Translation for "mayoral" to french
Translation examples
—Pero el tono del mayoral carecía de convicción.
Mais le ton du contremaître manquait de conviction.
Simoost trabajaba para él desde hacía veinte años y Etowan jamás había detectado ese olor en su mayoral. —¿Señor? —inquirió Simoost.
Simoost était à son service depuis vingt ans et jamais Etowan Elacca n’avait perçu cette émanation chez son contremaître. — Maître ? fit Simoost.
Los sacerdotes, que recibían como diezmo el cinco por ciento de la producción de azúcar, daban su absolución cristiana: el mayoral castigaba como Jesucristo a los pecadores.
les prêtres, qui recevaient pour dîme 5 % de la production sucrière, donnaient leur absolution : le contremaître châtiait le Noir comme Jésus-Christ châtiait les pécheurs.
Tal como Ricola había supuesto, había un nutrido grupo de gente aguardando en la ribera para verlos partir. Vio a los mayorales, al capataz, a las mujeres con quienes había trabajado todos los días.
Comme l’avait pensé Ricola, plusieurs personnes étaient réunies sur la berge pour assister au départ du bateau. Elle vit là les bouviers, le contremaître, les femmes aux côtés desquelles elle travaillait chaque jour.
Al principio Etowan no vio a Simoost. Luego divisó al mayoral: caminaba de un modo peculiar, a la ventura, por el borde más alejado de la arboleda, pasaba entre los inclinados árboles, se detenía de vez en cuando para enderezar alguno.
Tout d’abord Etowan Elacca ne vit pas Simoost : puis il aperçut le contremaître avançant de manière déconcertante au bord du champ, cheminant entre les arbres inclinés, s’arrêtant de temps à autre pour en écarter un.
Y al terminar el segundo día fue el Indiano a la finca y le esperaban en el porche los peones, los mayorales, toda la servidumbre, y él entró, tiró el sombrero en una mesa y subió a la alcoba, donde, sin duda, la mujer estaría aguardando al ganador.
Et à la fin de la deuxième journée le grand-père revenu des Indes se rendit à la propriété ; les peones le guettaient sur la terrasse de l’entrée, les contremaîtres, toute la domesticité. Et il entra, jeta le chapeau sur une table et grimpa jusqu’à l’alcôve, où la femme devait certainement attendre le vainqueur.
A comienzos del siglo XVIII, mientras en las islas inglesas los esclavos convictos de crímenes morían aplastados entre los tambores de los trapiches de azúcar y en las colonias francesas se los quemaba vivos o se los sometía al suplicio de la rueda, el jesuita Antonil formulaba dulces recomendaciones a los dueños de ingenios en Brasil, para evitar excesos semejantes: «A los administradores no se les debe consentir de ninguna manera dar puntapiés principalmente en la barriga de las mujeres que andan preñadas ni dar garrotazos a los esclavos, porque en la cólera no se miden los golpes y pueden herir en la cabeza a un esclavo eficiente, que vale mucho dinero, y perderlo». En Cuba, los mayorales descargaban sus látigos de cuero o cáñamo sobre las espaldas de las esclavas embarazadas que habían incurrido en falta, pero no sin antes acostarlas boca abajo, con el vientre en un hoyo, para no estropear la «pieza» nueva en gestación.
Au début du XVIIIe siècle, tandis que dans les îles Anglaises les esclaves accusés de crimes mouraient écrasés par les batteurs des moulins à sucre, et que dans les colonies françaises on les brûlait vifs ou on les soumettait au supplice de la roue, le jésuite Antonil formulait des recommandations modérées aux propriétaires des raffineries du Brésil, afin qu’ils évitent de tels excès : « Il ne faut accepter en aucune manière que les administrateurs donnent des coups de pied principalement dans le ventre des femmes enceintes ou qu’ils bâtonnent les esclaves, car sous l’effet de la colère on ne mesure pas le châtiment, et ils peuvent atteindre à la tête un esclave travailleur qui vaut beaucoup d’argent et le rendre infirme(147). » À Cuba, les contremaîtres abattaient leurs fouets de cuir ou de chanvre sur le dos des esclaves enceintes prises en faute, mais après les avoir fait s’allonger face contre terre, le ventre dans un trou, pour ne pas blesser le « fruit » qu’il portait ;
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