Translation for "pares como" to french
Pares como
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Me he comprado cinco pares. —Su voz aguda falló en la palabra «pares», como la voz de una niña pequeña que estuviese ronca—. Salgamos, ¿te parece? —Por supuesto.
J’en ai acheté cinq paires. » Sa voix aiguë se brisa sur le mot « paires » comme la voix d’une petite fille émue. « On s’en va ? — Bien sûr.
En esta tabla redonda de la pordiosería, Clopin-Trouillefou, como el dux de aquel senado, como el rey de aquellos pares, como el papa de aquel cónclave, sobresalía, ante todo debido a la altura de su tonel, pero además por cierto aire altanero, feroz y formidable que hacía chispear sus pupilas y corregía en su salvaje perfil el tipo bestial de la raza de los truhanes.
Au milieu de cette table ronde de la gueuserie, Clopin Trouillefou, comme le doge de ce sénat, comme le roi de cette pairie, comme le pape de ce conclave, dominait, d’abord de toute la hauteur de son tonneau, puis de je ne sais quel air hautain, farouche et formidable qui faisait pétiller sa prunelle et corrigeait dans son sauvage profil le type bestial de la race truande.
Otro punto y seguido… bueno, la muerte es un punto final… basta, no pensemos más en ella… el campus está desierto no es de extra… vaya, esto es interesante. He estado mirando un rato por la ventana sin pensar en lo que veía y pensando en Isabel Hotchkiss, como si la mente fuera una cámara de cine que no te permite tener un primer plano y profundidad de campo al mismo tiempo… cuando he dejado de pensar en ella el campus ha entrado en foco, en la medida en que lo permiten esta mañana las gotas de lluvia que bajan por los cristales de la ventana veteando la suciedad, es lo malo de un edificio entero de cristal que pide a gritos una limpieza, tengo que escribir una nota a mantenimiento, una pérdida de tiempo, les han cortado drásticamente el presupuesto… otro cambio de tema… Es cuestión de atención, no puedes atender a más de una cosa a la vez, como el dibujo del pato y el conejo, que no puedes verlos a los dos en el mismo instante aunque puedas pasar de uno a otro… No hay mucha gente por aquí, no tiene nada de raro, una mañana lluviosa de domingo, los profes están en casa leyendo la prensa dominical a la hora tardía del desayuno y los estudiantes durmiendo la mona de alcohol y drogas y bailoteo y jodienda, ahí va un jogger pisoteando los charcos… Debería hacer más ejercicio, jugar de nuevo al squash, correr por correr no lo soporto… oye, dicen que el sexo es un buen ejercicio, un polvo equivale a correr un par de kilómetros y lo que se ve es mucho más agradable… Ahí pasa alguien, quién es, una mujer con impermeable y un paraguas, no es una estudiante, ellas no llevan impermeable sino anoraks y capuchas o van a pelo y se mojan… un impermeable elegante, por cierto, con una especie de capa y una falda larga, quién es, y botas altas… Carrie tenía un par de botas como ésas con tacones altos, se paseaba por el dormitorio sin nada más puesto para complacerme… ya no, ni siquiera un polvo rápido anoche… Estaba todavía cachondo por el lote que me había pegado con Marianne pero no hubo suerte… me echó una bronca por montar aquel pollo en la cena pero por qué la gente tiene que decir esas chorradas… Quién es esa que pasea por el campus una mañana lluviosa de domingo, no parece que vaya a ningún sitio, sino que ha salido a dar un paseo, pero quién saldría a pasear con esta ah, bueno, ha cerrado el paraguas, debe de haber escampado, ella… ¿no es esa mujer, la escritora que estaba anoche en la cena, la suplente de Russell Marsden, Helen nosequé…? Helen Reed, sí, claro, vive en uno de esos dúplex del campus en el perímetro oeste, entre Severn Hall y las pistas de squash, antes de cenar me dijo que había alquilado su piso durante el semestre. Así que no vuelves a Londres desde la noche del jueves hasta la mañana del martes, como hacen casi todos los escritores visitantes, dije, «No», dijo ella, «he quemado mis naves, ¿o eran puentes?», y sonrió, pero en sus ojos había una expresión de agobio mientras lo decía, bonitos ojos pupilas castaño muy oscuro, guapa de cara, perfectamente dibujado el arco de los labios con una fina finísima pelusa en el superior y un cuello largo y delicado, difícil decir qué tipo tiene o qué piernas, llevaba una falda larga y un top holgado, pero ni flaca ni gorda… qué edad dirías, por lo menos cuarenta, tiene un hijo en la universidad y otro que acaba de terminar el cole, pero no los aparenta… Y tu marido, dije, fijándome en su anillo pero olvidando tontamente que ella había dicho mi piso no nuestro piso. «Murió», dijo, «murió hace un año», justo en el momento en que Marianne daba palmadas y nos llamaba a la mesa y no tuve más ocasiones de hablar con ella porque estábamos en lados opuestos… Marianne eligió los sitios, no quiso que me enrollara con esa atractiva mujer nueva, además viuda, su marido murió de una hemorragia cerebral, me susurró Marianne más tarde. «De repente, una tragedia, con sólo cuarenta y cuatro años, era productor de radio en la BBC…».
