Translation for "nos agitamos" to french
Translation examples
Entonces agitamos los brazos, y tenemos la impresión de llenar el cielo de inmensas señales.
Alors, nous agitons les bras et nous avons l’impression de remplir le ciel de signaux immenses.
El habla lo mantiene, la imagen nos lo muestra, la memoria no lo encuentra: inútilmente nos agitamos detrás de nosotros mismos.
La parole nous en entretient, l’image nous le montre, la mémoire ne le rencontre pas : nous nous agitons inutilement derrière nous-mêmes.
Nos agitamos. Hace pivotar la larga barra de acero vertical sobre su eje y libera los dos batientes de la puerta.
Nous nous agitons. Il fait pivoter la longue barre d’acier verticale autour de son axe et déverrouille les deux battants de la porte.
A través de heladas brumas, los hinchas nos asomamos por la borda de nuestros barcos y agitamos los pleópodos color rosa pastel, dejando trazos caprichosos sobre la oscura superficie del agua.
À travers des brumes de glace, nous nous penchons par-dessus les plats-bords de nos bateaux et agitons nos pattes beige rosé, traçant des formes changeantes sur la surface sombre.
«Ese terrible pañuelo -había citado, teatral como siempre, medio en broma pero perspicaz como una Casandra, el anticuario- que agitamos al decirnos adiós para siempre»… Aquella, en esencia, había sido la historia.
« Ce terrible mouchoir, avait déclamé l’antiquaire, théâtral comme toujours, à moitié pour plaisanter, mais perspicace comme une Cassandre – que nous agitons pour nous dire adieu à tout jamais »… Voilà ce qu’avait été, en gros, cette histoire.
Vuestro compañero va a darnos otro… Como éste… Gracias… Me gustaría uno amarillo… Ahora, uno azul, el que ese joven esconde dentro de su chaqueta. Los anudamos fuertemente. Los agitamos en el aire y…
Votre camarade va nous en fournir un autre… Comme ceci… Merci… C’est bien un jaune que je voulais… Maintenant, un bleu, que ce jeune homme cache sous le revers de son veston… Nous les nouons solidement… Nous les agitons en l’air et…
Es mediterránico mar, pero tiene mareas y resacas, corrientes blandas que tardan en dar la vuelta entera, y a veces rápidos que agitan la superficie, son ráfagas de viento que vienen de fuera, o desagües de inesperados flujos, mientras en la oscura profundidad se enrollan lentamente las olas arrastrando el torbellino de nutriente limo, desde cuándo dura esto. Son comparaciones que tanto sirven para mucho como para poco, decir que el latifundio es un mar, pero tendrá sus razones de fácil entendimiento, si esta agua agitamos, toda la que hay alrededor se mueve, a veces tan lejos que los ojos lo niegan, por eso sería un error llamar pantano a este mar, y aunque lo fuera, muy errado vive quien de apariencias se fía, aunque sean éstas de muerte. Todos los días los hombres se levantan de sus camas, todas las noches se acuestan en ellas, y decir cama es decir lo que de cama hace las veces, todos los días se sientan ante el alimento o la voluntad de tenerlo suficiente, todos los días encienden y apagan una luz, bajo la rosa del sol no hay nada nuevo. Éste es el gran mar del latifundio, con sus nubes de peces de rebaño y animales de devoración, y si esto fue siempre así, no se ven razones para que deje de serlo, hasta teniendo que soportar algún cambio, basta con que la vigilancia no se distraiga, todos los días van al agua las barcazas armadas y las redes que han de pescar al pescador, Dónde has robado ese saco de bellotas, o A ver, ese haz de leña, o Qué haces aquí a estas horas, de dónde vienes y adonde vas, no es un hombre señor de poner el pie fuera del acostumbrado carril, salvo si va contratado, y en consecuencia vigilado. No obstante, cada día trae con su pena su esperanza, o será esto debilidad del narrador, que seguro que ha leído esta frase o la ha oído decir y le ha gustado, porque viniendo con la pena la esperanza, ni la pena se acaba ni la esperanza es más que eso, no usaría otras palabras el cura Agamedes, que justamente de pena y esperanza hace su modo de vida, quien crea lo contrario o es tonto o desvaría.
C’est une mer au milieu des terres, mais elle a des marées et des ressacs, des courants suaves qui mettent du temps à décrire un tour complet, et parfois des élans rapides qui agitent la surface, ce sont des rafales de vent venues de l’extérieur ou des écoulements de flux inattendus, pendant que dans les profondeurs obscures les vagues lentement s’enroulent, entraînant des tourbillons de vase nourrissante, depuis combien de temps cela dure-t-il. Dire que le latifundium est une mer est une comparaison aussi utile qu’inutile, mais elle a sa raison d’être en ceci qu’elle est facile à comprendre, si nous agitons cette eau, toutes les eaux environnantes se déplacent, quelquefois depuis si loin que les yeux nient ce mouvement, voilà pourquoi nous qualifierions à tort cette mer de marécage, et même si elle en était un, celui qui se fie aux apparences vit dans l’erreur, quand bien même ces apparences seraient celles de la mort. Tous les jours les hommes se lèvent de leur lit, tous les soirs ils se couchent dans leur lit, et dire lit c’est dire ce qui en fait office, tous les jours ils s’assoient devant la nourriture ou la volonté d’en avoir en suffisance, tous les jours ils allument et éteignent une lumière, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. C’est la grande mer du latifundium, avec ses nuages de poissons en troupeaux et ses bêtes de la dévoration, et s’il en a toujours été ainsi, on ne voit pas de raisons pour qu’il en soit autrement, même s’il faut supporter quelques changements, il suffit que la vigilance ne faiblisse pas, tous les jours les grandes barques armées vont à l’eau ainsi que les filets destinés à pêcher le pêcheur, Où as-tu été chercher ce sac de glands, ou Ce fagot de bois, ou Que fais-tu ici à cette heure, d’où viens-tu, où vas-tu, un homme n’a pas le droit de mettre le pied hors de l’ornière habituelle, sauf s’il a un contrat et qu’il est donc sous surveillance.
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