Translation for "lucimiento" to french
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Monsieur de Granville aceptó aquella defensa como una ocasión de debutar con lucimiento en el foro.
Monsieur de Grandville accepta cette défense comme une occasion de débuter avec éclat.
Yo odiaba a ese Thomas Bernhard, era indudablemente un escritor mucho mejor que yo y, sin embargo, no era más que un lustrador, un calcetero, un raciocinador de vía estrecha, un fabricante de perogrulladas silogísticas, un tuberculoso sin desvirgar, un tergiversador especialista en salirse por la tangente, un escupidor de diatribas enculadas de moscas salzburguesas, un fanfarrón que lo hacía todo mejor que todo el mundo, ir en bici, escribir libros, clavar clavos, tocar el violín, cantar, filosofar y refunfuñar por mezquindad, un oso con mala uva devastado por los tics a fuerza de asestar siempre los mismos zarpazos, con su gran pata tosca y terca de cateto holandés, a las mismas quimeras, a su país natal y a sus compatriotas, a los nazis y a los socialistas, a las monjas, a los malos actores, a todos los demás escritores y en especial a los buenos, así como a los críticos literarios que alababan o despreciaban sus libros, sí, un pobre Don Quijote engreído, miserable vienés traidor a todo que no cesaba de proclamar su propio genio libro tras libro, que no son sino poca cosa, pequeñas ideas, pequeños rencores, pequeñas imágenes, pequeñas impotencias con las que ese rascatripas tejía doscientas páginas, sin moverse un pelo del fragmento al que se había propuesto sacar brillo con su inigualable viola, hasta el lucimiento total o la desaparición, hasta el emborronamiento de sus líneas, dándole vueltas a la cabeza del lector con las repeticiones de su monotema obsesivo, sacándole de quicio mediante pequeños toques de arco tan exasperantes como el surco de un disco rayado, hasta que esos diminutos cuadros (un niño durante la guerra que practica el violín en el armario de los zapatos del asilo de huérfanos), esos diminutos hallazgos (el falso musicólogo que escribe todo un volumen para reconocer que es definitivamente incapaz de escribir su ensayo sobre Mendelssohn-Bartholdy) se convierten, hinchados a tope por la belleza de esa escritura —no hay más remedio que inclinarse en algún momento de esta sátira—, en mundos enteros en sí mismos, en perfectas cosmogonías.
Je haïssais ce Thomas Bernhard, il était indéniablement bien meilleur écrivain que moi, et pourtant, ce n’était qu’un patineur, un tricoteur, un ratiocineur qui tirait à la ligne, un faiseur de lapalissalades syllogistiques, un puceau tubard, un tergiverseur noyeur de poisson, un diatribaveur enculeur de mouches salzbourgeoises, un vantard qui faisait tout mieux que tout le monde, du vélo, des livres, de l’enfonçage de clous, du violon, du chant, de la philo et de la hargne à la petite semaine, un ours mal léché ravagé par les tics à force d’assener les mêmes coups de patte, de sa grosse lourde patte têtue de péquenot néerlandais, sur les mêmes chimères, son pays natal et ses patriotes, les nazis et les socialistes, les sœurs, les théâtreux, tous les autres écrivains et spécialement les bons, comme les critiques littéraires qui encensaient ou méprisaient ses livres, oui, un pauvre Don Quichotte imbu de lui-même, ce misérable Viennois traître à tout qui n’en finissait pas de proclamer son génie à longueur de livres, qui n’étaient que de toutes petites choses, de toutes petites idées, de toutes petites rancœurs, de toutes petites images, de toutes petites impuissances sur lesquelles ce violoneux tricotait et patinait sur deux cents pages, sans bouger d’un poil sur le fragment qu’il s’était entrepris de lustrer, de son inégalable alto, jusqu’à l’éclat total ou à l’effacement, au brouillage de ses lignes, prenant la tête du lecteur avec les répétitions de son surplace obsédant, travaillant ses nerfs à petits coups d’archet aussi exaspérants qu’un sillon de disque rayé, jusqu’à ce que ces minuscules tableaux (un enfant pendant la guerre qui s’exerce au violon dans le placard à chaussures de l’orphelinat), ces minuscules trouvailles (le faux musicologue qui prend tout un volume pour convenir qu’il est définitivement incapable d’écrire son essai sur Mendelssohn-Bartholdy) deviennent, gonflés à bloc par la beauté de cette écriture, il fallait bien s’incliner à un moment ou à un autre de cette satire, des mondes entiers en eux-mêmes, de parfaites cosmogonies.
