le Chauve bâillait derrière le comptoir et deux clients occupaient une table : Rivarolo et Angarilla.
Paisaje con figura de mono pelón.
Paysage avec un personnage de singe sans poils.
El que era tonto era su padre, pobrecico, le llamaban Juan “Pelón”, porque nadie le había visto nunca un pelo en la cabeza.
Celui qui était bête, alors, c’était son père, le pauvre, on l’appelait Juan le Tondu parce qu’il n’avait jamais eu un seul poil sur le caillou.
Renació para irse con sus perros sin pelo al otro barrio, a la patria de la pelona, la mera dientona, la tostada, la catrina, la tía de las muchachas.
Elle a ressuscité pour s’en aller avec ses chiens sans poils de l’autre côté, au pays de la Camarde, la Parque, la Faucheuse, la Fossoyeuse.
Esas espantosas criaturillas pelonas se asustaban por todo, siempre al borde de la histeria y dispuestas a soltar sus agudos ladridos de lo más irritantes.
C’était de petites créatures hideuses et dépourvues de poil, vite effrayées, angoissées et promptes à pousser des aboiements aigus particulièrement agaçants.
El rostro que apretaba contra las ramas estaba compuesto prácticamente de dos ojos gigantescos, y la cola que trepaba por el mimbre era muy larga y pelona.
Le visage qu’elle pressait contre les branches se composait presque intégralement de deux yeux immenses, et la queue qu’elle enroulait autour du lacis était très longue et sans poils.
De repente, incapaz de mantener el equilibrio, caí sobre mis nuevas patas delanteras. Entonces fue cuando empezó a brotarme el pelo y aquella sensación me gustó, porque hasta ese momento era un bicho horrible, todo pelón.
Soudain, je ne fus plus capable de rester debout. Je tombai en avant sur mes coussinets calleux. C’est alors seulement que les poils commencèrent à apparaître. Et je me sentis soulagé. Je n’étais qu’un animal très laid sans ça.
Trató de imaginar la pureza de marfil de la muñeca oriental en medio de la maleza del trópico que pronto habría de invadir la recámara: monos, dijo Frida, pericos, mariposas, perros pelones, ocelotes y una espesura de lianas y orquídeas.
Elle essaya d’imaginer la pureté d’ivoire de la poupée asiatique au milieu du fouillis tropical qui n’allait pas tarder à envahir la chambre : des singes, avait dit Frida, des perroquets, des papillons, des chiens à poil ras, des ocelots et la forêt de lianes et d’orchidées.
Así la fotografió Laura Díaz para Laura Díaz, creyendo que retrataba un cuerpo inerte, sin darse cuenta de que Frida Kahlo había emprendido ya el viaje a Mictlan, el averno indígena a donde sólo se llega guiada por trescientos perros ixcuintles, los perros pelones que Frida coleccionaba y que ahora aullaban desconsolados en los patios, las azoteas y las cocinas de la casa fúnebre, huérfanos de madre.
C’est ainsi que Laura Díaz l’avait photographiée, croyant faire le portrait d’un corps inanimé, sans se rendre compte que Frida Kahlo avait déjà entrepris le voyage à Mictlán, l’averne indigène où l’on ne parvient que guidé par trois cents chiens ixcuintles, les chiens sans poils que Frida collectionnait et qui, orphelins de leur mère, hurlaient de désespoir dans les patios, les terrasses et les cuisines de la maison funèbre.
Sobre aquellos amplios dominios reinaba Buck. Allí había nacido y allí había vivido los cuatro años de su existencia. Es verdad que había otros perros, pero no contaban. Iban y venían, se instalaban en las espaciosas perreras o moraban discretamente en los rincones de la casa, como Toots, la perrita japonesa, o Ysabel, la pelona mexicana, curiosas criaturas que rara vez asomaban el hocico de puertas afuera o ponían las patas en el exterior.
L’autorité de Buck était indiscutée. Il régnait sans conteste non seulement sur la tourbe insignifiante des chiens d’écurie, sur le carlin japonais Toots, sur le mexicain Isabel, étrange créature sans poil dont l’aspect prêtait à rire, mais encore sur tous les habitants du même lieu que lui. Majestueux et doux, il était le compagnon inséparable du juge, qu’il suivait dans toutes ses promenades, il s’allongeait d’habitude aux pieds de son maître, dans la bibliothèque, le nez sur ses pattes de devant, clignant des yeux vers le feu, et ne marquant que par un imperceptible mouvement des sourcils l’intérêt qu’il prenait à tout ce qui se passait autour de lui.
Julien rozaba con los labios, poniendo cara de asco, la cabeza pelona del chiquillo, arqueando el cuerpo igual que si no quisiera toparse con las manecitas revoltosas y crispadas. Luego, se iba de golpe, como si lo impulsara a alejarse un sentimiento de repugnancia.
Il effleurait du bout des lèvres, d’un air dégoûté, le front glabre du marmot en décrivant un cercle de tout son corps, comme pour ne point rencontrer les petites mains remuantes et crispées.
Las yurtas abovedadas expelen humos aromáticos que proceden de auténticas chimeneas (¿qué tendrá el fuego que tanto fascina a estos primates pelones?) en torno a la base de los rascasuelos con sus muros de diamante que se desplazan cautelosos por las carreteras inteligentes de la ciudad.
Des yourtes crachent au sommet de leur dôme la fumée aromatique d’âtres rudimentaires – mais d’où vient cette manie des primates glabres pour la pyromanie ? – aux pieds de gratte-sol aux parois de diamant qui sillonnent avec précaution les routes intelligentes de la cité.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test