Translation for "mais" to french
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A continuación, sin embargo, añadió: Mais je comprends… je comprends.
Et tout de suite, cependant, il ajouta : Je comprends… je comprends.
Estaba terriblemente desarmado y tartamudeó: 'Mais voyons, Justine, je suis un ami de Nessim!' y así sucesivamente.
Complètement ahuri, il bégaya : « Mais voyons, Justine, je suis un ami de Nessim* ! » et ainsi de suite.
Je vois une suite d’images fort nettes mais sans physionomie autre que celle qu’elles eurent à mon égard.
Je vois une suite d’images fort nettes, mais sans physionomie autre que celle qu’elles eurent à mon égard.
Malheureusement je dois partir tout de suite, mais vous pouvez manger á l'hôtel et charger l'addition sur ma chambre.
Malheureusement, je dois partir tout de suite, mais vous pouvez manger à l’hôtel et faire mettre l’addition sur ma note.
—¿Podemos ocupar el piso inmediatamente? —preguntó a la anciana. —Mais oui, Madame —contestó la vieja—. Está por alquilar, n’est ce pas? Tanto para usted como para mí lo mejor es que se ocupe cuanto antes.
« Je consentirais à vivre ici », se dit-elle, et, s’adressant à la vieille dame, elle lui demanda : « Pouvons-nous entrer tout de suite ? — Bien sûr, puisque c’est à louer. Le plus tôt sera le mieux pour vous et pour moi. »
Ahora, sin embargo, el nuevo huésped, excepto si ocupa alguna vacante que todavía existiera y que redondea el presupuesto del hogar, es alguien cuyo destino se conoce de antemano, no lo veremos salir de aquí para morir en casa o en el hospital, como sucedía en los viejos tiempos, mientras otros huéspedes cerraban con llave apresuradamente la puerta de sus habitaciones, para que la muerte no entrara y se los llevara también a ellos, ya sabemos que todo esto son cosas de un pasado que no volverá, pero alguien del gobierno tendrá que pensar en nuestra suerte, a nosotros, empresario, gerente y empleados de los hogares del feliz ocaso, el destino que se nos presenta es que no haya nadie que nos recoja cuando llegue la hora en que tengamos que bajar los brazos, mire que ni siquiera somos señores de lo que de alguna manera también era nuestro, al menos por el trabajo que nos costó durante años y años, aquí deberá sobreentenderse que los empleados han tomado la palabra, lo que queremos decir es que no habrá sitio para estos que somos en los hogares del feliz ocaso, salvo si despedimos a unos cuantos huéspedes, al gobierno se le había ocurrido la misma idea cuando aquel debate sobre la plétora de los hospitales, que la familia reasuma sus obligaciones, dijeron, pero para eso sería necesario que todavía se encontrase en ella a alguien con suficiente tino en la cabeza y bastante energía en el resto del cuerpo, dones cuyo plazo de validez, como sabemos por experiencia propia y por el panorama que el mundo ofrece, tienen la duración de un suspiro si lo comparamos con esta eternidad recientemente inaugurada, el remedio, salvo opinión más experta, sería multiplicar los hogares del feliz ocaso, no como hasta ahora, aprovechando viviendas y palacetes que tuvieron tiempos mejores, sino construyendo de raíz grandes edificios, con la forma de un pentágono, por ejemplo, de una torre de babel, de un laberinto de cnosos, primero barrios, después ciudades, después metrópolis, o, usando palabras más crudas, cementerios de vivos en donde la fatal e irrenunciable vejez sería cuidada como Dios quisiera, hasta no se sabe cuándo, pues sus días no tendrán fin, el problema es peliagudo, y sentimos que es nuestro deber llamar la atención de quien por derecho corresponda, porque, con el paso del tiempo, no sólo habrá más personas de edad en los hogares del feliz ocaso, sino que también será necesaria cada vez más gente para ocuparse de ellos, resultando que el romboide de las edades dará rápidamente una vuelta de pies a cabeza, una masa gigantesca de viejos en la parte de arriba, siempre creciendo, engullendo como una serpiente pitón a las nuevas generaciones, las cuales, a su vez, convertidas en su mayoría en personal de asistencia y administración de los hogares del feliz ocaso, después de haber empleado la mayor parte de su vida cuidando vejestorios de todas las edades, ya sean las normales, ya sean las matusalénicas, multitudes de padres, abuelos, bisabuelos, trisabuelos, tetrabuelos, pentabuelos, hexabuelos, y por ahí, ad infinitum, se unirán, una tras otra, como hojas que se desprenden de los árboles y caen sobre las hojas de los otoños pretéritos, mais oü sont les neiges d'antan, al hormiguero interminable de los que, poco a poco, consumirán la vida perdiendo los dientes y el pelo, de las legiones de los de la mala vista y mal oído, de los herniados, de los bronquíticos, de los que se fracturaron el cuello del fémur, de los parapléjicos, de los caquécticos, ahora inmortales, que no son capaces ni de retener la baba que les chorrea por la barbilla, ustedes, señores que nos gobiernan, quizá no nos quieran creer, pero lo que se nos viene encima es la peor de las pesadillas que alguna vez un ser humano pudo haber soñado, ni siquiera en las oscuras cavernas, cuando todo era terror y temblor, se vería una cosa igual, lo decimos nosotros que tenemos la experiencia del primer hogar del feliz ocaso, es cierto que entonces todo era muy pequeño, pero para alguna cosa nos ha de servir la imaginación, si quiere que le hablemos con franqueza, con el corazón en la mano, antes la muerte, señor primer ministro, antes la muerte que semejante suerte.
