Translation for "la misa" to french
La misa
Translation examples
Misa no os puedo ofrecer, pues somos todos buenos protestantes.
La masse[12], je ne puis vous l’offrir, car nous sommes bons protestants.
Y os ruego que recordéis un viejo y anticuado proverbio según el cual ni carne ni misa dañan al hombre.
Et je vous prie de vous rappeler que c’est comme pour les vieilles truies grasses : que la viande et la masse n’ont jamais fait de tort à personne.
Murieron juntos durante una misa, cogidos tan fuerte de las manos que el FBI tuvo que romper dedos para separarlos.
Ils étaient morts en masse, ensemble, en se tenant mains serrées, tellement serrées que le FBI avait dû écarter leurs doigts morts un à un pour les séparer.
La traducción era sencilla: una toilette maratoniana (con mucha pose y mucho acicalamiento), una saturnal de juegos preliminares y una misa negra de copulación contorsionista.
C’était facile à traduire : une exhibition marathon (avec de nombreuses poses aguichantes), des saturnales de préliminaires, et la masse noire d’un coït de contorsionniste.
Era una mujer religiosa, asistía a misa en la iglesia de San Silvestre, adonde acudieron en masa los sorprendidos parroquianos para rendirle honores.
Elle était très religieuse et fréquentait l’église Saint-Sylvester, où les paroissiens stupéfaits s’étaient rassemblés en masse lors d’une messe en sa mémoire.
TERCER DÍA DE LA VISITA DEL PAPA A FRANCIA Ofició la Misa en la Nueva Notre Dame Habló a los fieles sobre las ventajas del celibato.
TROISIÈME JOURNÉE DU NOUVEAU PAPE EN FRANCE La foule se masse à Notre-Dame. Le Très Saint-Père prône le célibat aux fidèles.
Al menos mis viejas piedras, mi retablo y mi latín son más dignos que todas esas canciones con megafonía, las pantallas gigantes y la santa misa convertida en espectáculo para masas aturdidas por la electrónica.
Au moins, mes vieilles pierres, mon retable et mon latin sont plus dignes que toutes ces chansonnettes, ces amplificateurs, ces écrans géants et la sainte messe transformée en spectacle pour les masses abruties par l’électronique.
Entramos en la plaza precisamente a la hora de salir de misa y nos esforzamos por aguantar el tipo en nuestro cochazo, mientras la muchedumbre de fieles pasaba a ambos lados del DS 19 mirándonos de arriba abajo.
Nous avons débouché sur la place juste au moment de la sortie de la messe et nous nous sommes efforcés de faire bonne contenance dans notre grosse automobile, tandis que la masse des fidèles s’écoulait des deux côtés de la DS 19 en nous dévisageant.
Mientras Emma acudía a las citas con la modista, se probaba vestidos, degustaba los platos y los vinos y aprobaba las decisiones de Elisabeth sobre la decoración de las mesas, la distribución de los asientos, el jardín con los pabellones y las mesas, el tema de la misa, las calesas, los coches, el uniforme del personal y muchas cosas más, las personas que la rodeaban se convirtieron en una multitud irreconocible.
À mesure qu’Emma se présentait à des rendez-vous, essayait, testait, contrôlait, goûtait et dégustait, donnait son accord aux décisions d’Elisabeth concernant la décoration du repas, le plan de table, les chapiteaux et tables hautes agrémentant le jardin, mais aussi les prières, l’équipement des fiacres, des voitures, la tenue du personnel et tant d’autres sujets encore, les gens qui s’agitaient autour d’elles se transformaient en une masse anonyme.
