Translation for "más metafísico" to french
Más metafísico
Translation examples
Wallace Stevens es el más metafísico de los poetas estadounidenses.
Wallace Stevens est le plus métaphysique des poètes américains.
Adoraba los foxtrots más abstractos y las piruetas más metafísicas de un Dostoievski, un Gide o un Mailer, ¿y a qué estudiante de séptimo curso no le ha ocurrido igual?
Il s’enthousiasmait, et quoi de plus normal pour un élève de sixième, pour les fox-trots plus abstraits et les twists plus métaphysiques d’un Dostoïevski, d’un Gide, d’un Mailer.
Podría pensarse que lo primero que se asocia a «sombra» es oscuridad, o amenaza, o quizá olvido, pero es posible que la idea central sea más metafísica.
On pourrait penser que les principales associations du mot shadow sont les ténèbres, ou la menace, ou peut-être l’oubli, mais l’idée réelle est peut-être plus métaphysique.
Todo el día en el salón de un hotel, habéis trabajado en chino, en inglés, en tailandés, en portugués, en checo, para tratar de responder al más metafísico de los interrogantes: ¿quién es la mujer Elle?
Toute la journée dans le salon d’un hôtel, vous avez planché en chinois, en anglais, en thaï, en portugais, en tchèque pour essayer de répondre à la plus métaphysique des interrogations : qui est la femme Elle ?
Más o menos esa fue toda la historia: la fragancia de Irina, su pobre originalidad que no guardaba relación alguna con la vida verdadera ni con sus ojos de otro mundo, más metafísicos y más dementes de lo que habían sido jamás los escritos de los iluminados y los alquimistas.
Et c’était à peu près toute l’histoire : la fragrance d’Irina, sa malheureuse originalité, sans aucun rapport ni avec sa vie réelle ni avec ses yeux d’un autre monde, lesquels étaient plus métaphysiques et plus fous que n’avaient jamais été les écrits des illuminés et des alchimistes.
Le gustaba pensar que lo había heredado de su padre, un comerciante de vinos de éxito, cuyo olfato para los claretes aceptables aprecios populares había conseguido sufragar aquella educación tan costosa que, junto con el otro olfato, más metafísico, de Frensic, le proporcionaba ventaja sobre sus competidores.
C’était, aimait-il à penser, quelque chose qu’il avait hérité de son père, un marchand de vin qui avait réussi et dont le propre nez pour dénicher un bordeaux délectable et bon marché avait permis de payer cette éducation de riche qui, alliée au nez plus métaphysique de Frensic, lui avait fait prendre l’avantage sur ses concurrents.
Lo más metafísico que Mason recuerda haberle oído decir a Dixon es: «Debo mi existencia a un par de zapatos». Su padre, George Dixon, ha llegado tarde al encuentro trimestral, una noche húmeda, cuando todo el mundo está ya en cama, y hay un montón de zapatos por lustrar. En ese gran montículo de calzado, sólo ve el par que pertenece a Mary Hunter.
La déclaration la plus métaphysique de Dixon dont Mason se souviendra jamais est la suivante : « Je dois mon Existence à une paire de chaussures. » Son Père, George Dixon Sr, arrivé à cheval et en retard à une réunion trimestrielle, – une nuit humide, tout le monde couché, un tas de chaussures laissées à nettoyer, – dans l’immense désordre de cette disposition, il n’avise que la paire appartenant à Mary Hunter.
Le está chorreando agua caliente por la cara. En los días que siguieron, se lanzó indomablemente a un popurrí de salomas adaptadas: ¿Qué hacemos con el marino borracho?, provocó en su nueva nuera muchas risas insuficientemente sofocadas, lo que hizo que Epifania, frunciendo el ceño, cambiara de canción: Boga, boga, boga con tu amado, corrienteabajo, cantó, aconsejando quizá a Belle que se concentrara en sus obligaciones conyugales, y añadió luego la acotación, algo más metafísica: Moralmente, moralmente, moralmente, moralmente… ¡kir-ranch!… una esposa no es una reina.
Des ennuis-d’eau-chaude lui coulent du visage. » Dans les jours qui suivirent, elle se lança de façon résolue dans un pot-pourri de chansons de marins personnalisées : Que ferons-nous du mâtin ranimé ? causa à sa nouvelle belle-fille une joie insuffisamment étouffée, et Epifania fronça le sourcil et changea de chanson : Souque, souque, souque, ton beau, descends doucement l’écornant, chanta-t-elle, en conseillant peut-être à Belle de se concentrer sur ses devoirs d’épouse, puis elle lui balança cette remarque plus métaphysique : Moralement, moralement, moralement, moralement… cra-crac !… l’épouse n’est pas une tante.
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