Encore un arrêt… dans le genre arrêt fait-on mieux que la mort… assez assez n’en parlons plus… le campus est désert rien de surpre… tiens, voilà qui est intéressant, ça fait un moment que je regarde par la fenêtre sans penser à ce que je vois, au lieu de quoi je pensais à Isabel Hotchkiss, comme si le cerveau ressemblait à une caméra on ne peut pas avoir à la fois un gros plan et la profondeur de champ… et dès que j’ai cessé de penser à elle j’ai fait le point sur le campus, autant que le permettent ce matin les gouttes de pluie qui ruissellent sur les vitres en traçant leur sillage dans la saleté, c’est l’ennui avec un bâtiment entièrement vitré elles ont sacrément besoin d’être nettoyées, il faut que je fasse une note pour la maintenance, du temps perdu le budget a été ratiboisé… Encore un changement de sujet… Affaire d’attention, on ne peut pas s’occuper de plus d’une chose à la fois, comme l’image du canard et du lapin on ne peut pas réellement les percevoir au même instant seulement aller de l’un à l’autre… Pas beaucoup de passage dehors, c’est normal, un matin de week-end pluvieux, les profs sont tous chez eux à parcourir les journaux du dimanche les étudiants roupillent ils cuvent leur cuite leur came leur sauterie leur baise d’hier soir ah voilà quand même un type qui fait son jogging en pataugeant dans les flaques… Je devrais me remuer un peu me remettre au squash, le jogging très peu pour moi je ne supporte pas de courir pour courir… notez bien il paraît que le sexe est un excellent exercice, une seule partie de jambes en l’air l’équivalent de deux kilomètres de course à pied et foutrement plus agréable… Voilà quelqu’un, qui est-ce, une femme en imperméable sous un parapluie, pas une étudiante elles ne portent pas d’impers elles mettent des anoraks et des parkas à capuche ou alors elles se mouillent… élégant en plus ce long imperméable avec une espèce de cape et de l’ampleur autour des bottes… Carrie en avait une paire comme ça à talons hauts, elle déambulait toute nue et bottée à travers la chambre pour me faire plaisir… fini tout ça, hier soir elle s’est même refusée à un petit coup vite fait… je me sentais encore excité par le patin que j’avais roulé à Marianne mais bernique… en rogne contre moi à cause du ton cinglant que j’avais pris à table mais pourquoi faut-il que les gens racontent de telles conneries… Qui peut bien être cette personne qui marche sous la pluie à travers le campus un dimanche matin, elle n’a pas l’air d’aller quelque part seulement de se balader, mais quelle idée de se balader par ce temps ah tant mieux elle ferme son parapluie la pluie a dû s’arrêter elle… c’est cette femme, l’écrivain, qui était au dîner d’hier soir, la remplaçante de Russell Marsden, Helen comment déjà… Helen Reed oui bien sûr, elle est logée sur le campus dans l’une de ces maisonnettes là-bas tout à l’ouest entre le Severn Hall et les courts de squash, à l’apéritif elle m’a dit que sa propre demeure était occupée par des locataires pour tout le semestre. Je lui ai demandé vous ne rentrerez donc pas à Londres du jeudi soir au mardi matin comme le font la plupart de nos écrivains invités, « Non, a-t-elle dit, j’ai brûlé mes vaisseaux, ou mes ponts ? je ne sais plus » et elle a souri mais il y avait de l’angoisse de la panique dans ses yeux, de beaux yeux l’iris d’un brun très foncé, un joli visage, une bouche arquée parfaitement ourlée avec un léger duvet une ombre sur la lèvre supérieure un long cou délicat difficile de se faire une idée du corps, des jambes, elle portait une jupe longue et un haut flottant, en tout cas elle n’est ni grosse ni décharnée… quel âge lui donner, elle doit avoir au moins la quarantaine elle a un fils à la fac et une fille qui vient de finir le lycée, mais on ne s’en douterait pas… Et votre mari, j’ai demandé en remarquant son alliance mais en oubliant bêtement qu’elle avait dit ma demeure et non notre demeure.
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