Ce que nous voulons dire, c’est qu’il n’y aura pas de place pour des gens comme nous dans les foyers du crépuscule heureux, sauf si nous mettons à la porte un certain nombre de pensionnaires. Le gouvernement avait déjà eu la même idée lors du débat sur le remplissage pléthorique des hôpitaux, que la famille assume donc de nouveau ses obligations, avait-on dit, mais pour ce faire il faudrait que s’y trouve encore quelqu’un avec suffisamment de jugeote dans la tête et d’énergie dans le reste du corps, qualités dont la durée de validité, comme nous le savons par notre expérience personnelle et par le panorama que nous offre le monde, n’est pas plus longue que le temps d’un soupir, en comparaison avec cette éternité inaugurée récemment. Le remède, sauf avis contraire plus autorisé, serait de multiplier les foyers du crépuscule heureux, pas comme jusqu’à présent en profitant de villas et de demeures qui ont connu naguère un sort meilleur, mais en construisant à partir de zéro de grands édifices, avec la forme d’un pentagone, par exemple, d’une tour de babel, d’un labyrinthe de cnossos, d’abord des quartiers, puis des villes, puis des métropoles, ou, pour user de vocables plus crus, des cimetières de vivants où la vieillesse fatale et inexorable serait soignée comme dieu le voudrait, jusqu’à on ne sait quand, car leurs jours n’auraient pas de fin. Le problème le plus épineux, et nous nous sentons obligés d’attirer sur lui l’attention de qui de droit, c’est que, avec le passage du temps, non seulement il y aura de plus en plus de pensionnaires âgés dans les foyers du crépuscule heureux, mais aussi il faudra de plus en plus de personnel pour s’en occuper, le résultat étant que le rhomboèdre des âges sera rapidement cul par-dessus tête, avec une masse gigantesque de vieillards au sommet, une masse toujours croissante, engloutissant comme un python les nouvelles générations, lesquelles, transformées à leur tour en personnel administratif et d’assistance dans les foyers du crépuscule heureux, après avoir gaspillé leurs meilleures années à soigner des vioques de tous les âges, d’un âge normal à un âge mathusalémien, des multitudes de pères, grands-pères, arrière-grands-pères, arrière-arrière-grands-pères, arrière-arrière-arrière-grands-pères, arrière-arrière-arrière-arrière-grands-pères, et ainsi de suite, ad infinitum, les uns après les autres, comme feuilles se détachant des arbres et tombant sur les feuilles des automnes précédents, mais où sont les neiges d’antan, ils rejoindront la fourmilière interminable de ceux qui peu à peu passent leur vie à perdre leurs dents et leurs cheveux, les légions de ceux qui voient et entendent mal, ont des hernies, des catarrhes chroniques, se sont cassé le col du fémur, les paraplégiques, les cachectiques désormais immortels et incapables d’essuyer la bave qui leur coule du menton, excellences, messieurs qui nous gouvernez, vous ne nous croirez peut-être pas, mais ce qui nous tombe sur le paletot est le pire des cauchemars qu’un être humain ait jamais pu rêver, pas même dans les sombres cavernes, quand tout n’était que terreur et tremblement, n’aura-t-on vu pareille chose, nous le disons, nous qui avons l’expérience du premier foyer du crépuscule heureux, il est vrai qu’alors tout était à petite échelle, mais l’imagination doit bien servir à quelque chose, si vous voulez que nous vous parlions avec franchise, avec le cœur sur la main, plutôt la mort, monsieur le premier ministre, plutôt la mort qu’un sort pareil.
Ese relato se titula: Plus loin, mais où?
Ce récit s’appelle : Plus loin, mais où ?
Mais (un poco más fuerte que «pero» o incluso que «sin embargo») ella tenía algunas buenas noticias para él.
Mais ! (un rien plus fort que but et même que however) elle avait de bonnes nouvelles pour lui.
Mais je suis beaucoup plus profiteur que patriote.
Mais je suis beaucoup plus profiteur que patriote.
Precisa en portugués: —Nunca mais! ¡Nunca más! Y Chabotte se va.
Elle précise, en portugais : — Nunca mais ! Jamais plus ! Et Chabotte s’en va.
Mais, quel grand plaisir de vous revoir! —y le sonrió con un gesto mucho más elocuente que sus palabras—.
Mais quel grand plaisir de vous revoir* ! » Et elle lui avait adressé un sourire bien plus éloquent que ses mots.
Metimo-lo coche na cuneta, e a minha mulher e mais eu temos que chegar a Vigo canto antes.
Notre voiture est sortie de la route, et ma femme et moi voudrions rejoindre Vigo au plus vite.
Mais oui, elle est tout ce qu'il y a de plus russe —respondió con su delicada voz cantarina—.
— Mais oui, elle est tout ce qu’il y a de plus russe4, répondit-elle de sa voix douce et argentine.
Lo llamaremos. —¿Para qué? ¿Quienes son ustedes? —Mais tarde! La voz bajó de tono hasta convertirse en un ronco susurro que se cortó al interrumpirse la comunicación.
Nous vous appellerons. — À quel propos ? Qui êtes-vous ? — Mas tarde ! » La voix baissa jusqu’à n’être plus qu’un souffle rauque et disparut brusquement avec le déclic de la ligne.
Mais oui. Estoy confundido, muy confundido. Si hallase algo que me ayudase... Japp no escuchaba. Estaba examinando el papel adherido a la cerbatana.
— Mais oui… je suis perplexe, très perplexe. Si seulement je découvrais un indice… Japp ne l’écoutait plus. Il examinait le débris d’étiquette.
Contempló con expresión crítica a John Reed y dijo: le genre de Braque mais beaucoup moins rigolo, del tipo de Braque pero mucho menos divertido.
Il examina John Reed d'un œil critique et il dit: "Le genre de Braque, mais beaucoup plus rigolo."
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