Translation for "lugar geométrico" to french
Lugar geométrico
Translation examples
¿Ese paradójico obrero de la reconciliación, ese lugar geométrico?
Ce paradoxal ouvrier de la réconciliation, ce lieu géométrique ?
el cielo se reducía a un lugar geométrico, el aire ya no era ni perfume ni caricia, se confundía con el espacio desnudo.
le ciel se réduisait à un lieu géométrique, l’air n’était plus ni parfum ni caresse, il se confondait avec l’espace nu.
La tierra se perdía por igual en su curvatura hacia los cuatro puntos cardinales y de dichos límites estaban rodeados y de ellos eran lugar geométrico.
De toute part la terre s’effaçait uniformément dans sa courbure et ils étaient circonscrits par ces limites et ils en étaient le lieu géométrique.
Tal era, aproximadamente, el lugar geométrico en que se encontraban, en que se cruzaban los pensamientos de los ancianos presentes, casi todos profesionales de la observación humana.
Tel était à peu près le lieu géométrique où se rencontraient, se croisaient les pensées des vieillards présents, presque tous professionnels de l'observation humaine.
Tampoco perseveró en sus experimentos con los sueños —el lugar geométrico donde el sexo se alía con el cerebro y saca el corazón del tablero de ajedrez—, porque había estado en la gruta en la que nada la sirena.
Il ne poursuivit pas non plus ses expériences sur les rêves – le lieu géométrique où le sexe s’allie au cerveau, et où le cœur est écarté du jeu –, car il était allé dans la Caverne où nage la Sirène.
Por otra parte, aun si la explicación fuera válida para las negaciones radicales y simples que niegan a un objeto determinado toda especie de presencia en el seno del ser («El centauro no existe»; «No hay razón para que se retrase»; «Los antiguos griegos no practicaban la poligamia»), las cuales, en rigor, pueden contribuir a constituir la Nada como una suerte de lugar geométrico de todos los proyectos fallidos, de todas las representaciones inexactas, de todos los seres desaparecidos o cuya idea sólo es forjada, tal interpretación del no-ser no sería válida ya para cierto tipo de realidades —a decir verdad, las más frecuentes— que incluyen en su propio ser al no-ser.
Et d’ailleurs, si même l’explication valait pour les négations radicales et simples qui refusent à un objet déterminé toute espèce de présence au sein de l’être (« le Centaure n’existe pas » — « Il n’y a pas de raison pour qu’il soit en retard » — « Les anciens Grecs ne pratiquaient pas la polygamie ») et qui, à la rigueur, peuvent contribuer à constituer le néant comme une sorte de lieu géométrique de tous les projets manqués, de toutes les représentations inexactes, de tous les êtres disparus ou dont l’idée est seulement forgée, cette interprétation du non-être ne vaudrait plus pour un certain type de réalités — à vrai dire les plus fréquentes — qui incluent le non-être dans leur être.
Vamos, por el contrario, a aprovechar un brusco aguacero de la primavera de 1942 sobre el citado cementerio (un año más tarde, es decir, años antes del día de octubre de 1975 que es objeto de este relato, pero también años después de las visitas de Artigas a la calle Schoelcher, cuando frecuentó un poco a Jean-Paul Sartre, hacia mediados de los años 60, se veía de nuevo la extensión del cementerio Montparnasse desde la ventana del pequeño apartamento que Sartre ocupaba entonces: el cementerio en cuestión era, pues, uno de los lugares geométricos del recuerdo), aguacero o chaparrón que nos enturbiará la vista, que nos obligará, sin duda, a cerrar los ojos para saborear ese gusto de la lluvia, que está exactamente en los antípodas del gusto de las lágrimas, y aprovecharemos dichos ojos cerrados, este fundido en negro, para saltarnos varias páginas inútiles, o demasiado digresivas, de este relato y encontrar de nuevo a Carlos y Anna-Lise contemplando juntos una fotografía.
Nous allons profiter, bien au contraire, d’une brusque averse du printemps 1942 – aguacero, dit-on en castillan, et ça rappellera sans doute quelque chose aux lecteurs de César Vallejo, surtout dans les parages du cimetière Montparnasse – brusque averse sur ledit cimetière (des années plus tard, c’est-à-dire des années avant la journée d’octobre 1975 qui est l’objet de ce récit, mais aussi des années après les visites d’Artigas rue Schoelcher, lorsqu’il a quelque peu fréquenté Jean-Paul Sartre, vers le milieu des années 60, on voyait de nouveau l’étendue du cimetière Montparnasse, de la fenêtre du petit appartement qu’il occupait alors : le cimetière en question était donc l’un des lieux géométriques du souvenir), averse ou giboulée qui brouillera notre vue, qui nous obligera sans doute à fermer les yeux pour savourer ce goût de la pluie qui est exactement aux antipodes du goût des larmes, et nous profiterons de ces yeux fermés, de ce fondu au noir pour sauter quelques pages inutiles, ou par trop digressives, dans ce récit, et retrouver Carlos et Anna-Lise contemplant ensemble une photographie.
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