— ¿Y qué sacó de sus lucimientos de detective? —Todo, jefe.
— Alors, brillant détective, qu’est-ce que vous avez trouvé ? — Tout, chef.
Por lo demás, sé sencillo, apostólico; nada de ingenio, nada de lucimiento, nada de rapidez en las réplicas;
Du reste, sois simple, apostolique, pas d’esprit, pas de brillant, pas de repartie prompte;
—“¡Magnífico para una ópera! No falta nada. Hay trabajo para los maquinistas. Papel de lucimiento para la soprano —la india esa, enamorada de un cristiano— que podríamos confiar a una de esas hermosas cantantes que…” —“Ya sabemos que ésas no te faltan…”
« Magnifique pour un opéra ! Rien n’y manque. Les machinistes ne chômeront pas. Il y a un rôle brillant pour la soprano, cette Indienne amoureuse d’un chrétien, que nous pourrions confier à une de ces jolies chanteuses qui... — Oui, nous savons que tu ne t’en prives pas..., dit Georg Friedrich.
Como el riachuelo de Ibaeta cubre en sus trechos más hondos hasta las rodillas, va a la ciudad y se tira al Urumea desde el puente de… (Elegir uno que me permita cierto lucimiento en la descripción, dicho sea esto con la modestia que debería caracterizarme). Ahora bien, ¿cómo lleva la chavala las piedras hasta allí?
Comme le ruisseau qui traverse Ibaeta n’arrive, dans ses endroits les plus profonds, qu’aux genoux, elle se rend à la ville et se jette dans l’Urumea depuis le pont de... (En choisir un qui me permette de faire une description brillante, malgré tout avec la modestie qui me caractérise.) Cela dit, comment va faire la jeune fille pour porter les cailloux jusque-là ?
Y los que no han conseguido jamás dominar a los toros difíciles ni corregir sus faltas, se contentan con defenderse contra las embestidas de un animal ordinario y esperan que uno de esos toros que embisten por derecho se ofrezca ante ellos para llevar a cabo un trabajo de lucimiento. Esos toreros son los que no han aprendido a lidiar los toros como es menester, los que han rehuido el aprendizaje porque han sido ascendidos a matadores después de alguna tarde brillante en Madrid o una bonita serie de corridas en provincias, donde lidiaron toros que embestían bien. Esos toreros poseen arte, personalidad, cuando su personalidad no ha desaparecido a fuerza de sustos, pero no tienen oficio; y, como el valor proviene de la confianza, sienten miedo porque no conocen suficientemente su profesión. Esos toreros no son cobardes por naturaleza, porque entonces nunca hubieran sido toreros, pero se hacen cobardes a fuerza de encontrarse con toros difíciles, sin tener el conocimiento necesario, la experiencia ni el entrenamiento conveniente para manejarlos, y, como de cada diez toros que lidian puede ocurrir que no haya más que uno solo que sea el animal ideal, aquel con el que ellos pueden lucirse la mayor parte del tiempo, cuando acertéis a verlos, su trabajo será pesado, a la defensiva, torpe, cobarde e insatisfactorio.
Ces toreros sont les seuls qui n'ont jamais appris à combattre les taureaux, qui ont esquivé l'apprentissage parce qu'ils ont été promus matadors après quelque brillant après-midi à Madrid, ou une belle série en province, où ils ont eu des taureaux chargeant à leur convenance. Ils possèdent de l'art, de la personnalité, lorsque les personnalités n'ont pas pris la fuite, mais il n'ont pas de métier et, puisque le courage vient avec la confiance en soi, ils ont souvent peur simplement parce qu'ils ne connaissent pas leur profession convenablement. Ils ne sont pas naturellement couards, sinon ils ne seraient jamais devenus toreros, mais il deviennent couards à force d'affronter des taureaux difficiles sans avoir les connaissances, l'expérience ni l'entraînement nécessaires pour les manier ; et comme sur dix taureaux qu'ils combattent il se peut qu'il n'y en ait pas un seul qui soit l'animal idéal avec lequel seul ils savent travailler, la plupart du temps, quand vous les verrez, leur travail sera lourd, passif, ignorant, poltron et insatisfaisant.
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