Translation for "nos lleve a cabo" to french
Translation examples
No es necesario que tú los lleves a cabo.
Nous n’avons pas besoin de vous pour le mener à bien.
Murió, pero de todos modos llevó a cabo la tarea que le había asignado: poner a la policía sobre la pista de Julius Whong.
Il est mort, non sans mener à bien sa mission : lancer la police aux trousses de Juhus Whong.
En este momento, considero imposible que el sargento Hopkins lleve a cabo investigaciones sobre homicidios sin explotarlas en un contexto social o sexual.
À ce jour, je considère qu’il est tout à fait impossible au Sergent Hopkins de mener à bien des enquêtes criminelles sans les exploiter à des fins sociales ou sexuelles.
Y voy a hacer ese trabajo, paso a paso. No sólo eso, voy a hacerlo con tu ayuda, porque quieres que alguien lo lleve a cabo, y sabes, igual que yo, que soy el único que puede hacerlo.
Ce poste, je l’aurai en le créant petit à petit, et avec ton aide, en plus, parce que tu veux que quelqu’un fasse ce boulot et que tu sais comme moi que je suis le seul à même de le mener à bien. »
Hallaron para su objeto un rincón tranquilo en el parque de gamos y allí sir John, caballero cetrino, flaco, de unos treinta años de edad, llevó a cabo un ataque furioso contra sir Oliver con la espada y la daga, digno de las acometidas que antes le dirigiera con la lengua. Pero aquel ímpetu no le sirvió de nada. Sir Oliver había llegado allí con un propósito definido, y tenía la costumbre de no dejar de realizar cualquier cosa que hubiese proyectado.
Ils gagnèrent un coin isolé du parc aux cerfs et là, Sir John, gentilhomme d’une trentaine d’années, mince, le teint bilieux, se piqua de démontrer que sa dague et son épée ne le cédaient en rien au venin de sa langue. Toutefois, cette belle impétuosité fut sans effet : Sir Oliver était venu avec un dessein en tête et jamais il ne manquait de mener à bien la besogne à laquelle il mettait la main.
Estas tribus se hallaban unidas únicamente por lejanos vínculos de sangre, lenguas dialectales inteligibles para todos ellos, algunas costumbres comunes y ciertas observancias religiosas, la más notable de las cuales era, por supuesto, la práctica del renacimiento en un dragón, impulsada, en primer lugar, por la necesidad de conseguir una colaboración más estrecha con los alados para atender las necesidades de las manadas de elefantes, que exigían un trabajo muy superior al que era capaz de organizar una sola tribu. (…) [La] demanda creciente de oro y marfil propició una mayor centralización a partir del siglo XVII, que se hizo notar en el interior del continente varias décadas antes de la aparición del esclavismo. La demanda de esclavos alcanzó un extremo tan álgido que las tribus esclavistas más agresivas se aventuraron a realizar razias en el territorio dragontino. La centralización también se vio espoleada por otros factores, como el rápido desarrollo de la minería aurífera desde mediados del siglo XVIII, una empresa que, según indican las autoridades tsuanas, es más productiva si se lleva a cabo con el concurso simultáneo de diez dragones que si la explotación recae sobre cualquier tribu en exclusiva, y la importancia creciente del comercio del marfil.
Ces tribus, uniquement réunies jusque-là par de lointains liens du sang, des dialectes mutuellement intelligibles et certaines coutumes et pratiques religieuses communes, dont la plus remarquable est bien sûr cette fameuse croyance en la réincarnation draconique, se mirent dans un premier temps à collaborer plus étroitement pour la gestion des troupeaux d’éléphants, lesquels exigeaient trop de travail pour être confiés à une seule tribu… Une centralisation encore accélérée à partir du XVIIe siècle par la demande croissante en ivoire et en or, qui gagna l’intérieur du continent africain plusieurs décennies avant que le besoin de prisonniers amène les tribus esclavagistes les plus agressives à vaincre leurs appréhensions et à s’aventurer en territoire draconique ; et encouragea, à partir du milieu du XVIIIe siècle, le développement de l’exploitation aurifère (entreprise que les Tswanas jugent infiniment plus efficace de mener à bien avec la coopération d’au moins une dizaine de dragons, plutôt que de la confier à n’importe quelle tribu individuelle) et du commerce de l’ivoire, lequel envoyait sur la côte, au début du siècle présent, quelque soixante mille livres de défenses sans que les marchands européens qui les achetaient se doutent le moins du monde qu’elles étaient obtenues grâce aux dragons et non malgré eux qui leur interdisaient l’accès à l’intérieur des terres…
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