Translation for "molerlo" to french
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—Deberías haberles quitado las vainas antes de molerlas. —No lo sabía. —El muchacho se quedó abatido—. Entonces, ¿no sirve mi tinte?
— D’ordinaire, on les décortique avant de les broyer. — Je l’ignorais, balbutia-t-il, penaud. La couleur n’a pas pris ?
Una vez más, el general sintió sobre sus hombros el peso imposible de su tarea, que amenazaba con molerle los huesos hasta hacerlos polvo contra el suelo.
Une fois de plus, Shon sentit le poids impossible de sa mission peser sur ses épaules et menacer de broyer ses os pour les réduire en poussière.
Y tampoco sabían que cuando usted, su mujer y su hija volvieran a Polonia, encontrarían a los mismos perseguidores de judíos esperándolos para molerlos hasta convertirlos en polvo.
Ils ne pouvaient pas savoir que lorsque vous rentreriez en Pologne, les mêmes bourreaux de Juifs seraient là à vous attendre, vous, votre femme et votre fille, prêts à vous écraser et à vous broyer en poussière sous leurs bottes.
Ella, buscando atrapar las estrellas del firmamento para molerlas y fabricar una poción que le proporcionara los pechos y las caderas adecuadas y una melena larga y espesa que se bamboleara de lado a lado al caminar y, sí, lo que más ansiaba, lo que constituía el mayor insulto que había en el vasto catálogo de invectivas de Delhi, el insulto de los insultos, Maa ki Choot, el coño de tu madre.
Elle, cherchant à décrocher les étoiles, à les broyer en poudre, à les diluer en une potion qui lui aurait donné de vrais seins, de vraies hanches, une longue tresse épaisse de cheveux se balançant au gré de sa démarche et, oui, la chose qu’elle désirait le plus au monde, la mieux placée de toutes les injures du vaste réservoir delhiite, la reine des insultes, un Maa ki choot, un « con de ta mère ».
Manolo Valdés me señala un gran contenedor lleno de jirones de sacos manchados de colores y me dice: «Mira, éstos son mis pinceles». Aquí los instrumentos del oficio son las herramientas del soldador y del carpintero, y los materiales no proceden de las tiendas de productos para artistas, sino de los derribos y de los desperdicios de la calle, de la tierra misma de la que se han extraído los pigmentos antes de molerlos, de envasarlos en esas jarras que se alinean en un armario del estudio, como en los estantes de una droguería o en el laboratorio de un químico.
Manolo Valdés me montre un grand récipient rempli de lambeaux de toile à sac tachés de couleurs et il me dit : « Tu vois, c’est ça mes pinceaux. » Ici les instruments du sculpteur sont les outils du soudeur et du menuisier, et les matériaux ne proviennent pas des boutiques de produits pour artistes mais des démolitions et des rebuts de la rue, de la terre même dont sont extraits les pigments avant d’être broyés, entreposés dans ces récipients qui s’alignent dans une armoire de l’atelier comme sur les rayons d’une droguerie ou d’un laboratoire de chimie.
Sí, sin duda era él, Rudy Deseas, al que unos adolescentes del instituto Mermoz habían propinado un buen número de puntapiés antes de mandarlo al suelo y molerle los costados contra el asfalto, terminando por aplastarle la cara, que él había tratado de mantener alzada, sobre el suelo del patio, era en su mejilla en donde se encontraban impresas ahora para siempre unas finas cicatrices, y esos hombros que acusaban aún un muy ligero dolor eran los suyos —y sin embargo la abyección ya no le concernía, no porque pudiera ni deseara achacársela a otro, sino porque sentía por el contrario que la aceptaba y que ello le daba al propio tiempo la posibilidad de liberarse de ella, como de un sueño sempiterno, glacial, de un interminable sueño aterrorizador al que, soportándolo, uno se somete, sintiendo que a partir de ese momento escapará a él.
Oui, c’était bien lui, Rudy Descas, que des adolescents du lycée Mermoz avaient roué de coups de pied avant de le projeter à terre et de lui broyer les côtes contre le goudron, finissant par lui aplatir la figure, qu’il avait tenté de garder levée, sur le sol de la cour, c’était sur sa joue à lui que se trouvaient imprimées à jamais maintenant de fines cicatrices, et ces épaules très légèrement souffrantes encore étaient les siennes — et cependant l’abjection ne lui appartenait plus, non qu’il pût ni souhaitât la renvoyer sur un autre que lui, mais parce qu’il sentait au contraire qu’il l’acceptait et que cela lui donnait dans le même temps la possibilité de s’en délivrer, comme d’un rêve sempiternel, glacial, d’un interminable rêve terrorisant auquel, tout en l’endurant, on se soumet, sentant que dès lors on y échappera.
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