Translation for "milpas" to french
Translation examples
Había una siembra de milpa y frijoles, unas cuantas palmeras adustas, tristes.
Autour, un champ de maïs et de haricots, quelques palmiers sévères et tristes.
Ya la milpa no es como antes era, cuando junto al maíz teníamos frijoles, chiles, tomatillos, calabazas…
Les champs de maïs ne sont plus comme ils étaient, quand avec le maïs nous avions des haricots rouges, des piments, des tomatilles, des courges...
El día 25 de junio del año 2004 se dirigió a trabajar a su milpa a las 6 de la mañana en auto denominado Ba Wits, con una distancia de 5 km a su casa habitacional.
2) Le 25 juin de l’an 2004, il est parti travailler dans son champ de maïs à six heures du matin, lequel est situé dans un secteur à cinq kilomètres de son domicile.
Teresa sabía que ese antes se remontaba al tiempo en que, siendo un joven campesino de Santiago de los Caballeros y harto de pasar hambre, Epifanio Vargas cambió la yunta de bueyes y las milpas de maíz y frijoles por las matas de mariguana, desmachó semillas para limpiar la mota, se rifó la vida vendiendo y se la quitó a cuantos pudo, y al fin anduvo de la sierra al llano, instalándose en Tierra Blanca cuando las redes de contrabandistas sinaloenses empezaban a encaminar hacia el norte, junto a sus ladrillos de colas de borrego, los primeros polvitos blancos que llegaban en barco y por avión desde Colombia.
Teresa savait que cet autrefois remontait au temps où, jeune paysan de Santiago de los Caballeros fatigué de crever de faim, Epifanio Vargas avait abandonné sa paire de bœufs, son champ de maïs et de haricots, s’était mis à égrainer le chanvre indien pour préparer la marijuana, avait risqué sa peau pour trouer celle de quiconque lui barrait le chemin, et avait laissé tomber dès que cela lui avait été possible pour passer finalement de la sierra à la plaine et s’installer à Tierra Blanca, quand les réseaux de contrebandiers du Sinaloa commençaient à faire passer au nord en même temps que leurs savonnettes de shit les premiers lots de coke qui arrivaient de Colombie par bateau et par avion.
El contraste entre el campo y la ciudad era como cantar cuatro milpas tan sólo han quedado o se acabaron las pelonas se acabó la presunción, o como comparar al horrendo charro lépero, el Cuatezón Beristáin, que se decía general sin haber librado más batallas que contra su suegra, con la añoranza de un refinamiento y una gracia evaporadas, las de La Gatita Blanca, María Co-nesa, que sin embargo, al cantar Ay ay ay ay mi querido Capitán dicen que evocaba a un temible militar, su amante, que capitaneaba la gavilla de asaltantes conocida como «la banda del automóvil gris», y fusilar era copiar.
Le contraste entre la campagne et la ville c’était comme dans la chanson, quatre champs de maïs, c’est tout ce qui me reste, ou celle qui disait, finies les garçonnes, finies les prétentions, ou encore comparer à Beristáin l’abominable scélérat qui se prétendait général sans avoir livré d’autre bataille que contre sa belle-mère, avec la nostalgie d’un raffinement et d’un charme à jamais disparus, ceux de María Conesa, la Petite Chatte Blanche, dont on disait néanmoins qu’en chantant, Aïe, aïe, aïe, aïe, mon cher Capitaine, elle pensait à un redoutable militaire, son amant, qui dirigeait la bande de voleurs connue sous le nom de « gang à la voiture grise ». « Fusiller » signifiait copier.
Que ya más tarde me trajeron la… DECLARACIÓN PREPARATORIA PÚBLICA. Pascual Pérez Silvano, dice claro cómo fueron sus caminos en vista de las tres personas que se encontraron en el cruce de camino con el Fausto y Sebastián que llevaban armas de calibre 22, rifle de 16 automático y que invitado a la cacería y que no iba a aceptarlo porque va a ir a traer maíz, al final acepté acompañarlo, fuimos en ese camino de Corostik, pasamos en el camino de Mustajá y seguimos el de Xaxajatik, yo ya estoy cansado y no hemos encontrado nada, les dije que yo no puedo seguir caminando más y Sebastián me dijo que soy mujer si ya no puedo seguir y seguimos caminando, hasta llegamos en donde ya no hay camino y me decidí quedar, me empezó a decir que si le dices algo primero te voy a disparar —ahí me quedé como 15 metros y ellos llegaron al camino de la milpa, no lo vi cómo entraron y empezaron a disparar sus armas, yo salí corriendo porque tuve miedo, porque yo no sabía qué iban a hacer, fueron varios tiros, si me hubieran dicho yo no iría con ellos.
Et plus tard, on m’a apporté la… Déposition publique préparatoire : « Pascual Pérez Silvano déclare clairement comment ils étaient en effet trois et les chemins qu’ils ont pris ; qu’il a rencontré à un croisement de chemin Fausto et Sebastián qui portaient des armes de calibre 22, un fusil de calibre 16, qu’ils l’ont invité à venir chasser mais lui ne voulait pas accepter parce qu’il devait aller chercher du maïs mais il a finalement accepté de les suivre : nous avons pris le chemin de Corostik. Nous avons passé le chemin de Mustajá et pris celui de Xaxajatik. Moi je suis fatigué et on n’a rien trouvé, je leur ai dit, je suis fatigué de marcher, et Sebastián m’a dit que j’étais une femmelette d’être déjà fatigué et nous avons continué à marcher, jusqu’à un endroit où il n’y a plus de chemin et j’ai décidé de rester, et Sebastián m’a dit que si j’ouvrais la bouche il me tirait dessus et je suis resté quinze mètres derrière eux et je les ai vus prendre le chemin du champ de maïs, je ne les ai pas vus y entrer mais ils ont commencé à tirer et moi je me suis sauvé en courant parce que j’ai eu peur, je ne savais pas ce qu’ils faisaient, il y a eu plusieurs tirs, si j’avais su je n’aurais pas été avec eux.
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