Translation for "le apremio" to french
Translation examples
—me apremia un auxiliar de vuelo de aspecto cansado—.
« Schnell ! m’exhorte une hôtesse de l’air, harassée.
—Hazlo, Magnus Chase —me apremió Fenrir—.
– Fais-le, Magnus ! m’a exhorté Fenrir.
No obstante el apremio de Witts, al parecer Lucy no transmitió el mensaje a su señor inmediatamente.
Malgré les exhortations de Pewley Witts, Lucy ne porta pas immédiatement le message à son maître, sembla-t-il.
No he conseguido localizar a sus padres, al parecer viven en un pueblecito cercano a Timişoara, pero sí he hablado con sus vecinos en El Pinell de Brai. Dicen que era buena gente, que no hacía cosas raras, ni siquiera llevaba a hombres a su casa, pero... —Pero ¿qué? —le apremia Gomà.
Je n’ai pas réussi à localiser ses parents, ils vivraient dans un village près de Timişoara. Mais j’ai parlé avec ses voisins d’El Pinell de Brai, selon eux c’était une brave femme, son comportement n’avait rien d’étrange, elle ne faisait même pas venir des hommes chez elle, mais… — Mais ? l’exhorte Gomà.
Recitó de manera emocionante, y habló largo y tendido del esplendor sin par de la juventud, de la velocidad con que transcurre, de la terrible tristeza de la vida que apremia en su paso, sin que nadie sea capaz de detenerla; habló de la sabiduría de Omar al conminarnos a disfrutar de las cosas mientras aún podamos.
Comme la jeunesse était magnifique et comme elle passait vite ! dit-elle. Puis elle parla de la terrible tristesse de la vie qui s’écoulait inexorablement et de la sagesse d’Omar qui nous exhorte à jouir de ses plaisirs tant que nous le pouvons.
Una vez, hablando de los inviernos en el centro de Florida, me dijo muy solemne que «solemos tener heladas una o dos veces cada invierno, pero este año ha habido un par». Katz, por su parte, aborrecía su compañía y torcía el gesto ante sus incesantes apremios a que acelerase el paso.
À un moment, faisant référence aux hivers de Floride, elle m’a gravement annoncé : « D’habitude, il ne gèle qu’une ou deux fois, mais cette année il a gelé deux fois. » Katz, de son côté, redoutait clairement sa compagnie et grimaçait sous ses constantes exhortations à accélérer l’allure.
No a llamar a un médico (pero a qué médico a las tres de la madrugada, los médicos ni siquiera a la hora de comer van ya a las casas), ni a avisar a un vecino (pero a qué vecino, yo no los conocía, no estaba en mi casa ni había estado nunca en aquella casa en la que era un invitado y ahora un intruso, ni siquiera en aquella calle, pocas veces en el barrio, mucho antes), ni a llamar al marido (pero cómo podía llamar yo al marido, y además estaba de viaje, y ni siquiera sabía su nombre completo), ni a despertar al niño (y para qué iba a despertar al niño, con lo que había costado que se durmiera), ni tampoco a intentar auxiliarla yo mismo, se sintió mal de repente, al principio pensé o pensamos que le habría sentado mal la cena con tantas interrupciones, o pensé yo solo que quizá se estaba ya deprimiendo o arrepintiendo o que le había entrado miedo, las tres cosas toman a menudo la forma del malestar y la enfermedad, el miedo y la depresión y el arrepentimiento, sobre todo si este último aparece simultáneamente con los actos que lo provocan, todo a la vez, un sí y un no y un quizá y mientras tanto todo ha continuado o se ha ido, la desdicha de no saber y tener que obrar porque hay que darle un contenido al tiempo que apremia y sigue pasando sin esperarnos, vamos más lentos: decidir sin saber, actuar sin saber y por tanto previendo, la mayor y más común desgracia, previendo lo que viene luego, percibida normalmente como desgracia menor, pero percibida por todos a diario.
Pas le temps d’appeler un médecin (mais quel médecin à trois heures du matin, les médecins ne se dérangent même plus aux heures des repas), ni d’avertir un voisin (mais quel voisin, je n’en connaissais aucun, je n’étais pas chez moi et n’étais jamais venu dans cette maison où j’étais un invité et à présent un intrus, ni même dans cette rue, rarement dans ce quartier, longtemps auparavant), ni d’appeler son mari (mais comment pouvais-je appeler son mari, d’ailleurs il était en voyage et je ne savais pas son nom complet), ni de réveiller l’enfant (mais pourquoi aurais-je réveillé l’enfant, après tout le mal qu’on avait eu à l’endormir), ni même d’essayer de lui porter secours moi-même, elle s’était brusquement sentie mal, au début j’ai pensé ou nous avons pensé que le repas ne passait pas avec toutes ces interruptions, ou j’ai pensé qu’elle était peut-être en train de déprimer ou de se repentir ou qu’elle avait eu peur, ces trois choses prennent souvent la forme du malaise et de la maladie, la peur, la dépression et le repentir, surtout si ce dernier apparaît simultanément aux actes qui le provoquent, tout à la fois, un oui, un non, un peut-être, et pendant ce temps tout a continué et a passé, le malheur de ne pas savoir et de devoir agir parce qu’il faut bien donner un contenu au temps qui presse et passe sans nous attendre, nous allons plus lentement : décider sans savoir, agir sans savoir et donc en prévoyant, le plus grand et le plus commun des malheurs, prévoir ce qui vient après, perçu généralement comme le moindre des malheurs, mais perçu par tout le monde, chaque jour.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test