Translation for "orfeón" to french
Translation examples
Una colección de cilindros de cera para gramófono que contienen toda la producción grabada de la Orquesta Orfeón de Estambul.
Une collection de cylindres de gramophone en cire représentant la totalité des productions enregistrées de la chorale Orfeon d’Istanbul.
En la fachada de un edificio medio en ruinas, unas letras borrosas indicaban que allí había habido un orfeón dispuesto a cantar la esperanza.
Sur la façade d’un bâtiment délabré, des lettres à demi effacées indiquaient que ces murs avaient abrité une chorale pleine d’espérance.
Al otro lado de la puerta cerrada, el Orfeón de Sevenoaks se afanaba por expresar su indignación sin el apoyo de su barítono. —Salvo. Te ofreceré una opción justa.
Derrière la porte close, la chorale de Sevenoaks s’efforçait de faire entendre toute son indignation sans l’aide de son premier baryton. « Salvo, je vais vous faire une offre équitable.
En las paredes colgaban fotografías coloreadas de la esposa, las hijas y los spaniels del señor Anderson, e intercalados entre ellas, en marcos dorados, podían verse los homenajes concedidos a su otro amor, el Orfeón de Sevenoaks.
Les murs s’ornaient des photographies en couleurs de la femme, des filles et des épagneuls de M. Anderson, et de distinctions sous cadre doré remportées par la chorale de Sevenoaks, son autre passion dans la vie.
Sabemos, además, que va una vez a la semana al cine, que una vez a la semana canta en un orfeón, que tiene un grupo de amigos, con los que se reúne dos veces por semana y que a veces incluso lee un libro.
Nous savons en outre que vous allez une fois par semaine au cinéma, une fois par semaine à la chorale, deux fois par semaine au café et que, les autres soirs, vous retrouvez des amis ou qu’il vous arrive de lire un livre.
Por más que Philip y su gente aporreen su puerta, por más que unos blocs de vital importancia hayan escapado a las llamas, por más que unas cintas hayan desaparecido, la noche del miércoles es sagrada y el señor Anderson es el barítono del Orfeón de Sevenoaks.
Philip et son équipe peuvent bien tambouriner à sa porte, des blocs-notes d’importance vitale avoir échappé aux flammes, des cassettes avoir disparu, le mercredi soir, c’est la sainte soirée et M. Anderson chante comme baryton dans la chorale de Sevenoaks.
La calle, esa noche: flanqueados por miembros del Ejército de Salvación de uniforme y de papas Noel de todo jaez agitando campanas, orfeones maltratan himnos ya de por si tristes, corales entonan cánticos absurdos en las esquinas de las avenidas enguirnaldadas con espantos policromos, surcadas de tiros de caballos con cascabeles, las aceras desbordantes de una multitud excitada y con sombreros, mejillas violáceas y regalos empaquetados bajo todos los brazos.
La rue, ce soir-là : encadrés de salutistes en uniforme et de pères Noël de tous formats qui agitent des cloches, des orphéons maltraitent des hymnes déjà tristes, des chorales entonnent des cantiques absurdes au coin des avenues enguirlandées d’horreurs polychromes, sillonnées d’attelages à grelots, leurs trottoirs débordant d’une foule nerveuse et chapeautée, joues violacées et présents emballés sous tous les bras.
Ben contaba los libros y dictaba las cifras que la señora Douglas anotaba sin molestarse en verificar, notó él, con orgullo; después, ambos los llevaron abajo, al depósito, por pasillos donde los radiadores resonaban. Al principio, la escuela había estado llena de ruidos: puertas de armarios metálicos que se cerraban con violencia, el clac-ti-clac de una máquina de escribir, en la oficina; el canto algo desafinado del orfeón, en el piso alto; el nervioso tud-tud-tud de las pelotas de baloncesto en el gimnasio y el roce de las zapatillas cuando los jugadores corrían.
Ben comptait les livres et donnait les numéros à haute voix ; Mme Douglas les notait (sans même se soucier de vérifier son travail, ne serait-ce qu’une fois de temps en temps), puis ils portèrent tous les deux les volumes dans la salle où on les rangeait, empruntant des couloirs dans lesquels les radiateurs émettaient des claquements rêveurs. L’école avait tout d’abord été bruyante : fracas métallique des portes de casiers, cliquetis de la machine à écrire de Mme Thomas, dans le bureau, sonorités légèrement détonnantes de la chorale qui répétait, à l’étage, chuintement des chaussures de sport et martèlement du ballon dans le gymnase où l’on jouait au basket-ball, allant en s’accélérant au fur et à mesure qu’une équipe progressait vers le panier de l’autre.
No por mí, que a mí el respeto de este orfeón de monas que llamamos humanidad me la trae flojísima, sino por ella.
Pas pour moi, parce qu’en ce qui me concerne ce chœur de guenons que nous appelons l’humanité me donne le cafard, mais pour elle.
– Poco imaginaba La Pepita que su Federico -continuó el catedrático- había pasado la noche en una celda cochambrosa, donde un orfeón de macarras y navajeros se lo habían rifado cual putón verbenero para luego, una vez ahítos de sus carnes magras, propinarle una paliza de órdago mientras el resto de presos coreaban con alegría la «maricón, maricón, come mierda mariposón».
— La Pepita, poursuivit le professeur, était loin d’imaginer que son Federico avait passé la nuit dans une cellule immonde, où un orphéon de maquereaux et de virtuoses du couteau lui avait arraché un à un ses falbalas de cocotte pour lui faire subir les derniers outrages pendant que les autres prisonniers chantaient joyeusement en chœur : « Pédé, pédé, bouffe ta merde de pédé. »
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