Translation for "parkings" to french
Parkings
Translation examples
Gente del ayuntamiento señalando futuros parkings, futuras fuentes, futuras urbanizaciones.
Des gens de la municipalité qui montrent de futurs parkings, de futures fontaines d’eau potable, de futurs ensembles immobiliers.
Además, no verán ni un solo puerto pesquero en todo el viaje, solo parkings de yates, como los llama Gauvain;
D'ailleurs ils ne verront pas un port de pêche de tout le voyage, seulement des « parkings à yaks » comme dit Gauvain;
El coche de Olvido los condujo en poco más de una hora a una Barcelona hostil, repleta, donde según los periódicos todo el mundo estaba en la playa y donde según lo que veían los ojos todo el mundo se daba codazos en las calles y en los parkings.
En un peu plus d’une heure la voiture d’Olvido les emmena jusqu’à une Barcelone hostile, pleine à craquer ; bien que les journaux prétendissent tout le monde à la plage, ce même tout le monde, comme ils purent le constater de près, jouait des coudes dans les rues et dans les parkings.
Aunque, bien pensado, me daba exactamente lo mismo, nadie iba a quitarme de la cabeza que pintar animalitos en los parkings era una gilipollez, que los jóvenes de hoy en día tenían aspecto de macarras y que decorar tiendas con un jardín de pega constituye un error garrafal.
Mais en fin de compte, cela m’était complètement égal : personne ne m’ôterait de la tête que peindre des petits animaux dans les parkings était grotesque, que les ados d’aujourd’hui avaient un aspect débraillé et que décorer des boutiques avec des plantes artificielles était absurde.
La ciudad quedaba muy atrás. Su universo de hombres perseguidos, de parkings milimetrados, de esquinas contaminadas y de camas compartidas se extinguía con sólo dar unos pasos, con sólo dejar que se apoderara de ti aquel otro mundo lleno de vieja sabiduría.
La ville restait bien loin derrière, cet univers d’hommes poursuivis, de parkings au millimètre, de coins de rue contaminés et de lits partagés s’éteignait au bout de quelques pas seulement, dès qu’on se laissait envahir par ce monde-ci, tout empreint d’une ancienne sagesse.
El sol se hunde en unas nubes color gris asfalto, sobre una maraña en sentido único de casas de ladrillo, fábricas de gas, canales fangosos, viejas factorías, dejados bloques de pisos de los sesenta, parkings de varias plantas de los setenta, decrépitas viviendas sociales de los ochenta y unos multicines rodeados de neón de los noventa.
Le soleil s’enfonce dans ces nuages couleur bitume qui stagnent au-dessus du labyrinthe des maisons en briques, des gazomètres, des canaux envasés, des vieilles usines, de ces grands ensembles des années soixante détestés de tous, des parkings à étages des années soixante-dix, des immeubles décrépits des années quatre-vingt et d’un multiplex bardé de néons des années quatre-vingt-dix.
Pero Sandra duerme y entonces todo va bien, Lucas fuma otro cigarrillo y sorprendentemente el sillón le parece casi cómodo y ya estamos en la mañana de anteayer, cuarto 303 con una gran ventana que da sobre lejanas sierras y demasiado cercanos parkings donde obreros de lentos movimientos se desplazan entre tubos y camiones y basuras, lo necesario para remontarle el ánimo a Sandra y a Lucas.
Mais Sandra dort et alors tout va bien, Lucas fume une autre cigarette et à sa surprise le fauteuil lui paraît presque commode et déjà nous voilà au matin d’avant-hier, chambre 303 avec une grande fenêtre qui donne sur des collines lointaines et de trop proches parkings où des ouvriers aux mouvements lents se déplacent parmi les tuyaux, des camions et des gravats, tout ce qu’il faut pour remonter le moral à Sandra et à Lucas.
Calle abajo siguiendo el paredón del hospital que ripiosamente hace pensar en el de un cementerio, un calor que ha ahuyentado a la gente, no hay nadie, sólo los autos raspándolo al pasar porque la calle es estrecha, sin árboles ni sombra, la hora cenital tan alabada por el poeta y que aplasta a Lucas un poco desanimado y perdido, esperando ver por fin un supermercado o al menos dos o tres boliches pero nada, más de medio kilómetro para al fin después de un viraje descubrir que Mammón no ha muerto, estación de servicio que ya es algo, tienda (cerrada) y más abajo el supermercado con viejas acanastadas saliendo y entrando y carritos y parkings llenos de autos.
La rue le long du mur de l’hôpital qui fait abondamment penser à celui d’un cimetière, une chaleur qui a fait fuir les gens, il n’y a personne, rien que les autos qui passent en le frôlant, car la rue est étroite, sans arbres ni ombre, l’heure zénithale chantée par le poète et qui écrase Lucas un peu découragé et perdu, espérant apercevoir enfin un supermarché ou du moins deux ou trois boutiques, mais rien, près d’un kilomètre pour découvrir finalement après un virage que Mammon n’est pas mort, station-service ce qui est déjà quelque chose, magasin (fermé) et plus bas le supermarché avec des vieilles encabassées qui entrent et sortent, des caddies et des parkings pleins de voitures.
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