Translation for "no-realidad" to french
No-realidad
Translation examples
Pero como en realidad no habéis existido nunca, por lo tanto, podéis continuar camino nimbo a la no realidad.
Mais comme vous n’avez en réalité jamais existé, vous ne pouvez aller dans aucune non-réalité.
Llámese una vanidad, un capricho, un papel teatral, no lo creía, pero se sumergía en esa no realidad, como si fuese real.
Appelez ça un trope, une fantaisie, du théâtre : il n'y croyait pas vraiment, et pourtant il s'impliqua dans cette non-réalité comme si elle était réelle.
Desde el momento en que lo sagrado se manifiesta en una hierofanía cualquiera no sólo se da una ruptura en la homogeneidad del espacio, sino también la revelación de una realidad absoluta, que se opone a la no-realidad de la inmensa extensión circundante.
Lorsque le sacré se manifeste par une hiérophanie quelconque, il n’y a pas seulement rupture dans l’homogénéité de l’espace, mais aussi révélation d’une réalité absolue, qui s’oppose à la non-réalité de l’immense étendue environnante.
Hemos elegido entre todas las ramificaciones posibles de la realidad, así que ésta es la rama que existe ahora para nosotros: una rama en la que la realidad consensuada es equivalente a la irrealidad y la desesperación.
Nous avons fait un choix à partir d’un jeu complet d’embranchements possibles de la réalité, et c’est donc celui-ci qui existe désormais pour nous, cet embranchement où la réalité admise par tous devient à présent synonyme de Non-Réalité et de Désespoir.
–Sólo mi mente mantiene a raya la no realidad -dijo el hombre-, y he de concentrarme, de lo contrario todo volverá en tropel y tendré que volver a comenzar desde el principio.
— Seul mon esprit tient la non-réalité à distance, poursuivit l’homme, mais il faut que je me concentre, sans quoi elle va de nouveau tout envahir et il faudra que je recommence tout depuis le début.
Las reproducciones contenidas en el libro fueron elegidas en función de este razonamiento que llamaremos «fenomenológico»: Barthes distingue en el interés que una foto suscita en nosotros un nivel que es el del studium o participación cultural en la información o en la emoción que la imagen transmite, y el del punctum, o sea el elemento sorprendente, involuntario, conmovedor, que ciertas imágenes comunican. Ciertas imágenes o mejor ciertos detalles de imágenes: la lectura que Barthes hace de las obras de fotógrafos famosos o anónimos es siempre inesperada: a menudo son pormenores físicos (manos, uñas), o vestimentarios aquellos cuya singularidad pone de relieve. Contra las teorizaciones recientes de la fotografía como convención cultural, artificio, no-realidad, Barthes da la preferencia al fundamento «químico» de lo operación: el ser traza rayos luminosos que emanan de algo que está presente, que está ahí, (y esta es la diferencia fundamental entre la fotografía y el lenguaje, que puede hablar de lo que no está.) Algo en la foto que miramos estuvo y ya no está: esto es lo que Barthes llama el tiempo écrasé de la fotografía. Libro típico de Barthes, con sus momentos más especulativos en los que parece que a fuerza de multiplicar las mallas de su red terminológica no consigue desenmarañarse, y las imprevistas iluminaciones, relámpagos de evidencia que llegan como regalos sorprendentes y definitivos, La Chambre claire contiene desde las primeras páginas una declaración sobre su método y su programa de siempre, cuando renunciando a definir un «universal fotográfico», decide tomar en consideración sólo las fotos «de las cuales estaba seguro que existían para mí».
Les reproductions contenues dans le livre sont choisies en fonction d’un raisonnement que nous dirons « phénoménologique » : Barthes distingue, dans l’intérêt qu’une photo suscite en nous, un niveau qui est celui du studium ou de la participation culturelle à l’information ou à l’émotion que l’image porte avec elle, et celui du punctum, c’est-à-dire l’élément surprenant, involontaire, perçant, que certaines images communiquent. Certaines images ou, plutôt, certains détails d’images : la lecture que Barthes fait des œuvres de photographes célèbres ou anonymes est toujours inattendue : ce sont souvent des détails physiques (des mains, des ongles) ou vestimentaires dont il fait ressortir la singularité. Contre les théorisations récentes de la photographie comme convention culturelle, artifice, non-réalité, Barthes privilégie le fondement « chimique » de l’opération : le fait d’être la trace de rayons lumineux émanant de quelque chose qui y est, qui est là. (C’est la différence fondamentale entre la photographie et le langage, qui peut parler de quelque chose qui n’y est pas.) Quelque chose, dans la photo que nous sommes en train de regarder, y a été et n’y est plus : c’est ce que Barthes appelle le temps écrasé* de la photographie. La Chambre claire est un livre typique de Barthes, avec ses moments plus spéculatifs où il semble que, à force de multiplier les mailles de son filet terminologique, il ne parvienne plus à s’en dégager, et les illuminations soudaines tels des éclairs d’évidence qui arrivent comme des cadeaux surprenants et définitifs.
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