Todo esto hace que X se sienta un poco mejor —ya sea porque el consejo de Y es profundo y alentador o bien porque X ha obtenido alivio del hecho de vomitar finalmente los secretos perversos que le han estado corroyendo— y que las cosas continúen más o menos como antes, con el odioso deterioro del viejo, la pena de la mujer de X y el histrionismo interminable y las reuniones de su familia, y con X sintiéndose todavía lleno de odio, confusión y resquemor hacia sí mismo detrás de su sonrisa calurosa y tensa, pero ahora pugnando por percibir todo este torbellino séptico emocional como un regalo sincero hacia su querida mujer y —gesto de dolor— hacia su suegro, y durante los seis meses siguientes los únicos avances significativos son que la mujer de mirada vidriosa de X y una de sus hermanas empiezan a tomar el antidepresivo Paxil y que dos sobrinos políticos de X son detenidos por presuntos abusos sexuales a una chica mentalmente disminuida en el ala de Educación Especial de su instituto. Y las cosas continúan de este modo —X sigue acudiendo periódicamente con el sombrero en la mano a Y en busca de alguien que le escuche con simpatía y para llevar a cabo ocasionales experimentos de reflexión y sigue siendo una presencia pasiva pero tan abrumadoramente constante en la cabecera patriarcal y en los dramáticos consejos familiares que el tío abuelo más bromista de la mujer de X empieza a decir en broma que van a tener que echarlo— hasta que por fin un día a primera hora de la mañana, casi un año después del primer diagnóstico, el viejo inoperablemente devastado, desesperado y aturdido por la enfermedad exhala por fin su último suspiro y expira con el estremecimiento poderoso de un sábalo muerto a garrotazos,[4] y lo embalsaman, lo maquillan y lo visten (como por codicilo) con su toga de juez y le dedican una misa de cuerpo presente durante la cual el féretro es alzado mediante unas andas por encima de las cabezas de todos los asistentes, ceremonia durante la cual los ojos de la pobre mujer de X parecen dos quemaduras de cigarrillo en una manta acrílica, y en la cual X, situado al lado de su mujer, llora durante más tiempo y de forma más estrepitosa que nadie —provocando primero la sospecha, pero luego la sorpresa conmovida de la muchedumbre de sus rigurosamente enlutados parientes políticos—, y su aflicción es tan sincera y tan extrema que a la salida de la sacristía episcopaliana es la propia suegra larguirucha quien le pone su pañuelo en la mano a X y lo consuela con una breve presión en el brazo izquierdo mientras la ayudan a entrar en la limusina, y esa misma tarde X recibe una llamada telefónica personal del mayor de los hijos de su suegro, que es también el de la mirada más férrea, invitándole a asistir, junto con la señora X, a una Reunión especialmente privada y exclusiva postinternamiento del círculo-interior-de-la-familia-de-luto en la biblioteca de la opulenta casa del difunto juez, un gesto de inclusión que arranca las primeras lágrimas de felicidad de la señora X desde mucho antes de empezar a tomar Paxil.
À l’issue de cette discussion, X se sent un peu mieux – soit parce que le plan d’action préconisé par Y est pénétrant et revigorant, soit simplement parce qu’il est soulagé d’avoir enfin vomi les secrets dont il sentait la malignité le ronger – et les choses continuent à suivre à peu près le même cours : le lent déclin de l’odieux beau-père, le chagrin de la femme de X, le cinéma inlassable des conseils de famille et, toujours, derrière son sourire chaleureux et pincé, les sentiments de haine, de confusion et d’auto-urtication de X, qui lutte désormais pour tâcher de considérer tout ce maelström émotionnel, malgré son infestation, comme un cadeau sincère à sa femme adorée et à son – grimace de dégoût crispée – beau-père, et pour les six mois qui suivent seuls deux autres développements méritent d’être rapportés : l’épouse aux yeux creusés et l’une des sœurs se voient prescrire l’antidépresseur Paxil et deux des neveux sont arrêtés pour l’agression présumée d’une élève handicapée mentale en classe d’adaptation dans leur collège. Et les choses suivent leur cours – de temps en temps X revient la queue entre les jambes trouver auprès de Y une oreille sympathique et se livrer à une ou deux expériences de pensée, et sa présence passive au chevet du patriarche ainsi qu’aux conseils de famille fébriles se fait si extraordinairement constante que le plus facétieux des grands-oncles de sa femme fait mine de se demander s’il ne faudrait pas l’épousseter – jusqu’à ce qu’un jour, enfin, par un beau matin, plus d’un an après le diagnostic, le vieux, l’inopérable, le ravagé, l’agonisant, l’illucide beau-père finisse par rendre son dernier soupir, en expirant dans le puissant sursaut du tarpon achevé au gourdin(18), et qu’on l’embaume, le farde, le revête de sa robe de juge (tel que stipulé dans son testament), et qu’on honore sa mémoire au cours d’une cérémonie funéraire où un piédestal infiniment pompeux élève le cercueil bien au-dessus de l’assemblée, et à cette cérémonie les yeux à vif de la pauvre femme de X ressemblent à deux énormes brûlures de cigare au milieu d’une couverture en acrylique, et à ses côtés se tient X qui – éveillant d’abord les soupçons puis la surprise émue de la belle-famille massée et vêtue de noir – pleure plus fort et plus longtemps que quiconque, brisé par une détresse si violente et sincère qu’au sortir de la sacristie épiscopale c’est la frêle belle-mère en personne qui lui presse son propre mouchoir dans la paume et le console en lui serrant brièvement l’avant-bras tandis qu’on l’aide à monter dans sa limousine, et l’après-midi même X reçoit un coup de fil du fils aîné, celui qui a hérité du regard à l’acier le mieux trempé, l’invitant, avec Mrs. X, au très sélect conseil postinhumation du Comité central de la famille endeuillée, qui se tiendra en cercle restreint chez le défunt juge, dans la bibliothèque de son opulente demeure, inclusion qui procure à Mrs. X ses premières larmes de joie depuis bien avant qu’on ne la mette sous Paxil.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test